when is it now

mercredi 18 février 2009

so it goes where it counts money not friends, friends that counts for nothing, it spreads over time, it falls on the wrong side when it would be quiet, but remain positive, it is necessary to advance in the right direction of exquisite taste, what fun subway at peak sting if you are not careful, it's a hectic day which is still slow at the office, eight hours sitting watching through the window evolution of clouds that use neurons that run empty, around eleven hours the stomach takes over, it took until noon or thirteen hours depending on whether you prefer to make or break in shooting the tail cap incentive to sit down and gorging on fried fatty meat and full of free radicals that push all the sliders in the position of accelerated aging, digestive mini walk out of the canteen and two hours of gastric s dream ' sitting in front of his computer, it is 3 o'clock, another hour and go out and take my break, after just an hour before the start of the leak to the vacuum without surprise evening is repeated
pour ainsi dire on va là où ça compte en argent pas en amitié, les amis ça compte pour du beurre, ça s'étale dans le temps, ça tombe du mauvais côté quand on voudrait être tranquille, mais restons positifs, il faut avancer dans la bonne direction de la saveur exquise, quel plaisir en bouche de métro à l'heure pointe qui pique si on ne fait pas attention, c'est parti pour une journée trépidante qui connaît quand même des ralentissements au bureau, huit heures assis à regarder par la fenêtre l'évolution des nuages, ça use les neurones qui fonctionnent à vide, vers onze heure l'estomac prend le relais, ça occupe jusqu'à midi ou treize heures selon qu'on préfère faire ou défaire la queue en tir bouchon d'envie de s'asseoir pour se gaver de frites grasses et de viande saturée de radicaux libres qui poussent tous les curseurs dans la position du vieillissement accéléré, petite marche mini digestive en sortant de la cantine et deux heures de rêve gastrique en s'asseyant devant son ordinateur, il est quinze heures, encore une heure et je sors prendre ma pause et après plus qu'un heure trente avant le départ de la fuite vers le vide sans surprise du soir qui se répète
down without stopping for the night already seen on TV, looking through the oral solution as an aperitif, yet the rope of reality I see the ease with which one can represent the love between two beings, look pressed the bar, a word to the vertical hanging of instant satisfaction, a banal story that contained in the statistics of the national birth rate, it is better than the Germans, the French live up to the child as it passes through the starting line and touch 1000 euros, what a beautiful unconsciousness, forgetting that the child will grow, it's like these dogs we left on vacation starting, it has grown too, it takes too much space , it is an easy choice, three bags for everything, in the evening, the rain, drink, more room for the dog that can not bend over backwards to spread on the beach and back in inflate when arriving, short children is a source of joy and hardship, it is trademark, not the body, but his clothes, then to recognize that part of the playground for the concrete vision company, the other, the non-branded play hopscotch, one two three dream
descendre sans s'arrêter pour le soir du déjà vu à la télé en regardant de travers la solution buvable à l'apéritif, mais cependant à la corde de la réalité je conçois la facilité avec laquelle on peut représenter l'amour entre deux êtres, un regard appuyé sur le bar, un mot traînant à la verticale de la satisfaction immédiate, une histoire banale qui se reproduit dans les statistiques de la natalité nationale, on fait mieux que les allemands, vive les françaises qui vont jusqu'à l'enfant comme on passe par la case départ et on touche 1000 euros, quelle belle inconscience, oublier que l'enfant va grandir, c'est comme ces chiens qu'on abandonne en partant en vacances, il a trop grandi, il prend trop de place, c'est un choix facile, trois valises pour tout prévoir, le soir, la pluie, l'apéro, plus de place pour le chien qu'on ne peux plier en quatre pour l'étaler sur la plage arrière et le regonfler en arrivant, bref l'enfant est une source de joie et d'ennuis financiers, il veut des marques, pas sur le corps, mais sur ses vêtements, pour qu'on puise le reconnaître faisant partie de la cour de récréation en béton pour la vision en société, les autres, les sans marques jouent à la marelle, un deux trois rêve

mardi 17 février 2009

time for life is a never-ending story of receiving a bowl of ass that lacks an eye for walk straight, all coming from the risky situation of mental health, how to stay the same when the earth rotates, but the shadows grow I drink me a beer, then what's new doctor for the humanitarian cause when men swear by the design death born of true unity of the rattlesnake, dring, the factor that does not ring once because Marlon Brando that he is the one who will sing under the bridges, the water runs short and there is too much noise to hear, people ignore that around him live many opportunities to go to zero, on as if nothing had happened, but everything is at your foot in the shit, it might come from a blow on the head by a bitch on the run or a banana lying in the virtue of vieillotte satisfaction, today we know what to do, ie not obvious, it must seem to complicate specialist while common sense is often the one who passes the best live happily for example, the breathing just by saying, great, what else
le temps de vivre est une histoire sans fin de recevoir, un cul de jatte à qui il manque un oeil pour marcher droit, tous vient de la situation hasardeuse de la santé mentale, comment rester le même quand la terre tourne, les ombres grandissent mais moi je bois une bière, alors quoi de neuf docteur pour la cause humanitaire quand les hommes ne jurent que par la conception mort née de la véritable unité du serpent à sonnette, dring, c'est le facteur qui ne sonne qu'une fois parce que Marlon Brando il n'est plus celui qui va chanter sous les ponts, bref l'eau coule et on fait trop de bruits pour l'entendre, l'humain ignore qu'autour de lui vivent des possibilités nombreuses de partir à zéro, on fait comme si de rien n'était, mais tout est là à portée de pied dans la merde, ça peut venir d'un coup sur la tête par un salaud en cavale ou d'une banane qui traîne dans la vertu vieillotte de la satisfaction immédiate, aujourd'hui on sait quoi faire, c'est à dire rien d'évident, il faut compliquer pour paraître spécialiste alors que le bon sens est souvent celui qui passe le mieux, vivre heureux par exemple, c'est respirer ce qui vient en se disant, super, quoi d'autre encore

lundi 16 février 2009

it's like that, you can not tell me we can do otherwise, the reality beyond the wall of sound, hear me well, we must resolve to sell the TV, we can live among us without the intrusion of foreign the small screen who believe they can be loved by millions of people, I am against the common misconception, for I mean, rational selfishness, escape in hazardous solutions before, the flame of desires beat the campaign, hoo hoo, I'm here, will sy, knock it if you can calm your eagerness to depression of the beer under pressure, May tries not to return home, to me this m'écoeure spread rotten flesh flies without that other project to dive into the ease of urban vitality, then you come, we will not stay all night in the supermarket, it's amazing to see the Museum of place that is now only offer the view that trade promotions, three for the price of three or shit in bulk for a fortune in ticket recoverable disposable, everything goes to the trash, I too am not so clean that I suggested the deaf to rise for other travel there's everything to do
c'est comme ça, tu peux pas me dire que nous pouvons faire autrement, la réalité dépasse le mur du son, entends moi bien, il faut se résoudre à vendre la télé, nous pouvons vivre entre nous sans l'intrusion d'étrangers du petit écran qui se croient capables d'être aimé par des millions de gens, moi je suis contre l'idée répandue, je suis pour le mesquin, l'égoïsme raisonné, la fuite en avant des solutions hasardeuses, la flamme des désirs qui battent la campagne, hou hou, je suis là, va-s-y, défonce toi si ça peut calmer tes ardeurs à la dépression de la bière sous pression, mai essaye de ne pas la ramener chez nous, moi ça m'écoeure cet étalement de chairs avariée sans les mouches qui ont d'autre projet que de se plonger dans la facilité déconcertante de la vitalité urbaine, alors tu viens, on va pas rester toute la nuit dans ce supermarché, c'est incroyable de voir que le musée d'aujourd'hui c'est endroit qui ne propose au regard que des promotions commerciales, trois pour le prix de trois ou de la merde en vrac pour une fortune récupérable en ticket jetable, tout va à l'ordure, moi aussi je ne suis pas si propre que je le laisse entendre aux sourds de naissance, pour les autres circulez y'a tout à voir
When is dinner time tell me I dream to hear those words from your mouth, in the afternoon for four hours was exquisitely decorated with flowers of emotions in the adventure of the dragonfly's ridiculous airflow un je ne sais quoi to complete, but not half, a suit with big mesh on the leg, must love spicy like that, there's no end to discuss the fat, now need to be lean, more snacks, sugars but slow, which prompted the four-wheeled car in the ravine of emotional loneliness, only lean con, is progress here, this is no longer working family homeland fraternity equality and justice is only only lean or lean con conne a reality geniuses heedless of the Bastille, the great times that make great men, small in peacetime, ridiculous to see who will blow a blow, suddenly it starts back , must be flexible, old to pick up, should make the sport before it is too late in the evening, they exaggerate arriving so late, my lamb was overcooked, no problem it was thought to cooked then cooked the teeth and send the sauce of the French passion for Belgian no more for Belgian no more
quand faut-il dîner à l'heure dîtes moi tout je rêve d'entendre ces mots sortir de votre bouche, l'après-midi avant quatre heures fut délicieusement décoré de fleurs d'émotions à l'aventure de la libellule ridicule dans son air circule un je ne sais quoi de terminé, mais pas à moitié, complet veston à grosses côtes de maille sur du gigot, faut aimer épicé comme ça, y'a pas à discuter le bout de gras, aujourd'hui faut être maigre, plus de grignotage, des sucres mais lents, qui poussent la voiture à quatre roues dans le ravin de la solitude affective, seul maigre con, le progrès est là, ce n'est plus famille travail patrie ni justice égalité fraternité, c'est seul maigre con ou seule maigre conne, une réalité oublieuse des génies de la Bastille, des grandes époques qui font des grands hommes, des petits en tant de paix, ridicule pour savoir qui va se moucher un grand coup, tout à coup ça commence en arrière, faut être souple, les vieux à la ramasse, faut faire du sport avant qu'il ne soit trop tard dans la soirée, ils exagèrent d'arriver si tard, mon gigot est trop cuit, pas de problème on a cru au cuit, alors le cuit les crocs et envoyer la sauce de la passion française,pour les belges y'en a plus, pour les belges, y'en a plus
pourquoi aller sans perdre l'horizon mental, il faut avoir la certitude du moment qui passe à l'as de pique quand il fait grève à condition de réunir les éléments de fond dans la piscine aux reflets bleu de perse ou d'antigone qui est partie faire des courses à l'autre bout de la piste de danse, ce n'est pas pour dire mais l'ambiance n'est plus ce qu'elle était, autrefois nous avions la chance de me heurter à le condition marécageuse pour éviter de rebondir dans la direction opposée, mais ne nous méprenons pas, je suis le premier à voir la vérité toute nue, la soif de vaincre, l'ironie de la vie, la splendeur de la mort, outrage à magistrats, cuisez vos bêtes, retenez la noirceur pour encourager ceux qui craignent de reprendre le chemin de la lumière, électrique, c'est la modernité qui enfonce le clou rouillé, un de plus de perdu, oui mais c'est pour la science, alors là je m'incline comme la tour de Pise, un peu de culture, vous voyagez à l'étranger, oui je vais souvent en Bretagne du sud, loin des hourras sauvages des imbéciles dans les îles, je vais seul dans ma gueule, alors ç a ne passe pas le seuil de la pauvreté à condition de se trouver en bonne relation de confiance exagérée dans un bain de sang rouge

jeudi 12 février 2009

c'est pour ça que ça va, c'est pas pour ça ni pour ça, non simplement pour ça, quoi d'autre peut me tendre, plus rien je n'attends, je suis ici et puis là, mais je ne m'inquiète pas ,le rythme est réglé à la perfection, le tambour dans les oreilles pour ne rien rater de la mélodie, j'en ressors prêt à me jeter dans la Seine mais un amateur de bon vin me rattrape par le manche, sers moi la main vieux frère, je ne connaissais pas cet homme qui se permettait d'interrompre ma tentative de suicide, en le regardant de plus près je constatais qu'il avait deux ailes qui sortaient du dos, diable, suis-je au paradis, pas du tout me répondit l'ange alcoolisé, c'est carnaval et je me suis déguisé en planche de salut, salut vieux frère, il me laissé planté là sans s'inquiéter de savoir si j'allais tenter à nouveau de sauter dans l'eau, en y pensant deux minutes je m'aperçut que l'idée même de me supprimer avait été supprimée de mon imagination débordée par la crue un peu cuite selon les saisons qui passent au même moment sur l'autoroute des vacances, je repars guilleret comme après un petit verre de beaujolais nouveau avec les copains autour d'une barrique qui sert de table, ha qu'il est bon de vivre
aux alentours de la fête aux alentours de la fête aux alentours de la fêtes au tour de jouer, je ne sais plus quelle carte mettre sur la table, faut-il que je joue plus fort ou distraitement, où est l'enjeu de cette partie, est-ce l'avenir qui va se dérouler sous mes pieds, ou le plafond qui va tomber sur mes yeux, je ne peux choisir la formule, ce sont les autres qui me poussent dans le ravin, qui peut dire qu'il veut du bien aux autres, tout le monde pense à soi d'abord, et si ça convient, un peu aux autres, c'est la loi de la jungle, il faut paraître une sorte d'individu selon la police, être est réservé aux anticléricaux, avoir pour les curés, prendre du bide pour annoncer la bonne parole, la chair est tendre, pourquoi jeûner, déjeuner c'est mieux, c'est plus convivial, avec du vin autrement plus qu'à la messe, ce tord boyaux où coule le sang de qui déjà, j'ai un peu trop forcé sur la nappe phréatique, c'était un juif je crois, mais pour quoi les autres juifs l'ont-ils condamné, je dois d'abord revenir sur terre, je me sens actuellement plus attiré par le lent endormissement post repas, amen et à tout à l'heure pour le café, nous essayerons de reprendre le fil d'ariane
bonjour tristesse, adieu joie de vivre, il est temps de savourer les derniers instants avant la conception, quittons l'éternité pour plonger dans la seconde qui passe, temps précis pour cuire les pâtes, au-delà c'est de la soupe et plus loin encore c'est la source de l'incendie des neurones, j'étais bien pourtant mais d'un seul coup j'ai senti l'urgence de bien faire, vite à la rescousse de la secousse tellurique, ça va péter dans moins de cinq minutes, les dernières, on va connaître le nom de l'assassin, coupure de courant en marchant, impossible de remettre en route le disjoncteur a sauté la barrière, il faut intervenir en amont pour tenter de passer le fil conducteur en tête de gondole pour que derrière on puisse stocker l'énergie, tout le monde à son poste, urgence maximum, chacun à en main son ordre de mission, on va essayer de faire mieux qu'en 1999, les poteaux à terre doivent être relevés, hardi les gars, ce soir on relève les jupes des filles et on enlève les culottes, faut bien trouver le repos du guerrier dans le corps d'une femme, en plus on est chargé à mort avec le jus qu'on a récupéré, dommage que a finisse trop vite, bientôt il faudra rentrer chez nous auprès de nos compagnes

lundi 9 février 2009

tu peux arriver en bas à condition de ne pas monter les blancs contre la décision de blanchir l'argent, une fois que nous serons sûr de passer la frontière, réveille moi pour je puisse préparer mes affaires dans l'urgence, je n'aime pas être bousculé dans le metro, ça me donne froid par le devant, j'ai chaud au derrière, il faut que je sorte boire un grand bol d'air pollué, je n'ai pas choisi de vivre ici, il faut bien être de quelque part, je suis d'ici, et vous de là, pas de quoi faire des histoires, on est bien où on est, la vie passe trop vite pour s'ennuyer à chercher des histoires à ceux qui sont mal rasé, chacun décide devant sa porte, à midi de préférence, le soleil permet d'y voir clair, plus que la lune et les étoiles réunies, de toute façon la nuit je dors sur me deux oreilles et mes deux fesses, bien calées sous la couette, plus besoin de faire le lit, hop je me glisse, l'oreiller m'attendait depuis le matin pour m'apporter les nouvelles pas très fraîches de la veille, ça sentait la sardine baignant dans son jus, au moment de se coucher j'aurais préférer oublier que le ventre soit attiré par un autre pour se frotter à l'huile
il est bon de souffler, les braises sont ardentes, point besoin de briquet, il faut juste croire au feu divin, un apôtre en a eu des convulsions au point de vendre Jésus sur le mont des oliviers, mais aujourd'hui le temps n'est plus aux hypocrisies, la vérité passe par là, où est-elle, je ne l'ai pas vu partir, tant pis on essayera une autre fois quand le besoin de boire au plus près du calice sera devant moi, prêt à jaillir des forces occultes, venez avec moi, je saurai trouver la sortie, c'est une question de flair qui me vient d'un ancêtre cocker du sud de la tribue manade, il y a si longtemps que personne à part moi peux convaincre le sorcier blanc de passer dans le noir, peine perdue il est gris, trop de vin au quotidien, on fera sans lui, nous ne sommes pas des ivrognes, notre esprit est clair même en pleine lune, alors avançons jusque là, après nous étudierons la question pour savoir si le chemin sud est plus bas que celui du nord, mais c'est à l'ouest que nous allons, à l'est rien de nouveau, pas de temps à perdre, passez moi les jumelles que je distingue mieux ce qui nous attend derrière la montagne, mais d'abord passons le faux col, le vrai est juste derrière

vendredi 6 février 2009

pour savoir il faut être, autrement c'est perdu à jamais dans l'éternité de la conscience scrupuleuse, pas de doute c'est vivant, passez-moi l'ambition, c'est elle qui juge les capacités de l'individu, il est bon, il est con, on tranche dans le vif, chacun doit pouvoir passer la chance au mixer pour ne garder que la transition des possibilités, il n'en reste qu'une, c'est la mienne qui tombe à la renverser, je suis moi, quelle nouvelle sensationnelle, je ne pouvais imaginer une telle ambiance, la chaleur m'envahit, je suis aimé pour ce que je ne suis pas, mais tant pis, on va tous à la mer, grain de sable perdu dans l'immensité, j'ose à peine me regarder dans le bleu de tes yeux, que suis-je pour demander l'attention de tes neurones, mais ça ne m'empêche pas d'aller droit devant pour affronter le rire intérieur qui me pousse à retenir mon bagage en haut de la renonciation, je ne suis pas volage, je reste au même endroit attendant le départ, l'inquiétude est dans le train, elle s'en va sans se retourner, ce n'est pas son genre de regretter, il ne reste que le regard dans le lointain, le soleil brille, je suis heureux une minute, c'est énorme, ce soir je pourrai me coucher satisfait de ma journée
l'ancien monde est en moi, sans pouvoir me dire que le nouveau règne est en cours, pourtant j'existe vraiment, je veux dire sans mentir, ce n'est pas un effort, simplement une attitude de bien se placer à l'envers, devant est la lumière alors je passe à travers de la vitre en sucre, c'était pour du faux, le vrai saut c'est quand je serai à la dernière seconde de l'expérience, pour le moment je m'amuse à essayer de sauter sur place plutôt que du septième étage de ma conscience, un lieu dangereux pour les humains, pour les autres ça ne pose pas de problème, alors je pars pour savoir que la lune est enfin en croissant pur beurre, mais ça c'est demain que je peux venir, alors ne compte pas sur moi pour essayer de changer le cours de la situation hasardeuse en fonction de la santé de nos enfants en bas âge, raccourcis merveilleux de la sagesse hindou au milieu e l'après-midi, le soir venu en chaussettes ne peut pas sortir dans la rue, alors il décide de se coucher dans un lieu intime à l'abri des regards de ceux qui se déplacent pour satisfaire leur envie, c'est comme ça que je vieillis, un jour chasse l'autre sans carabine, mais avec la ferme intention de manger trois fois par jour

mardi 3 février 2009

dans l'inquiétude de penser, il existe des possibilités de racourcir la danse macabre, la vie donne des fruits amères, c'est dans l'ensemble acceptable, rebondir de temps en temps, claquer et porter le poids, alourdir la satisfaction pour qu'elle passe la première, renoncer à la vue, savourer la beauté des formes cubiques, style apéricube, je suis celui qui aime, passons au salon, les pieds de ma chaise ne veulent pas s'écraser, tant pis je vivrais dans l'attente de me lever pour crier mon angoisse, pour le moment je regarde les miettes sur la table, si j'ai le temps je pourrai en compter mille, mais une pression inatendue boulverse ma vessie, je dois me lever, ce n'est pas un plaisir mais une constatation douloureuse du peu d'imobilisme de l'être humain , toujours à courir des wc à la chambre, des députés aux chiottes, des parents aux enfants, des corps nus aux corvées des études, je ne veux plus m'occuper, impossible, il faut s'agiter pour se sentir mieux, dès demain je m'insrcris à quoi déjà, j'ai oublié mais je me souviens de mon nom, allez dans la chambre du fond vous y trouverez de quoi mettre la jolie façon de finir le jus de fruit
je ne veux pas sortir de l'étagère où je récupère l'essentiel de mon activité salariée, comprenez moi bien, ce que je veux ici c'est avoir la possibilité de grandir sans les onconvénients de l'âge, simplement accepeter l'époque où je ne meurs pas, pas trop tôt ni après, ça laisse peu de temps pour grimper en dessous de la condition à venir, rassurez-moi, je suis quelqu'un de bien, incapable de passer à côté d'une envie de vomir, quand la vision de la déchéance humaine est abominable, je préfère rester couché toute la journée que de m'imaginer être un porc qui dégueule sur un autre pour une raison qui m'échappe, l'humain est ignoble comme il peut être un saint, pourquoi est-on là ou ici, du bon ou mauvais côté de la ligne, pas de professeur pour apprendre cette façon de vivre, ça se passe à l'intérieur du cerveau ou du sexe mais l'un ne va pas sans l'autre, du sentiment et de la chair, ça va bien ensemble non, mais là n'est pas la question, vivre chaque jour en espérant ne pas être un salaud, voilà une ambition respectable, que m'importe de gagner des millions en volant des pauvres, je suis moi, né un jour pas encore mort, heureux par moment

lundi 2 février 2009

for now I want to collect desire to redistribute it in places that I forget, then we will see what to do depending on the situation, this is changing so fast that I am not sure of returning to the same place, it is a matter of real existence, when two points meet, they discuss the question of who will pass by crushing the other, yes, on a course of life there is no room for two, the madness around give the information of the other side, let’s go companion my luck, do you come to the farm there are chickens and ducks, not ever thank you in the coffee, I take it black, with no hope of finding in the back meaning to my life, the sadness wins at five, after I start to find a rapid satisfaction, to crush black ideas in crumbs, stocked at the moment in the depths of my cup, I does not drink, to stay at the level of consciousness does not preclude it from being stupid but with a little science, but here I find you inflated, never do I! I'm not a tire, I have not the air you need, too bad I will iron my shirt later when the postman will be away
Life brings the tea, it's time to feed before bringing the good news to those entitled to remain silent because the concierge was able to withdraw without buy his silence, we all have a rule we don’t deal with, inflexible connected to the main, too bad for morale, it had to go back in time to dry since the spring, the birds are nesting party elsewhere, leaving the place empty and hunters sad nothing to eat, they will have to tighten their belts of grease, soup every day to find a body of twenty years, but not the brain that remains frozen in the present with the past that override it, how then return to common sense, anyone who misses it is so quiet that we could walk over, see the essential, ha yes, I have an interest but give me the biggest part that I'll give you back in ten years, I can sign a paper if you want, a recognition in minefield, but how to anticipate the future, every day is shut down at night as if we could eliminate the possibility to breathe the air of not knowing what will follow
why leave, there is all in the head, sewing kit for the sores of me, silverware to treat unwanted guests who would break the harmony, the human condition does not exceed the Arc de Triumph feelings, it must be to understand that the hose is blocked when you put in the wrong direction, you must follow the arrow next without falling in the mud, it's really terrible to see people sink light far have nothing to hide, but who knows about, in the presence of their brown lawyer could they empty with a spoon the sea of the flesh, everything goes in gutter, nothing remains of the hope, you throw everything overboard by asking the sky that it does not rise to the next generation, but who to believe, the human kill themselves since Cro-Magnon, always rivalries sweep acid rain, when we die, others are born, where is the logic of this patchwork, the only common aspect of any creature, the microbe to the elephant, is to go from one place to another, without knowing why, people are progressing according to their destiny more or less kindly or cruelly
pourquoi partir, il y'a tout dans la tête, un nécessaire à couture pour les plaies vives du moi, de l'argenterie pour soigner les invités indésirables qui voudraient casser l'harmonie, la condition humaine ne dépasse pas l'arc de triomphe des sentiments, il faut être pour comprendre que le tuyau est bouché quand on le met dans le mauvais sens, il faut suive la flèche, sans tomber à côté dans la fange, c'est vraiment terrible de voir s'enfoncer des gens qui vu de loin n'ont rien à se reprocher, mais de près qui les connaît, en présence de leur avocat marron pourront-ils vider à la petite cuillère le trop plein de la chair, tout part au caniveau, il ne reste rien de l'espérance, on jette tout par-dessus bord en priant le ciel que ça ne remonte pas à la génération suivante, mais qui croire, l'humain s'assassine depuis cromagnon, toujours des rivalités stériles balayent les pluies acides, on meurt quand d'autres naissent, où est la logique de cet ensemble hétéroclite, les seul trait commun de toute créature, du microbe à l'éléphant, est d'aller d'un endroit à l'autre, sans savoir pourquoi, les êtres avancent selon leur destinée plus ou moins gentiment ou méchamment
la vie apporte le thé, c'est l'heure de se gaver avant de porter la bonne nouvelle aux ayants droit de se taire vu que la concierge avait la possibilité de se rétracter sans pour autant acheter son silence, on a chacun une règle avec laquelle on transige pas, inflexible raccordé au collecteur principal, tant pis pour la morale, elle n'avait qu'à revenir dans les temps à sec depuis le printemps, les oiseaux sont parti nicher ailleurs, laissant la place vide et les chasseurs tristes, plus rien à manger, il va falloir se serrer la ceinture de graisse, de la soupe tous les jours pour retrouver un corps de vingt ans, mais pas le cerveau qui reste figé dans le présent avec tout le passé qui écrase les prouts, comment alors retrouver le bon sens, celui qui passe à côté, il est si discret qu'on pourrait marcher dessus, voyons l'essentiel, ha oui, je garde de l'intérêt mais prête moi le principal que je te rendrai dans dix ans, je peux te signer un papier si tu veux, une reconnaissance en terrain miné, mais comment anticiper sur l'avenir, chaque jour est coupé par la nuit comme si on éliminait la possibilité de respirer l'air de ne pas savoir ce qui va suivre
pour l'instant je recueille l'envie pour la redistribuer dans des endroits que j'oublie, après on verra quoi faire en fonction de la situation, cela évolue tellement vite que je ne suis pas sûr de revenir au même endroit, c'est une question d'existence véritable, quand deux points se rencontrent, ils discutent le point de savoir qui va passer en écrasant l'autre, hé oui, sur une ligne de vie il n'y a pas de place pour deux, la folie autour renseigne le passant de l'autre côté, en avant compagnon de fortune du pot, veux-tu venir à la ferme, on y trouve des poules et des canards, non merci jamais dans le café, je le prends noir, sans espoir de trouver dans le fond un sens à ma vie, le vide l'emporte à cinq heures, après je me lance à la recherche d'une satisfaction rapide, histoire de broyer les idées noires en miettes, archivées pour l'instant au plus profond de ma tasse, histoire de ne pas la boire, rester au niveau de la conscience ça n'empêche pas d'être une con mais avec un peu de science, alors là je vous trouve gonflé, moi jamais, je ne suis pas un pneu, je n'ai pas l'air qu'il vous faut, tant pis je repasserai ma chemise plus tard quand le facteur sera passé