when is it now

lundi 31 août 2009

Why do you feel well, what's your secret, I do not know, is a light feeling that comes from somewhere, I do not where he comes, he comes when he wants where he wants and I receive it without asking where it comes from and what he did before coming to see me, I do not care it is often there and when he is absent is to allow me to be empty, an important moment in the équilibibre of my life, for a minute or half an hour, I do not think of anything, nor the good nor evil, I do not know who I am, how I should be, what I did not realize, no more anxiety, no more fun either, my body is positioned to feel its weight wich grows as I get older, stalled in a chair or standing with arms swinging, my eyes looking nowhere, I count my heartbeats, I try to go in an arm, then back into his head, that is a trip inside me, as if the outside world no longer existed, my breathing is slow, suddenly I go out me, from very low I surfaced, I recognize the flat where I am, I am well, happiness comes in waves, I bathe in the foam, it boils, I wade happy
pourquoi ça va bien, quel est ton secret, je ne le connais pas, c'est un sentiment léger qui me vient de quelque part, je ne cherche pas d'où il vient, il arrive quand il veut, où il veut et je le reçois sans lui demander d'où il vient et ce qu'il a fait avant de venir me voir, je ne m'inquiète pas il est très souvent là et quand il s'absente c'est pour me permettre de faire le vide, un moment important dans l'équilibibre de ma vie, pendant une minute ou une demi-heure, je ne pense à rien, ni au bien ni au mal, je ne sais plus qui je suis, comment je devrais être, ce que je n'ai pas réalisé, plus d'angoisse, plus de plaisir non plus, mon corps se positionne pour sentir son poids qui grandit à mesure que je vieillis, bien calé dans un fauteuil ou debout les bras ballants, les yeux dans le vague, je compte mes battements de coeur, j'essaye de partir dans un bras de revenir dans la tête, cet un voyage à l'intérieur de moi, comme si le monde extérieur n'existait plus, ma respiration est lente, d'un coup je sors de moi, de très bas je remonte à la surface, je reconnais la pièce ou je suis, je suis bien, le bonheur arrive par vagues, je me baigne dans l'écume, ça bouillonne, je patauge heureux

vendredi 28 août 2009

in one memorable time I came to tell me what time it is, it's time to come, absolutely nothing remains, keep your enthusiasm, it is your duty to continue to live, do accept your breath, breathing heavily, hear the murmur of water, birdsong, the wind swaying the leaves of trees, see the passing cars, babies screaming, meaning garbage heated in the sun, walk on your feet, accepts fate, all these days to fill these projects to construct these emotions that vibrate in the heart, you must jump, laugh, take, drop, see without judging, to understand the chance, anticipating misfortune, but when it falls nothing more to say, short of breath, I walk the path of the last remains of the dead, it was him, I am me, is it, we are us and them is they go up the fly, squeeze your buttocks stand up straight, the action takes precedence over thought, life is yours for example air, a kind of instrument that brings a desire, a tuba, you high, but this is not for us, it must move to another place, patiently, one day we can start early, right now we are witnessing the end of the cycle, while on the lam, nothing goes your bets, the dice are thrown, to whom the chance
dans un temps inoubliable je suis venu me dire l'heure qu'il est, c'est l'heure de venir, absolu, rien ne reste, retiens ton ardeur, il est de ton devoir de continuer à vivre, ne retiens pas ton souffle, respire largement, entends le murmure de l'eau, le chant des oiseaux, le vent qui balance les feuilles des arbres, vois les voitures qui passent, les bébés qui hurlent, sens les poubelles chauffées au soleil, marche sur tes pieds, accepte le destin, tous ces jours à meubler, ces projets à construire, ces émotions qui vibrent dans le coeur, il faut bondir, rire, prendre, lâcher, voir sans juger, comprendre le hasard, anticiper le malheur, mais quand ça tombe, plus rien à dire, le souffle court, j'arpente l'allée de la dernière demeure du mort, il était lui, je suis moi, elle est elle, nous sommes nous et eux sont eux, remonter la braguette, serrez les fesses, tenez vous droit, l'action prime sur la réflexion, une vie exemplaire c'est l'air par exemple, une sorte d'instrument qui apporte le désir, un tubas, haut vous, mais ceci n'est pas pour nous, il faut partir dans un autre lieu, patience, un jour nous pourrons commencer au début, en ce moment nous vivons la fin du cycle, tout fout le camp, rien ne va plus, faites vos jeux, les dés sont lancés, à qui la chance
it only takes a day to be born, that means that life happens in days, every day count, from first to last, young, old, regardless of age of his arteries, each moment can deviate in lightness of breath, more support may allow air trapped in the wrath of escape to reach the open sea, a sudden everything becomes clear, smiling eyes, the teeth appear, the problem disappears, the Joy joined the group, is left for last, but it happens all too often the minds are blocked in areas of hardness, the other appears as an enemy to be slaughtered, dead time, we must await the opening, it can take years and even the death of someone, then we breathe, we must wait for death to open the hope, then it's true for everyone, life is so boring Nothing happens until the last day we wait god knows what, today is that it happens tomorrow is open free to the second that passes is the possibility of exclusion, fear, joy, it makes sorting and it goes to the fund, I take joy, boredom attention comes after, we can not live happy,
il ne faut qu'un jour pour naître, ça veut dire que la vie se passe en jours, tous les jours comptent, du premier au dernier, jeune, vieux, peu importe l'âge de ses artères, chaque moment peut dévier dans la légèreté, une respiration plus appuyée peut permettre à l'air coincé dans la colère de s'échapper pour rejoindre le grand large, d'un seul coup tout s'éclaire, les yeux sourient, les dents se montrent, le problème disparaît, la joie rejoint le groupe, c'est parti pour durer, mais il se trouve que trop souvent les esprits se bloquent dans des zones de dureté, l'autre apparaît comme un ennemi qu'il faut abattre, temps mort, il faut attendre l'ouverture, ça peut prendre des années et même jusqu'à la mort de quelqu'un, ensuite on respire, il faut attendre la mort pour ouvrir l'espérance, alors là c'est vrai pour tout le monde; la vie est tellement ennuyeuse, rien ne se passe, jusqu'au dernier jour, on attend dieu sait quoi, c'est aujourd'hui que ça se passe, demain on rase gratis, à la seconde qui passe tout existe, la possibilité, l'exclusion, la peur, la joie, on fait le tri et on passe à la caisse, je prend de la joie, attention l'ennui vient après, on ne peut pas vivre heureux,
there was a time when the happy moments spent elsewhere, now everything is stuck there at the end of my memory, nothing happens, the information pile up as if the changes went empty, no more advanced, I stagnates where I am without hope of change, I'll bury myself slowly in experience over wild ride in the meadows, most of staring into the night, I know all this, I did it, now I am silent listening to my breathing, she told me that I am alive, the only question that comes to me, that's how long I spend every second, it only takes one so I never falls, a small second, but first decades of life without glory, without flavor, a sad life and settled, it's my fault, I have no taste for anything, anything is everything, then nothing is nothing, but I don't feel bad I am an optimist, the day begins, I am happy this evening falls, woe is all over, and go again the next morning, it lasts for years, or more exactly it started one day, day when I was forty, suddenly I realized that I had covered half of my life, so I think the figures for life expectancy, 80 years for men, I am the half my life, and also at the top, I climbed for forty years and now I go down
il fut un temps heureux où les instants passaient ailleurs, aujourd'hui tout est là coincé au bout de ma mémoire, plus rien ne passe, les informations s'entassent comme si l'évolution marchait à vide, plus d'avancée, je stagne où je suis sans espoir de changer, je vais m'enfoncer petit à petit dans l'expérience, plus de course folle dans les prés, plus de regard perdu dans la nuit, je sais tout cela, je l'ai fait, maintenant je me tais en écoutant ma respiration, elle me dit que je suis vivant, la seule question qui me vient, c'est pour combien de temps, chaque seconde je passe, il en suffira d'une pour que je tombe à jamais, une petite seconde, mais avant des décennies de vie sans gloire, sans saveur, une vie triste et réglée, c'est de ma faute, je n'ai de goût pour rien, tout vaut tout, alors rien vaut rien, mais je ne déprime pas, je suis quelqu'un d'optimiste, la journée commence, je suis content, le soir tombe, malheur tout est fini, et ça recommence le lendemain matin, ça dure depuis des années, ou plus exactement ça a commencé un jour, ce jour où j'ai eu quarante ans, d'un seul coup je réalisais que j'avais parcouru la moitié de ma vie, si je crois les chiffres de l'espérance de vie, 80 ans pour les hommes, je suis donc à la moitié de ma vie, et aussi au sommet, j'ai grimpé pendant quarante ans et maintenant je descends

jeudi 27 août 2009

on a slope I slid without daring to reach the goal I set myself yesterday, today is not like I expected, but it is too late to change the course of my long journey, boredom to joy, lost in fate, while a series of unrelated events between them, if not the main source of my existence, in fact, I'm not the last of the Mohicans, but when I even pretend to take me for me, the last man of the family, if taken from the beginning, it made millions of years, millions of generations that lead to my person, an average man who does not hunt mammoth but rather the light passing in the window of a shop, you do not know and it is better for what boredom of having to share common places, I prefer to go my way and meet other people just by diving in their eyes, it's crazy what you can discuss with their eyes, much more than the mouth that does not say something stupid, their eyes are full of tears, laughter, all the memories of childhood all passes in one second is happiness, nothing else comes to interrupt this ecstasy, then it is down to earth, time has passed, must go to the loved one who has prepared meals
sur une pente audacieuse je glisse sans pouvoir atteindre le but que je m'étais fixé hier, aujourd'hui n'est pas comme je l'espérais, mais il est trop tard pour changer le cours de mon long parcours, de l'ennui à la joie, de la perte au destin, tout une série d'évènement sans liens entre eux, si ce n'est la principale source de mon existence, en effet, je ne suis pas le dernier des mohicans, mais j'ai quand même la prétention de me prendre pour moi, le dernier homme de la famille, si on la prend depuis le début, ça fait des millions d'années, des millions de générations qui aboutissent à ma personne, un homme moyen qui ne chasse pas le mammouth mais plutôt les regard qui se croisent dans la vitrine d'un magasin, on ne se connaît pas et ça vaut mieux car quel ennui de devoir partager des lieux communs, je préfère passer mon chemin et rencontrer d'autres personnes uniquement en plongeant dans leurs yeux, c'est fou ce qu'on peut discuter avec les yeux, beaucoup plus qu'avec la bouche qui ne dit que des bêtises, les yeux eux, sont plein de pleurs, de rire, tous les souvenirs d'enfance, tout passe en une seconde, c'est le bonheur, rien d'autre ne vient interrompre cet extase, ensuite il faut redescendre sur terre, l'heure est passée, il faut rentrer auprès de l'être aimé qui a préparé le repas
evening comes to extinguish the lights, you can not see anything, when the sun shines you see all the details, the night package without putting stamp on free travel, dreams become nightmares, it loses its bearings, Life is diluted in green liquid, which are the snakes that hiss, they are animals, men are far, is it the contrary, men are not women and the short stairs before me, I'm not there, life carries me in the wrong direction, I paddle against the current, but I am not strong enough to overcome the wave, I must be precise, it is the detail that counts, gaze is keen, he sees everything that counts double, eyes to see it to verify there are three left, I saw them, I am sure, however, the emotion false reasoning, the love outweighs the Due to the distance he loves, they love, it means a man and a woman or two men, they love, it can be only two women, one woman is not a man, even two women are not worth not a man, they like an island or the wings of love prevails, a wing and a leg, it must glide to the top, that's why we marries expectancy without concession, Passion without a wrinkle
le soir vient pour éteindre les lumières, on n'y voit plus rien, quand le soleil brille on voit tous les détails, la nuit enveloppe sans mettre de timbre, on voyage gratuitement, les rêves deviennent des cauchemars, on y perd ses repères, la vie se dilue dans des liquides verts, qui sont ces serpents qui sifflent, ce sont des animaux, les hommes sont plus loin, à moins que ce soit le contraire, les homme ne sont pas des femmes et l'escalier court devant moi, je ne vais pas par là, la vie m'emporte dans la mauvaise direction, je rame à contre courant, mais je ne suis pas assez fort pour dépasser la vague, je dois rester précis, c'est le détail qui compte, le regard est perçant, il voit tout qui compte double, le regard c'est pour voir, pour vérifier, il en reste trois, je les ai vus, j'en suis sûr, cependant l'émotion fausse le raisonnement, l'amour emporte la raison au loin, il aime, ils s'aiment, ça veut dire un homme et une femme ou deux hommes, elles s'aiment, ça ne peut être que deux femmes, une femme ne vaut pas un homme, même deux femmes ne valent pas un homme, ils comme une île ou des ailes emportent l'amour, une aile et une cuisse, faut que ça glisse, jusqu'en haut, c'est pour ça qu'on se marrie, l'espérance sans concession, la passion sans une ride
Once, just once I know the pain of living, then I rest for an eternity or two if it's good, but for now I spend my days rotting bodies, it's pretty fun game is to take and leave, then they run after the glory, but it does not last, better to invest in real estate, there's the stone that it true, but the body is destroyed, he'll have to dig a hole , large enough to contain the entire height of the human is crazy what is important with his body soon eaten by vermin, are we to think of Egyptian treasures that will accompany us beyond the limit , red zone, attention to the inevitable march, it is possible to get otherwise, agree to spend a day happily, make what you stole, tomorrow is too late, a day is enough to know the happiness, the evening comes when misfortune happens, it is time to sleep and never wake up, wanting to go on and on the same stage, he must renounce the desire to be at this moment as much as possible, then it's another world Now it's worth, doing nothing, look at what is before us and behind us is another world that we do not have time to visit
une fois, juste une fois je veux connaître la peine de vivre, ensuite je me repose pendant une éternité ou deux si c'est bien, mais pour le moment je passe des jours qui pourrissent mes organes, c'est assez amusant, le jeu consiste à prendre et à laisser, ensuite on court après la gloire, mais ça ne dure pas, mieux vaut investir dans l'immobilier, la pierre y'a que ça de vrai, mais le corps se détruit, il va falloir creuser une trou, assez grand pour contenir toute la hauteur de l'humain, c'est fou ce qu'il prend d'importance avec son corps bientôt mangé par la vermine, sommes nous des égyptiens à penser que nos trésors nous accompagneront au delà de la limite, zone rouge, attention à la marche fatale, il est cependant possible de réussir autrement, accepter de passer joyeusement une journée, rendre ce que tu as volé, demain il est trop tard, une journée suffit pour connaître le bonheur, le soir vient quand le malheur arrive, il est temps de s'endormir pour ne plus se réveiller, pour vouloir continuer encore et encore la même scène, il faut renoncer à l'envie, être en ce moment le plus possible, ensuite c'est un autre monde, maintenant ça vaut la peine, sans rien faire, regardons ce qui est devant nous, derrière nous c'est un autre monde que nous n'avons pas le temps de visiter
life appears to me in all its hight, I am alive, that's good news, did not start yesterday but since I am aware, for decades, I get up every morning congratulating me for existing, it concerns only me and no matter if it does not bother anyone, I'm the type to live alone, others bore me, I see the sun up and down, when I look down I see only shadows that pass without a trace, after I go and I am breathing regularly, I like everything, there is nothing left that I can love, walking, breathing, this is an activity that has existed since man is out of the water, there are a hundred million years the fish out of water to walk, since that date no party like a anniversaire more worthy than the death of a father who was, Today is Sunday, or Monday, or marmanche, right now at noon, the sun is shining, the weather is good as they say it's shit, he does what he thinks the animal, he thinks to himself, What will he do in an hour in two hours in twenty years, but there must not take the storks for door coats, I am not responsible and guilty at the same time, that's modernity, while will be possible one day
la vie ma'apparaît dans toute sa grandeur, je suis vivant, voilà une bonne nouvelle, a ne date pas d'hier mais depuis que je suis conscient, depuis des décennies, je me lève chaque matin en me félicitant d'existant, ça ne concerne que moi et peu importe si ça ne dérange personne, je suis du genre à vivre seul, les autres m'ennuient, je ne vois que le soleil en haut puis en bas, quand je descend le regard je ne vois que des ombres qui passent sans laisser de trace, après je vais et je viens en respirant régulièrement, c'est tout ce que j'aime, il ne reste rien que je puisse aimer, marcher en respirant, voilà une activité qui existe depuis que l'homme est sorti de l'eau, il y a cent millions d'année le poisson est sorti de l'eau pour marcher, depuis cette date que personne ne fête comme un anniverssaire plus digne que celui de la mort d'un père qui fût, aujourd'hui c'est dimanche, ou lundi, ou marmanche, bon aujourd'hui à midi, le soleil brille, il fait beau comme on dit il fait caca, il fait quoi, et il pense l'animal, il pense à lui, que va-t-il faire dans une heure, dans deux heures, dans vingt ans, mais là faut pas prendre les cigognes pour des porte manteaux, je ne suis pas responsable et coupable en même temps, c'est ça la modernité, tout sera possible un jour

mercredi 26 août 2009

He could not help thinking, everything and anything, never mind just all wrong in any direction, preferably lying in the half gloom of a late afternoon spent in the warmth of late summer, it is only then that he realized the enormity of the situation, how could he not be aware of the distress in which he was just before eight o'clock, but that's the past, we must move in the royal road, one leading to night, ie the truth belongs to those who have ears to hear the bells of 'Annunciation, happy is he who opens our eyes to the extent of human misery, after a good meal we see things differently, but the fact is not limited in the bathroom, I was sure, though If you want to start, you need patience, then everything will go smoothly, the slope is slight, that is why I ask for silence, do not try other paths, they lead you to your loss, earlier than expected
il ne pouvait s'empêcher de penser, tout et n'importe quoi, jamais des pensées justes, toutes de travers, dans n'importe quel sens, de préférence allongées dans la demi pénombre d'une fin d'après midi passée dans la tiédeur d'un été finissant, ce n'est qu'à ce moment là qu'il se rendit compte de l'énormité de la situation, comment avait-il pu ne pas se rendre compte de la détresse dans laquelle il se trouvait juste avant huit heures, mais tout ça c'est du passé, il faut avancer dans la voie royale, celle qui mène jusqu'au soir, autrement dit la vérité appartient à ceux qui n'ont pas d'oreilles pour entendre les cloches de l'annonciation, heureux celui qui ouvre les yeux sur l'étendue de la misère humaine, après un bon repas on voit les choses autrement, mais la circonstance n'est pas limitée, dans la salle de bain, j'en étais sûr, bien, si on veut commencer maintenant, il vous faudra de la patience, ensuite tout ira sur des roulettes, la pente est légère, c'est pour cela que je demande le silence, ne cherchez pas d'autres chemins, ils vous mèneront à votre perte, plus tôt que prévue,
He was sure of himself but the others prevented from doing what he wanted, how to pass through the prohibitions he thought, I can step out but after a while it must slow down and lose ground immediately occupied by others who think only of their happiness, he was disappointed by life, when he was a boy everything was white around his ward, no hard evidence, the days were soft, they said we had lice, he did not like cabbage, but one day he was drunk, everything changed until the early morning or he awoke with a headache who banged the hammer against the wall of his youth, alarm, alarm in an uncertain world The day is sad, it must pass until the evening, no more bread chocolate taste, it can no longer accept the idea of immediate gratification, time is no more stable flies every second, it recognizes it goes well, he can not dream, his life is just in its reality, him, others, running, love of life, it is not safe to live long but at least he has known the that there is a chance in life to live, live long enough to get one day to light, it goes in a direction that may seem best, then he must continue
il était sûr de lui mais les autres l'empéchaient de faire ce qu'il voulait, comment passer au travers des interdictions se disait-il, je peux allonger le pas mais au bout d'un moment il faut ralentir et perdre du terrain immédiatement occupé par des autres qui ne pensent qu'à leur bonheur, il était déçu par la vie, alors qu'il était enfant tout semblait blanc, autour de sa pupille pas de trace dure, les jours étaient mous, on disait nous, on avait des poux, il aimait pas les choux, mais un jour il fut saoul, tout bascula jusqu'au petit matin ou il se réveilla avec un mal de tête qui tapait au marteau contre le mur de sa jeunesse, réveil, réveil dans un monde incertain, le jour est triste, il faut passer jusqu'au soir, plus de pain au chocolat au goûter, il ne peut plus accepter l'idée de la satisfaction immédiate, le temps n'est plus stable, chaque seconde fuit, il est conscient, il va bien, il ne peut plus rêver, la vie lui apparaît simplement dans sa réalité, lui, les autres, le passage, l'envie de vivre, il n'est pas sûr de vivre longtemps mais au moins il aura connu l'existence, c'est une chance dans la vie que de vivre, vivre assez longtemps pour arriver un jour à la lumière, il va dans une direction qui lui paraît la meilleure, ensuite il faut continuer

mardi 25 août 2009

he would have more than less, but the days not offer him anything extra, normality settles for long, how to solve the problem, there is no solution, one must simply understand the meaning, what happens now but how to relate what happened, he must maintain continuity, no flight, the risk is too great to fall, he can go there, but how to give youth, he must wait the rest of his life comes slowly, he knows he has knowledge, but not know everything, he knows what he knows, the days have taught him to distrust the unknown, he clings to his ideas, he has traversed several times, he acknowledges, he thinks he'll know it's a movement that continues to the reasonable attention to madness, he cannot venture into war zones, peace of morning to night, for some time it gets better, he finally managed to hold his head high, his eyes staring just above the hair of others, he crossed no look, he prefers to stay in his expectation, what could he do with the desire of others, he knows something he does not share, that's how he can be comfortable with his ideas, he thinks, where will he, until further or at the next junction
il lui faudrait plus que moins, mais les jours ne lui proposent aucun supplément, la normalité s'installe pour longtemps, comment résoudre le problème, il n'y a pas de solutions, il faut simplement comprendre le sens, ce qui se passe maintenant, mais comment relier ce qui s'est passé, il lui faut maintenir la continuité, pas d'envol, le risque est trop grand de retomber, il peut aller loin, mais comment renoncer à la jeunesse, il doit patienter, le reste de sa vie vient avec lenteur, il sait qu'il doit savoir, mais pas tout savoir, il peut savoir ce qu'il sait, les jours lui ont appris à se méfier de l'inconnu, il se raccroche à ses idées, il les a parcourues plusieurs fois, il les reconnait, il pense qu'il va savoir, c'est un mouvement vers qui se maintient dans le raisonnable, attention à la folie, il ne peut s'aventurer dans des zones de guerre, la paix du matin au soir, depuis quelques temps il va mieux, il a enfin réussi à marcher la tête haute, les yeux braqués juste au-dessus des cheveux des autres, il ne croise aucun regard, il préfère rester dans son attente, que pourrait-il faire du désir des autres, lui il sait quelque chose qu'il ne veut pas partager, c'est comme ça qu'il peut se sentir bien, avec ses idées il réfléchit, jusqu'où ira-t-il, loin ou jusqu'au prochain carrefour
He was not happy with him but he felt he had time to do better, months pass, no change, the night the day, nothing disturbs the passages, it should be he said, so to speak, but he does nothing, do not bother to ask how it happens, it can not understand why it is like that, it does not bother anyone, no joy , he prefers to sleep like others, like this is better then he can go for a while but it never lasts more than an hour, he does not have a problem, nobody comes to see him he is all alone, no envy, just a normal with no flat spots or bump, it's flat all the way from one moment to another, no change, equilibrium is maintained by habit, that's how it goes her days waiting for the night that puts him in an unconscious state, he likes to sleep and never thought he was alone without words, every moment follows another in silence, the silence without weight in a heavy body nothing comes, it must be time to descend, the bin is full, he likes to do things twice a week, then it goes up, it is happy for him, what happens now, wait until an idea comes to him from , he can move when he chooses
il n'était pas content de lui mais il se disait qu'il avait le temps de mieux faire, les mois passent, pas de changement, la nuit, le jour, rien ne vient perturber les passages, il faut se dit-il, pour ainsi dire, mais il ne fait rien, pas la peine de se demander comment ça se passe, il ne peut comprendre pourquoi il est comme ça, ça ne gène personne, la joie le gène, il préfère s'endormir en même temps que les autres, comme ça c'est mieux, ensuite il peut partir un moment, mais ça ne dure jamais plus d'une heure, il ne veut pas rencontrer de problème, personne ne vient le voir, il est bien tout seul, pas d'envie, juste un fonctionement normal sans creux ni bosse, c'est plat jusqu'au bout, d'un moment à l'autre, aucune variation, l'équilibre est maintenu par habitude, c'est comme ça qu'il passe ses journées, en attendant la nuit qui le met dans un état d'inconscience, il aime dormir pour ne plus réfléchir, il est seul sans parole, chaque instant suit l'autre en silence, le silence sans poids, dans un corps lourd, rien ne vient, il doit être l'heure de descendre, la poubelle est pleine, il aime faire des choses, deux fois par semaine, ensuite il remonte, il est content de lui, que faire maintenant, attendre qu'une idée lui vienne, il peut bouger quand il le décide

vendredi 7 août 2009

once it passes, but when it restarts it gets unbearable, that's how I see my life, started and hard, like a tender steak that lasts for as long as three passages of fork, but I want to digest, I want absolutely, it is a matter of principle, go down, that's where it happens, the truth is in the blue water, it's funny or it's brown, then the
the sweat that can find his way to change the human in animal as soon as he moves in the summer, have been dry but when it's hot, I wipe the sweat on my forehead, but not my ass, it is the pants which are responsible, through the rocking motion of walking, pants moves in all directions, it spreads the field so that the smell is not too strong, however the nose is far from this area, someone should put her face close to my ass so that he can assess the extent of perfumes, but it never happens, nobody comes sniffing me, we are not dogs, the human integrity, it is this that distinguishes us from animals, good morals is to say nothing if it stinks, people don't say what they feel,
une fois ça passe, mais quand ça recommence ça devient insupportable, c'est comme ça que je conçois ma vie, un sursaut entamé, comme un steak tendre qui dure le temps de trois passages de fourchette, mais je veux digérer, je le veux absolument, c'est une question de principe, il faut passer vers le bas, c'est là que ça se passe, la vérité se trouve dans l'eau bleue, c'est marrant ou c'est marron, ensuite c'est l'essuyage léger pour que la sueur puisse trouver de quoi se mélanger, l'humain sent dès qu'il bouge en été, avoir été, je suis, j'essuie la sueur sur mon front, mais pas celle de mon cul, c'est le slip qui s'en charge, grâce au mouvement de balancement de la marche, le slip bouge dans tous les sens, il étale les matières pour que l'odeur ne soit pas trop forte, de toute façon le nez est loin de cette zone, il faudrait que quelqu'un mette son visage près de mon cul pour qu'il puisse apprécier l'étendue des parfums, mais ça n'arrive jamais, personne ne vient me renifler, nous ne sommes pas des chiens, l'intégrité humaine, c'est bien ça qui nous distingue des animaux, la bonne moralité est de ne rien dire si ça pue, les humains sentent mais ils ne se sentent pas parce que ça ne se fait pas
I am in the doubt, but time hides the truth, we must wait to see what is hidden behind the coat of night, the day is not able to solve the riddle, the former passes the modern, boredom is vague before falling into oblivion, fortunately I am able to bounce back just before the final possibility, the apparent magic that sends beyond the reasonable, the leap to see that coming, but before designing the passage, I remain in the current situation, every second I live, live, this is exciting time to savor every moment, it is good to live, what good for nothing, it just possible, despite the constraints, doubt, anxiety, all goes well, the best possibilities of human consciousness, it was no longer a problem, tomorrow arrives late, I was going to say something serious but the acute emotion lead me to the top of the stupidity, I'm going in the direction to be, then required me to want to have, what choice, I spend my turn, then i give up, I use and I go
j'aurai du m'en douter, mais le temps masque la vérité, il faut patienter pour savoir ce qui se cache derrière le manteau de nuit, le jour n'est pas capable de résoudre l'énigme, l'ancien passe devant le moderne, l'ennui est vague avant de tomber dans l'oubli, heureusement je suis capable de rebondir juste avant la possibilité ultime, le ressort magique qui envoie au delà du raisonnable, le grand saut qui permet de voir venir, mais avant de concevoir le passage, je reste dans la situation actuelle, j'aime vivre chaque seconde, vivre, voilà qui est passionnant, le temps de savourer chaque moment, qu'il est bon de vivre, à quoi bon, à rien, justement c'est possible, malgré les contraintes, le doute, l'angoisse, tout va bien, au mieux des possibilités de la conscience humaine, il était, ce n'est plus un problème, demain arrive en retard, j'allais dire quelque chose de grave, mais l'aigu m'emporte vers le sommet de l'imbécilité, je vais dans la direction d'être, alors s'impose à moi l'envie d'avoir, que choisir, je passe mon tour, j'actionne le don, j'utilise et je donne