when is it now
mercredi 18 février 2009
descendre sans s'arrêter pour le soir du déjà vu à la télé en regardant de travers la solution buvable à l'apéritif, mais cependant à la corde de la réalité je conçois la facilité avec laquelle on peut représenter l'amour entre deux êtres, un regard appuyé sur le bar, un mot traînant à la verticale de la satisfaction immédiate, une histoire banale qui se reproduit dans les statistiques de la natalité nationale, on fait mieux que les allemands, vive les françaises qui vont jusqu'à l'enfant comme on passe par la case départ et on touche 1000 euros, quelle belle inconscience, oublier que l'enfant va grandir, c'est comme ces chiens qu'on abandonne en partant en vacances, il a trop grandi, il prend trop de place, c'est un choix facile, trois valises pour tout prévoir, le soir, la pluie, l'apéro, plus de place pour le chien qu'on ne peux plier en quatre pour l'étaler sur la plage arrière et le regonfler en arrivant, bref l'enfant est une source de joie et d'ennuis financiers, il veut des marques, pas sur le corps, mais sur ses vêtements, pour qu'on puise le reconnaître faisant partie de la cour de récréation en béton pour la vision en société, les autres, les sans marques jouent à la marelle, un deux trois rêve
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