when is it now
lundi 30 mars 2009
l'aventure s'arrête au rot, le repas est fini, il faut penser à uriner, si possible au milieu de la cuvette, passons le sort que le corps doit accepter pour prétendre à passer peu de temps sur terre, une poignée de riz comparée aux tonnes que les occidentaux avalent en une journée, il faut suer pour penser à la grâce comme à la graisse, c'est ça qui nous relie à Dieu, la chair qui s'est fait dieu un jour ou le contraire, c'est tellement compliqué ces histoires d'ange qui éclaire la scène pour partager le pain que je salive d'ennui vu que le dix-huit du mois je n'aurai plus rien à manger, excellent pour une cure d'amaigrissement, mais deviendrais-je lus con comme certains vieux qui s'arrêtent de fumer en rejetant leur ennui à la face de leurs enfants, ô joie de l'existence, encore pissé de travers aujourd'hui, la sénilité me gagne, à quand le pantalon qui baigne dans l'océan de ma situation immédiatement inconsidérable vu que le soi-disant ouvrier ne devait pas intervenir avant la fin de l'automne qui finissait en même temps que la session de la sublime attention délirante à condition de bien suivre le déroulement de la vie depuis le début jusqu'à aujourd'hui sans prendre une seconde de repos, la nuit l'inconscient prend le relais
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