when is it now
dimanche 30 septembre 2012
samedi 29 septembre 2012
vendredi 28 septembre 2012
Slowly but surely I peel carrots, around noon I'm hungry, I take my car and I rush to Florida taking the boat, then the time is right, this is the best of all, it was expected thingsto go wrong, now it just goes well, I do not know why, I discovered it by chance one day, I walked around Paris, all of a sudden I say, it's Tuesday, it was a very short time, but I still remember it today, is precisely where I am now, no error is true, this leap from here, I came back and forth with life, it was an interesting life, but I always missed something, you know, this is an attempt which stops quickly, it is impossible for me to get into a long and persistent efforts, after a short time I leave, I can not go further, I seem to have given everything, I'm exhausted, my strength fails me, I have to wait for days before a new envy, and it starts a few minutes of happiness and it stops, a lifetime of dissatisfaction, luckily I am happy, otherwise I would take it wrong, life goes on quietly, everything happens slowly, smoothly, a tranquility that suits me, I know i must go into a simple rhythm, it is the secret of happiness, I had time, I am full of doubt, it does not prevent me from waking up with in the head a smile, I am well, all is well, my desires, my days, my nights, my stress, if it starts, everything stops, then do not panic, I keep my small way, it will lead me somewhere good I do not know where, when, how, why, I know nothing of life, yet it's more than forty years I live, but more I know things less I know why it is all for, why we are born, why we age, why we can not see life as it is
lentement mais sûrement j'épluche des carottes, vers midi j'ai faim, je prends ma voiture et je fonce en Floride en prenant le bateau, ensuite le moment est bien choisi, c'est le meilleur de tous, celui qu'on attend quand ça va mal, justement ça va bien, je ne sais pas pourquoi, j'ai découvert ça par hasard, un jour, je me promenais dans Paris, d'un seul coup je me dis, c'est mardi, bref ce fut un court instant, mais je m'en souviens encore aujourd'hui, tout est là, précisément là où je suis, au moment de maintenant, pas d'erreur c'est vrai, et à partir de ce bond sur place, je m'élançais dans la vie, ce fut une vie intéressante, mais il m'a toujours manqué quelque chose, comment dire, c'est une tentative qui s'arrête, il m'est impossible de me lancer dans un effort long et tenace, au bout d'un temps très court j'abandonne, je ne peux continuer, j'ai l'impression d'avoir tout donné, je suis exténué, mes forces m'abandonnent, je dois attendre des jours avant d'avoir à nouveau envie, et ça recommence, quelques minutes de bonheur et ça s'arrête, toute une vie d'insatisfaction, heureusement que je suis heureux, autrement je le prendrais mal, la vie se déroule calmement, tout arrive lentement, sans à coup, une tranquillité qui me convient, je sais qu'il faut aller à un rythme simple, c'est le secret du bonheur, j'avais du temps, je suis en plein doute, ça ne m'empêche pas de me réveiller avec dans la tête un sourire, je suis bien, tout est bien, mes envies, mes jours, mes nuits, mes contraintes, si tout commence, tout s'arrête, alors pas de panique, je continue mon petit chemin, il va bien me mener quelque part, j'ignore où, quand, comment, pourquoi, je ne sais rien de la vie, pourtant ça fait plus de quarante ans que je vis, mais plus je sais des choses moins je sais pourquoi tout ça, pourquoi on naît, pourquoi on vieillit, pourquoi on n'arrive pas à voir la vie
mercredi 26 septembre 2012
if tomorrow I would go far from me, a sudden urge to do nothing, what is left, i must return, the house is clean, it is not necessary to start shouting, everything happens, there is nothing extraordinary, it is a trivial afternoon, this is the end of September, it will be my Wednesday, one more, one less, so long time ago I do not remember, I have always been happy and then one day I realized that we must move forward, it must find its place, then we no longer had to be in free flight, I am caught in gears, I am forced to participate, otherwise how could I resist the pressure, I'm like a steam locomotive, I occasionally emits smoke to avoid exploding in my case the smoke translated into words, simple words that mean something when we put them together, it becomes a sentence, I stop, I have no ambition to write a story, what I do is to approach the limits of consciousness to return to the grammatical construction, then I think, what is the time before the arrival of a woman, i do not know her, it is a woman i just caught à glimpse of her, hair, ears, she will not come because I do not have talked to her, I never talk to people, I look without thinking, they are what they are, as in a show, sometimes I have to push myself to let someone who go quickly, why go fast, where to go, what to do quickly, should it pass without looking around us, the passage is it fast, and then do nothing, lie down dreaming, life is there, waits a day passes, attention it starts, I turn my head, what happens, I dream, a juggler smiled at me, I go downstairs, I found myself in an elevator, climb is short, I would have to be more careful, it goes too fast, how to retain all this information, so be it, I'm going, I'm tired of waiting, how well do they do, it is not credible,
si demain j'allais voir ce qui est loin de moi, une envie soudaine de ne rien faire, à quoi sert de partir, il faut revenir, la maison est propre, il n'est pas utile de recommencer à crier, tout arrive, il n'y a rien d’extraordinaire, c'est une après-midi banale, c'est la fin du mois de septembre, ça sera mon mercredi, un de plus, un de moins, depuis si longtemps que je ne me souviens pas, j'ai toujours été content et puis un jour j'ai compris qu'il faut aller de l'avant, il faut trouver sa place, ensuite on se cale pour ne plus être en vol libre, je suis pris dans un engrenage, je suis obligé de participer, autrement comment pourrais-je résister à la pression, je suis comme une locomotive à vapeur, de temps en temps je dégage de la fumée pour éviter d'exploser, dans mon cas la fumée se traduit en mots, des mots simples qui veulent dire quelque chose quand on les met ensemble, ça devient une phrase, je m'arrête là, je n'ai pas d'ambition d'écrire une histoire, ce que je fais c'est d'aborder aux limites de la conscience pour revenir à la construction grammaticale, ensuite je réfléchis, quel est le moment précédant la venue d'une femme, comment savoir si elle vient, une femme entrevue, des cheveux, deux oreilles, elle ne viendra pas car je ne lui ai pas parlé, je ne parle jamais aux gens, je les regarde sans rien penser, ils sont là, comme dans un spectacle, quelques fois je suis obligé de me pousser pour laisser passer quelqu'un qui va vite, il est passé, je continue, pourquoi aller vite, où aller, que faire vite, doit-on passer sans regarder autour de nous, le passage est-il rapide, et ensuite, ne rien faire, s'allonger en rêvant, la vie est là, elle attend, un jour passe, attention ça commence, je tourne la tête, que se passe-t-il, je rêve, une jongleur me sourit, je descends l'escalier, je me retrouve dans un ascenseur, l'ascension est courte, il faudrait que je sois plus attentif, ça va trop vite, comment retenir toutes ces informations, tant pis, je m'en vais, j'en ai assez d'attendre, comment se débrouillent-ils, ce n'est pas croyable,
leaning in one day to pick up a crumb of bread, I realized that one day I will have a bad back, this is how we age, we do not pay enough attention to what is done daily, and one day it breaks, you get paralyzed in a wheelchair in which one gradually destroys, if I had known when I was younger than paying attention, I could avoid ending my life miserable, because for me what matters most is the ability to come and go freely and without fear, then you understand that with a wheelchair you are stuck in front of a staircase, as you are lower than people on their legs they can make you fall on one side, and there like a turtle on its shell, wait until a nice person help you to put the chair on wheels, but I might not have time to do all this, will I live longer, it is my goal, I'm not sure, my desire would be to understand something in that huge site where everything is in disorder , I'm still looking where is the entrance, for the moment I walk in my brain, it lacks light, I guess there space but I'm not going through, I am at the edge, as people expect when it rains at the entrance of a store before going running because they do not have the time to wait out the rain, we all occupations, set times, it is time to go, it's time to go, it's time to be alive, happiness is there, I see it, everything goes well, it goes fast, a day hunting the another, beware there are stones that fall, I quickly chose another road safer but longer, as they say it is better to keep that run, stability is difficult to understand, what keep, what leave, the choice is so large, a passage after another experience grows,
en me penchant un jour pour ramasser une miette de pain, j'ai compris qu'un jour j'aurai mal au dos, c'est comme ça qu'on vieillit, on ne fait pas assez attention à ce qu'on fait au quotidien, et un jour ça casse, on se retrouve paralysé, dans un fauteuil roulant dans lequel on se détruit peu à peu, si j'avais su quand j'étais plus jeune qu'en faisant attention, j'aurai pu éviter de finir ma vie misérablement, car pour moi ce qui compte le plus c'est la possibilité d'aller et venir sans contrainte et sans peur, alors vous comprenez qu'avec un fauteuil roulant vous êtes bloqué devant un escalier, comme vous êtes plus bas que les personnes sur leurs jambes, on peut vous faire tomber en vous renversant sur le côté, et là comme une tortue sur sa coquille, il faut attendre qu'une personne gentille vous aide à remettre le fauteuil sur ses roues, mais peut-être n'aurais-je pas le temps de faire tout ça, vais-je vivre longtemps, est-ce mon but, je n'en suis pas sûr, mon envie ça serait plutôt de comprendre quelque chose à ce chantier immense où tout est en désordre, je cherche encore où est l'entrée, pour le moment je me balade dans mon cerveau, ça manque de lumière, je devine qu'il y de l'espace mais je ne vais pas jusqu'au bout, je reste au bord, comme des gens quand il pleut attendent à l'entrée d'un magasin avant de se lancer en courant car ils n'ont pas le temps d'attendre la fin de la pluie, on a tous des occupations, des heures réglées, c'est l'heure de partir, c'est l'heure de rentrer, c'est l'heure d'être en vie, le bonheur est là, je le vois, tout va bien, ça va vite, un jour chasse l'autre, attention il y a des pierres qui tombent, je choisis rapidement une autre route plus sûre mais plus longue, comme on dit il vaut mieux tenir que courir, la stabilité est difficile à comprendre, qu'est ce qui compte, le choix est tellement grand, un passage après l'autre l'expérience grandit,
a day, a week, now it's all where i am, immediately, quickly, secretly, the body has a flat surface, while the rest is hidden, like putting grass on sidewalks, it would be prettier, it would give work for gardeners to maintain the turf, but life is not a gift, it takes hard work to break the shell of indifference, since childhood we are taught to be a good citizen cold and calculating, it takes years to remove the varnish and try to see life with kindness, happiness is accessible, just look ahead lightly, it takes practice, of course we take care of personal concerns weigh on happiness, it can even completely crush it, depression takes over your life, you do not realize it, it is moving in the night, and one day it breaks, hope disappears, then attention to ideas circling, to go well we must be clear in itself, choosing each morning believing that it is possible, it does not change much, there is no vision Specifically, this is just a start for a good day, and the more time passes the more we lead to a clear goal, now I'm ready,
un jour, une semaine, maintenant ça compte plus tout, tout de suite, rapidement, secrètement, le corps ne présente qu'une surface plate, tout le reste est caché, comme si on mettait de l'herbe sur les trottoirs, ça serait plus joli, ça donnerait du travail à des jardiniers pour entretenir ce gazon, mais la vie n'est pas un cadeau, il faut travailler dur pour casser la coque de l'indifférence, depuis l'enfance on nous apprend à être un bon citoyen, froid et calculateur, il faut des années pour enlever ce vernis et tenter de voir la vie avec gentillesse, le bonheur est accessible, il suffit de regarder devant soi avec légèreté, ça demande de l'entraînement, naturellement on se charge de préoccupations qui pèsent sur le bonheur, ça peut même complètement l'écraser, la dépression prend toute la place, on ne s'en rend pas compte, ça avance dans la nuit, et un jour, ça casse, l'espérance disparaît, alors attention aux idées qui tournent en rond, ce n'est pas bon, pour aller bien il faut être clair en soi, en choisissant chaque matin de croire que c'est possible, ça ne change pas grand chose, il n'y a pas de vision précise, c'est juste un départ pour passer une bonne journée, et plus le temps passe plus on s'entraîne à se fixer un objectif clair, aujourd'hui je suis prêt,
I love chocolate, now I know that I can make a leap forward, I feel ready, I only miss the takeoff clearance, that's life who decides when it goes, before be able to understand that the fate is linked to hope, you have to walk for hours and days and months and years, must cross thousands of anonymous people, wait without losing hope, we have to start each time, doubt is an engine, if I was right I will not be happy, it is because I am wrong I find a way to roll slowly towards an unknown destination, modernity invented everyday toys high technology which are designed to reassure us, they say be cool, you'll always know where you are, but the important thing in life is probably not where you are, what must be known is why we are on earth, then, if I am here or elsewhere, what difference does it make, no matter where I am, I first try know who I am, then I look before me, it is happiness, I do not know where I am but I know why I'm here, I live, I breathe, I walk, my body is doing well, I believe in divine hope, life is an experience to carry out, then we go into the woods to be afraid, I'm afraid that I do not know, the city does not make me afraid, is that one day I leave the city to live in the woods , we say that life is divided into two parts, before and after, the question is when you cut, why, I do not find why I should cut my life in two, I 'm very happy with what I live, but maybe one day I want to change is the uncertainty, would I have done differently, I do not have time to ask me this question, my time is taken, I'm in a dynamic way, in the way I see people, I see the streets, I advance each step, one after the other I get older, but that does not bother me, I enrolled in a long program, it is only the beginning
j'aime le chocolat, aujourd'hui je sais que je peux faire un saut en avant, je me sens prêt, il ne me manque plus que l'autorisation de décoller, c'est la vie qui décide quand ça part, avant d'être capable de comprendre que le sort est lié à l'espoir, il faut marcher des heures et des jours et des mois et des années, il faut croiser des milliers de gens anonymes, il faut attendre sans perdre espoir, il faut recommencer à chaque fois, le doute est un moteur, si j'avais raison je ne serai pas heureux, c'est parce que j'ai tort que je chercher un moyen de rouler tranquillement vers une destination inconnue, la modernité inventer tous les jours des joujoux hautement technologiques qui sont prévus pour nous rassurer, soyez tranquilles, vous saurez toujours où vous êtes, mais quand va-t-on dire que l'important dans la vie c'est sûrement pas de savoir où on est, mais c'est surtout de savoir pourquoi on est sur terre, alors là, que je sois ici ou ailleurs, qu'est ce que ça change, quelque soit l'endroit où je me trouve, je cherche d'abord qui je suis, ensuite je regarde devant moi, c'est le bonheur, je ne sais pas où je suis mais je sais pourquoi je suis là, je vis, je respire, je marche, mon corps se porte bien, je crois dans l'espérance divine, la vie est une expérience à mener, ensuite on passe dans les bois pour avoir peur, j'ai peur de ce que je ne connais pas, la ville ne me fait pas peur, est-ce qu'un jour je quitterai la ville pour habiter au milieu des bois, on dit qu'une vie est coupée en deux, avant et après, la question est de savoir quand on coupe, à quel moment, pour quelle raison, je n'ai pas encore trouver pourquoi je devrai couper ma vie en deux, je suis très content de vivre ce que je vis, mais peut-être qu'un jour je voudrai changer, c'est l'incertitude, aurais-je dû faire autrement, je n'ai pas le temps de me poser cette question, tout mon temps est pris, je suis dans une dynamique de passage, en cours de route je vois des gens, je vois des rues, j'avance à chaque pas, l'un après l'autre je vieillis, mais ça ne m'inquiète pas, je me suis inscrit dans un programme long, ce n'est que le début
J'aurais eu plus de temps pour commencer mais j'ai commencé à boire pour m'empêcher d'aller sur le tapis, mais cela n'a pas fonctionné, alors j'ai décidé de ne plus marcher, mais ça n'a pas fonctionné, alors je suis venu ici pour assister à une réunion, mais cela n'a pas fonctionné, alors j'ai couru pour ne pas voir l'horizon, mais je suis tombé assez loin pour comprendre que le début c'est près de l'arrivée, c'est comme ça que je sais que je ne vais pas attendre, je viens de loin, l'aventure est immense et commence vers le bas, il ya une minute, puis passent des années dans la tente, on voit la vie à travers l'ouverture qui laisse passer la lumière, alors qui vous mènera nulle part, mais nous sommes heureux de quitter la tente, l'air, le ciel, mais vous avez peur, nous devons être prudents, le danger est proche, que voulez-vous, mais bon, il faut voir ce qui est là, ce n'est pas une grande chose qui devient vite une référence verbale, mais je ne suis pas content, eh bien, ce n'est pas grave, rien trouvé, alors nous pouvons commencer à voir ce qui se passe dans la certitude de vivre dans le bon sens
dans un moment je pourrais être, mais qu'est ce que je reçois, mais j'espère un jour commencer à me déplacer, je n'ai pas encore de retour, ce n'est pas ma faute, je suis à un âge où l'écrasement du temps ne peut pas rassembler les perdants et les gagnants, je m'amuse avec lui, joue des tours, mais moi, rien de mauvais en ce moment, mais je regarde le grain, je pense que les bords se rejoignent, où un autre jour, le barrage sera brisé, mais pour aujourd'hui, c'est bon, rien à prédire, et je ne connais personne responsable , il va au garage pour sa voiture, mais pour le bonheur qui va réparer les dommages, tant il est vrai que pour la réalisation de mon bateau sur l'eau, essayez de ne pas perdre le nord, il est facile de se positionner, d'un côté c'est le sud qui ne se regarde pas, il tourne le dos et dans le nord nous ne perdons pas de vue qu'il faut du soleil pour commencer à comprendre de quel côté est l'ombre, j'espère que le changement est toujours là, dans le sud, ils ont le soleil, mais maintenant l'envie des camps de vacances change avec le réchauffement climatique, plus de sécheresse mais aussi plus de pluies torrentielles qui dévastent tout sur leur passage, nous devons comprendre que l'accélération des jours qui passe ne permet pas à la raison de mener à bien la cohérence d'une vie
Je suis allé là sans savoir pourquoi quand j'ai eu l'impression de savoir ce que je faisais là, un vague sentiment que je n'ai pas perçu immédiatement, mais c'est devenu tellement fort que je ne pouvais pas m'empêcher d'écouter celle qui m'a toujours parlé gentiment et sagement, sans un coup du hasard vous entendez quelque chose, j'ai décidé de couper court et j'allais tout en haut de la colline qui se dressait devant moi, me demandant ce que je faisais là, comme un fou, l'amour, je n'ai pas trouvé une raison ou une justification, c'est ce qui se passe, alors nous pouvons parler, mais le situation est claire, il était, c'est ça, c'est la raison évidente de ma participation à l'exactitude récente sur le terrain, le point est là et pas ailleurs, nous trouvons si l'on regarde là où c'est nécessaire, il faut des années de recherche, dans un premier temps vous n'avez rien trouvé et puis vient un jour ou l'estime de soi en prend un coup, mais c'est une autre histoire et il est trop tard
le destin, une fois, mais pas deux fois, rien, le silence est total, la façon de concevoir un vide, je suis plein, la marée est haute, je pars, il est temps de passer par là, je vois une lumière, il ya un feu, l'histoire commence mais où va-elle, de la patience sur le bord, l'ironie, le plaisir, comment savoirpourquoi il est si gentil, mais que fait-il, il n'a pas l'habitude de prétendre qu'il va prendre le risque de retomber, ça y est, elle est là, bonjour, comment êtes-vous, ce n'est pas encore là, il m'ignore comme si je n'avais pas prévu de lui apporter un sens précis pour éviter de se laisser embarquer dans n'importe quoi, c'est fini, je rentre chez moi, je me concentre sur les questions de gamme qui commence à do et finit à si j'avais de la chance, enfin seul, plein de nouveau espoir, ça doit être vide, mais je n'ai pas le désir, toujours le même, utilisé jusqu'à l'ennui, rien de nouveau encore une fois, peut-être le dernier, le premier était prévu, il prend comme la mayonnaise, c'est bon, il est gras, à toute vitesse vers l'inévitable, il est temps, Messieurs, Permettez-nous de régler vos montres, il est minuit, dans une minute la bombe va exploser, à court de munitions il faut rendre les armes
il est temps de grandir,tant que la pluie ne cesse de tomber, je dois me jeter, je dois encore trouver un endroit sec, de sorte que je ne peux penser à rien d'autre qu'à la pluie mais il est impensable de se tenir trop longtemps dans une habitude, il faut changer de temps en temps, il suffit de prendre le temps de regarder un geste, je suis à droite à gauche, pourquoi ne pas changer et de le faire de gauche à droite, alors nous pouvons essayer quelque chose de plus compliqué, multiplier les attentes en gardant à l'esprit quelqu'un que nous aimons , comme ça vous pouvez répondre sans trop être ennuyé, c'est un exercice difficile car il nécessite beaucoup de concentration, la vie nous laisse peu de temps pour s'asseoir dans la pensée, un moment de silence intérieur qui s'élève doucement vers la satisfaction d'être, c'est un pur bonheur qui arrive , alors nous commençons par le début, un long chemin qui peut prendre des années
il s'agit d'un bond en arrière, la personne respire, il entend, il va, il vient, il se tue, c'est la fin, l'espoir meurt, la joie s'éteint, il fait sombre, c'était la fin du film, puis nous sommes allés au restaurant, et elle rentra chez elle et j'ai quitté la maison du bonheur, nous ne voulions pas en faire plus, nous nous sentons proches mais pas assez pour aller plus loin dans l'intimité qui nous obligerait à nous appeler chéris, ce qui est inacceptable, je ne pourrai jamais concevoir une relation qui exige tendresse, je veux agir, je veux de la performance, il est seulement capable d'aller ailleurs, quoi de plus naturel, je tiens à partager avec les autres et puis être seul pour trouver un équilibre, celui ci-dessous, et un côté pour ne ne pas tomber plus bas, essayer de nager dans les eaux claires, loin! C'est ma vie, un jour, un jour sans, mais les nuits merveilleuses, avec gentillesse, les heures de calme, sans même un soupçon de désir, tout est à portée de main, mais contrairement à la vie consciente, nous n'avons pas envie de la toucher, de toute façon vous flottez dans l'eau chaude, donc pas de panique,
dans un sens, je prend le gâteau, mais finalement je préfère prendre une marche vers dehors, j'aime respirer l'air frais, tant pis si je dors, je vais essayer même si je suis impatient, je serai heureux demain, mais aujourd'hui bon, tu comprends que je suis dans la position intenable dans la continuité, oui, je sais que je peux passer à autre chose, mais l'altitude est la bonne, je me suis lancé dans le ciel, j'entends du bruit, c'est moi qui vous accueille ou c'est moi qui m'accueille, et je tombe dans un trou, la terre tombe sur ma tête, je pense, donc je suis, je me dis que c'est bon, mais il semble que la tempête est proche, à quel point pouvais-je être surpris, je voudrais qu'elle m'entoure, mais elle refuse de se faire prendre, je suis obligé d'offenser, de le provoquer à sortir de sa tanière, alors elle laissse prendre ses jambes à son cou et elle se promène dans tous les sens en essayant de comprendre le message, que veut-il faire, allez, jour, demain, c'est demain, puis tout se passe et tout se passe, comment hésiter à faire des tours
aussi loin que je peux me retenir, pourquoi ne pas continuer, mais je ne sais pas si je peux passer de l'un à l'autre sans difficulté, je préfère commencer par le plus facile, alors je vais prendre à gauche sur la largeur la plus grande, mais je n'ai pas l'intention de faire semblant, je suis réel, il doit aller aussi loin, mais il me semble que le résultat ne répond pas aux attentes, nous savons maintenant qu'aujourd'hui n'est pas hier, alors nous pouvons passer par la porte, je ne sais pas encore l'importance de l'action, mais je suis sûr que l'envie passe, c'est comme ça que je peux libérer de la maladie qui me ronge, qui fait tout, il est impossible de rester sans voix, crier notre passion d'exister, la seule raison qui me pousse d'être ce que je suis, un seul exemplaire qui serait ce qu'il est tout à fait
Quand vais-je avoir le temps de prendre le chemin qui mène quelque part, un endroit connu, mais qui ne ressemble pas à ce que j'ai habituellement, je peux comprendre que le temps est également une certitude et une nuisance, comment répondre à une question qui n'existe pas , je ne suis pas dans la dimension ultime, comme je respire, je suis comme tout le monde, mais je vais prendre une route qui va tout droit, vous acceptez quelque chose, il ne sait pas quoi prendre, cela fait-il un doigt ou ne doit-il être un pa..., un vol..., mais fait la moitié n'a pas de sens, mal comprise la manière prévue ne peut finalement en devenir un, mais pour l'instant la perte est exclusive, sans intermédiaire, de la justice immédiate, sans gain de temps, le but est atteint , il est de mon devoir de laisser l'envie y aller, alors on peut aller librement, mais cela dépend de moi, afin que je puisse commencer à me plaindre qu'il ne se déplace pas assez vite, mais oui, oui, mais non
Ce soir commence maintenant, je vais commencer à regarder devant moi, mais ne vous inquiétez pas de ce qui se passe après c'est une question d'heures de sommeil, alors nous pouvons faire autre chose, croire en une rangée de haricots, maintenant c'est comme si on va manquer de croyance, il faut trouver une belle chose, essayez plutôt de ne rien faire et ne pas se plaindre de l'incertitude de la vie, la vie peut donner si nous prenons pas la tête pour guider nos vies, la vie n'est pas une pêche miraculeuse, il n'y a rien dans l'eau bénite, si je pouvais trouver un moyen d'oublier le matin, je ne me souviens pas d'hier, je décide de mettre du beurre sur mon pain grillé, tant pis, je vais essayer de mettre de la confiture, ce n'est pas le manque d'idées, mais la chose la plus difficile c'est de les emmener à la fin, rien n'est facile, il faut aller loin pour commencer de voir que le chemin n'existe pas, créez-le à mesure qu'ils avancent, alors pas la peine de regarder une carte pour demain, aujourd'hui, c'est d'aller au soir, toutes ces heures qui s'efface, comme si elle n'était qu'une ombre sans soleil, rien n'est sûr, qui je suis, j'entends bien ou je suis fou, le monde est réel, donc tout va bien
c'est pourquoi je vis, mais comment le dire précisément, le manque est certain, cependant, il est possible de dire que tout vient à point à qui n'attend rien, rien ne se passe au contraire à qui s'attend à tout, donc on peut conclure que tout ne mène à rien et vice versa, à l'exclusion des champs de pommes de terre et les asticots qui se produisent après le spectacle, il faut comprendre que l'ordre va dans le bon ordre, il faut d'abord le désir, alors vous avez un projet et enfin avoir le temps de grandir sans le temps, il n'est pas nécessaire de courir tout le temps, mais le temps presse, il faut trouver des conseils pour bien faire, ceci se fait en un minimum de temps, c'est un sens de l'histoire qui commence ici, à la porte de devant, à partir du moment qu'il est ouvert, si c'est fermé c'est que vous pensez être à la maison alors que vous êtes invités à passer un peu de temps et puis après aller ailleurs pour voir si j'y suis, mais mercredi, je suis absent en raison de la grandeur de mon silence intérieur, depuis que je suis enfant je crois que je suis bien le mercredi, ça continue maintenant alors que ça fait longtemps que je ne fais plus pipi au lit, je cherche le bonheur, je trouve la porte de la lumière, c'est la douceur du moment fragile, avant est en accord, plus de perte de temps
Je suis toujours au courant de ce qui se passe, comment pourrais-je ignorer que je suis en vie, même quand je dors, je suis sûr d'exister parce que je me réveille le matin, je me rends compte comment je peux me lever pour aller jusqu'à la salle de séjour pour regarder le soleil, chaque matin un autre jour de la vie, je les compte, après une centaine je recommence au début, je ne voulais pas vieillir, chaque jour annonce le début et la fin, je préfère compter sans penser que la terre tourne dans une direction qui ne me favorise pas, je devrais rester dans les nuages, mais comment pourrais-je faire pour mon café, pas de café le matin, je ne pouvais pas raisonnablement m'attendre à me placer hors des limites du corps, je suis toujours couché dans un rêve, nous devons agir rapidement, mais pourquoi il est vivant, je pensais que c'était faux, nous avons toujours pu réunir ses jouets afin qu'ils ne soient pas perdus, mais les souvenirs dispersent la réalité, il est idéal lorsque vous n'avez plus besoin de compter les perles, il doit être raisonnable, avant c'est à droite, finir ce que j'ai commencer, après c'est à gauche, commencer avant la fin, les jours de grande affluence pour les adultes qui commencent, puis le rythme se ralentit, le temps est révolu et on ramassa la force et l'agilité dans le caniveau, il reste qu'on se plaint de ne pouvoir porter un regard neuf sur le corps, un peu moins chaque jour, mais la vie n'est pas triste, c'est le soir, peu de temps pour dormir, le plaisir, merveilleux moment de tranquillité, l'aventure, la soif, la fin de la journée, et demain ça recommence, tant pis si le chemin n'est pas là où je voudrais, car ce que souhaite dans la vie c'est d'arriver sans me fatiguer
Adieu à ma jeunesse, bonjour aujourd'hui, il n'existe pas d'urgence, je respire régulièrement, je ne rêve plus, des problèmes raisonnables, tous les jours ternes, sans peur ou excitation, achats de produits alimentaires, de la télévision, oh! un événement,plusde pub après le journal de 20h, je ne suis pas inquiet, moi je regarde la TNT, à n'importe qu'elle heure, je peux regarder 360 canaux et changer chaque seconde, le cinéma à la télé à 20h35, c'etait au bon vieux temps, réveillez-vous les gars, vous êtes en 2009, la TV à la demande, quand vous voulez, où vous voulez, sur un téléphone, mais sur le canal 2, ils pensent toujours que le temps de la télévision c'es toujours du service public, on marche sur la lune, bonne nuit les petits, en noir et blanc, la couleur est maintenant en haute définition, aucun moyen de s'échapper, c'est un progrès, attendez que demain on va nous dire que les écrans plats sont aussi mauvais pour la santé que les antennes relais pour téléphones mobiles, il dégage des ondes, c'est la communication d'aujourd'hui, on ne se parle pas plus, nous chattons, de nombreuses publicités, c'est rouge c'est grand, il est maintenant transmis par satellite, dans les corps sont criblés de communications sans le savoir, nous ne pouvons pas les utiliser, nous n'avons pas de bouton de lecture,
jeudi 20 septembre 2012
Farewell to my youth, good morning today, there is no press anymore, I breathe regularly, no more dreams, problems reasonable, daily dull without fear or excitement, food shopping, TV, oh ! an event, no more pub after 20h tvnews, I'm not concerned, I look more TNT, in an hour I can watch 360 channels one second, then the film at 20h35 it's old times, awake you guys you are in 2009, the TV on demand, when you want, where you want, on a phone for football, but on channel 2, they still think as time of TV public service, the first walk on the moon, the excitement for everybody, good night the little, in black and white, the colour is now in high definition, no way to escape, it’s progress, expect that tomorow tell us that flat screens are as bad for health as base stations for mobile phones, it gives off waves, that's the communication of today, we don’t talk anymore, we chat, we webcamise , mobilize, waves that pass through the body, was initially RTL, an old French radio, many commercials and large red, now it's satellite cannons news, the bodies are riddled with microphones without knowing it, we do can not use them, we have no play button,
accepter l'autre c'est se refuser soi même, ou alos il n'existe pas de relation, l'un doit être dominant, l'autre dominé, quand le dominé se relève, le dominant ne comprend pas, il se révolte, il ne veut pas perdre sa place de directeur, mais l'envie dépasse la mesure, il faut éclater le présent, renoncer à l'équilibre qui repose sur l'acceptation de la suprématie, on aime être en dessous, ça depend des gens et des époques, une personne est dominante avec une autre, mais avec une forte, elle change de braquet et se retrouve en plaine, ça n'avance plus, il faut faire appel au fort qui peut tirer la charette, au milieu la pulsion de vie parle avec la pulsion de mort, que fait-on aujourd'hui, fais comme tu veux, la mort s'ennuie, elle laisse la place à la vie, rebondissement, toi, moi, pour toujours, la vie, passion, quotidien, verue, massacre, perte des identifiants, pas de connexion, retour aux paramètres d'usine, rien, tout si c'est comme ça c'est pas autrement, il faut être, on ne choisit pas, c'est une loi infranchissable, l'homme est ici, loin de la femme, seul dans l'inconnu, mais quand la femme paraît, il ne se pose plus de question, il faut le séduire
pourquoi suis-je français bien nourri en bonne santé et pas algérien pauvre les dents gâtées vivant avec quinze autres dans deux pièces, le choix est vite fait, c'est à dire qu'il n'y en a pas, la fatalité organise l'ensemble des organisations organisées où l'humain prend le chemin organisé par l'organisation organisée sans lui, cela fait bien longtemps que les choses existent comme elles doivent exister, tout est planifié, numéro 1, naissance le premier jour de la vie d'Adam, après on déroule la couverture de survie jusqu'à moi, en vie jusqu'à ma mort, ayant déjà vécu la mort de ma jeunesse, enterrée dans mon corps avec interdiction de revenir, chaque chose en son temps, j'étais innocent, rigolo, jeune, sans idée préconçue, ne voulant qu'une chose, ne pas aller à l'école le samedi matin,le reste c'est à dire la vie me passait au-dessus de la tête, c'était facile, je n'étais pas très haut, vous me direz qu'aujourd'hui je ne le suis guère plus, mais je pèse plus lourd, toutes ces idées à la con que j'ai accumulé depuis des décennies, sans vraiment vouloir les prendre, combien d'idées s'imposent en venant de l'extérieur, c'est dans des moments d'avachissement cérébraux, telle une tige caressée par le vent, que l'idée me surprend
je suis lent, si lent que je rate toutes les occasions de ne plus être lent, que faire pour changer, être là quand il faut, passer au bon moment, réfléchir avant et agir tout de suite, c'est mon problème, je réfléchis tout le temps à ce que je pourrais devenir sans pour autant savoir comment y arriver, alors je me promène toujours au même endroit pour être bien sûr que rien n'a changé et je puisse me rassurer en moi-même qui n'a pas changé depuis la dernière fois, mais ça je ne peux pas en être sûr, en effet comment se voir sans avoir la tentation de se mentir, il me faudrait connaître quelqu'un de confiance qui pourrait me dire si j'ai changé depuis la dernière fois, encore faudrait-il qu'il me dise la vérité sans autre intérêt de m'aider dans ma quête d'immobilisme, je ne connais pas cette personne, existe-t-elle, on est tous égoïstes, on pense à soi d'abord, les autres ne sont là que pour meubler l'espace et à l'occasion avoir des rapports avec eux, comment aborder un sujet personnel en groupe, le groupe commençant à deux personnes, donc je ne sais pas, ça fait des années que je me pose la question d'avancer, bientôt je vais changer d'idée, au lieu d'essayer de correspondre à la réalité qui me dépasse, je vais obliger mon quotidien à me suivre, c'est moi qui vais décider de la suite, à chaque pas
I am always aware of what is happening, how could I ignore that I am alive, even when I sleep I am sure exist because I wake up in the morning, then I realize how I can get up to go up the living room to watch the sun, another day of life, I count them, after a hundred I start at the beginning I did not want to grow old, each day heralds the beginning and the end, I prefer to count without think the earth rotates in a direction which does not favor me, I had to stay in the clouds, but how could I do to my coffee, no coffee in the morning, I could not reasonably be expected to place I am still lying in a dream, we must move quickly, but why he is alive, I thought it was fake, we could always assemble his toys so they are not lost, but the reality scatters memories, it is great when you no longer need to count the beads, it must be reasonable, forward upright, finish what I start, start before finishing, the busy days for adults who are starting, then the pace slackens, the time is over and picked up strength and agility, there remains a body-worn complains a little more each day, but life is not sad, it's evening, soon time to sleep, pleasure, wonderful moment of tranquility, adventure, thirst, end of day, and tomorrow
that's why I live, but how to say precisely, the lack is certain, however, it is conceivable to say that everything comes to he who expects nothing, for everything happens at cons who expects everything, therefore we can conclude that all leads to nothing, and vice versa, excluding the fields of potatoes and maggots that occur after the show, it should be understood that the order is going in the right order, one must first desire , then you have a project and finally having time to grow up without the time it is not necessary to run all the time, but time is short, we must look for tips to do well, that is done in a minimum of time, everything is a sense of history here starts the door from the time it can be opened or closed depending on whether you think being at home or invited to spend a little time and then go elsewhere to see if I am, but Wednesday I am absent due to the popularity of inner silence, I seek happiness, I find the loss of light
Tonight begins now, watch it will start, but do not worry this is going after is a matter of hours, then we can do something else, believe in a row, now running short, we must find something else , try instead to do nothing and complaining to the uncertainty of life, that life can give if we do not take the helm to guide our lives, life is not some miraculous fishing, he There is nothing in the holy water if I could find a way to forget the morning I can not remember yesterday I decide to put butter on my toast, too bad I'll try something else , it does not lack ideas, but the hardest thing to take them to the end, nothing is easy, you have to go far to begin to see that the path does not exist, create it as they advance, then not bother to look at a map to tomorrow, today is enough to go to evening, all those hours to face as if it was dark, nothing is safe, who am I , I hear good or am I crazy, the world is real, so all is well
WHEN will I have time to take the path that leads somewhere, a place known but that does not look like the one I usually take, I can understand that time is also a certainty and a nuisance, how to respond a question that does not exist, I'm not in the ultimate dimension, as I'm breathing, I'm like anyone else, but I'm taking a road that goes straight, you accept anything, it do not know what to take, does it make a must or must it be a fleet, a flight but made half without meaning, but misunderstood in the way intended to finally become one, but for the moment the loss is exclusive , no middleman, immediate justice, no time lost, the goal is reached, it is my duty to let the urge to go, then we can go freely, but it depends on me, so I can start to complain that it does not move fast enough, but yes, yes, but
as far as I can restrain myself, why not continue, but I do not know if I can switch from one to another without trouble, I prefer to start with the easiest, then I'll take left onto sen width, but I do not intend to pretend, I'm real, he has to go that far, but it seems to me that the result does not meet expectations, we now know n is not yesterday, then we can go through the door, I do not yet know the importance of the action, but I am sure that the craving passes, that's how I can free up disease that eats at me, that makes all, it is impossible to remain voiceless, cry our passion to exist, the only reason that pushes me to be what I am, a single copy which would be what it is completely
one way I takes the cake, but ultimately I prefer to take a walk, I like breathing fresh air, so what if I'm asleep, I'll try even though I'm impatient, I'll be happy tomorrow, but today okay, you understand that I am in the untenable position in continuity, yes, I know I can move on but the altitude is the right one, I launched into the sky, I hear noise, it is me welcomes you welcomes me, and I fall into a hole, the earth falls on my head, I think, therefore I am, I tell myself that it's good, but it seems that the storm is near, how far could I surprised, I would like to surround but she refuses to get caught, I am obliged to offend, to provoke it to come out of his den, so she leaves her legs and she walks in every direction trying to understand the message, what does he do that, go, stay, tomorrow is tomorrow, then everything happens and everything goes, how hesitate to make up
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