when is it now
mercredi 26 septembre 2012
Je suis toujours au courant de ce qui se passe, comment pourrais-je ignorer que je suis en vie, même quand je dors, je suis sûr d'exister parce que je me réveille le matin, je me rends compte comment je peux me lever pour aller jusqu'à la salle de séjour pour regarder le soleil, chaque matin un autre jour de la vie, je les compte, après une centaine je recommence au début, je ne voulais pas vieillir, chaque jour annonce le début et la fin, je préfère compter sans penser que la terre tourne dans une direction qui ne me favorise pas, je devrais rester dans les nuages, mais comment pourrais-je faire pour mon café, pas de café le matin, je ne pouvais pas raisonnablement m'attendre à me placer hors des limites du corps, je suis toujours couché dans un rêve, nous devons agir rapidement, mais pourquoi il est vivant, je pensais que c'était faux, nous avons toujours pu réunir ses jouets afin qu'ils ne soient pas perdus, mais les souvenirs dispersent la réalité, il est idéal lorsque vous n'avez plus besoin de compter les perles, il doit être raisonnable, avant c'est à droite, finir ce que j'ai commencer, après c'est à gauche, commencer avant la fin, les jours de grande affluence pour les adultes qui commencent, puis le rythme se ralentit, le temps est révolu et on ramassa la force et l'agilité dans le caniveau, il reste qu'on se plaint de ne pouvoir porter un regard neuf sur le corps, un peu moins chaque jour, mais la vie n'est pas triste, c'est le soir, peu de temps pour dormir, le plaisir, merveilleux moment de tranquillité, l'aventure, la soif, la fin de la journée, et demain ça recommence, tant pis si le chemin n'est pas là où je voudrais, car ce que souhaite dans la vie c'est d'arriver sans me fatiguer
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