when is it now
mardi 31 mars 2015
un jour gris j'avance dans un sens qui m'échappe
un jour gris j'avance dans un sens qui m'échappe car pour être vraiment actuel sans perdre de vue l'instant qui brille par son silence une mise en garde des gardiens du temple pour que ça se passe au plus grand des inquiétudes vraisemblables ce quoi reste vrai depuis que la découverte de la pénicilline reste un fait majeur dans la chose précédente, en ce qui concerne la prédication maya qui choisit le premier jour qui donne un gage de sérieux à un ensemble fait pour rire à gorge déployée, façon mystère de Paris à la foire des moyens de locomotions en face du facteur qui se prend à rêver au paquet qui va le rendre riche, on peut toujours rêver, ce qui se passe alors que tout le monde s'en va, c'est une inversion de style, avant c'était plus long, et après c'est plus long, donc pour conclure hâtivement j'ai un train à prendre pour aller voir quelqu'un qui m'a promis de me dire à quelle heure ça se passe en séance plénière pour que la chambre fasse le tour et arrive comme par magie au milieu de la cour, et puis par erreur d'aiguillage je passe par le genre de perdition qu'on raconte aux enfants pour les endormir et leur faire faire des cauchemars, et comme ça commence je prend mon temps et j'annonce la couleur, pas de problème tout se règle rapidement il faut dire que je sais ce que c'est, je ne suis pas un novice dans les salles de prédiction aléatoire et comment ça se passe là dans la chaleur d'une fin d'après-midi en faisant ça au milieu de glaçons merveilleux, ce moment je m'en souviens parfaitement il allait pourtant dans l'eau, mais ce qui me surprend c'est la facilité de croire que tout est derrière, alors que dans certains cas c'est entre les deux et pourquoi ce moment n'est pas celui qui pourrait un jour devenir autre chose, ce n'est pas encore identifié, il y a trop de moyens courriers, qui annoncent la faiblesse temporelle une fois que c'est engagé on ne peut plus le rectifier et comme toujours en pareil car on ne fait rien pour les blessés, en ce jour de commémoration de la guerre, alors que les drapeaux flottent dans les airs, que le chats se prélassent sur le rebord de la fenêtre, j'engage mon avancée dans la pois cette fois prend le temps de bénir l'assistance, ce qui rend aussitôt le champ immobile, on attend que ça passe et le rigolo est d'action suprême alors quoi faire pour rester dans le temps libre, une chose est sûre, tout ce qu'on sait on a le droit de le faire, alors reste le piston qui ne veut pas jouer le jeu, je suis au courant de la poire pour la soif, et plouf car tout ce qui reste de l'impayé c'est une chaise pour s'assoir et un lit pour dormir, alors qu'avant quand on avait encore l'excuse de faire des affaires saines des plaisirs à n'en plus finir sauf qu'un jour on prend tout et tout ce qui reste c'est une chaise pour dormir et un lit pour s'assoir, c'est que tout ça me tend la flèche et que dans un dialogue des carmélites je vois bien que le menton qui dit non c'est en fait le tendon qui se tend et après on avance dans l'histoire et pour que ça enfin cette chose qui peut à la rigueur être mise dans la catégorie des instruments à vent, mais dans le temps qui me reste je suis au plus avancé des postes dans la plaine des mers chaudes, ce qui me rassure car étant moi-même dans l'incapacité de faire un parcours long, ce qui s'arrête plus souvent que moi je cherche à faire ça, un peu dans la joie, mais surtout dans l'ignorance, ce qui se fait bien pour être mis en doigté rapidement dans la grille de sur tarification majoritaire en occident et ça bien qu'on soit disposé à coopérer, ce qui est le plus sage
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire