when is it now
lundi 29 juin 2015
un jour je fus vaincu
un jour je fus vaincu et pour le reste je passe à la campagne car pour respirer il faut des arbres du vert du marron plus la peine de se dire que tout va bien car pour que ça sorte de façon à être fait dans la demeure la plus simple, je ne vois qu'un chemin capable de prendre une pelle pour faire sauter les pommes de terre ce qui tombe rapidement dans la même situation que la précédente car pour savoir nager il faut se laisser persuader que tout compte dans chaque geste, et donc pour avoir de la fluidité qui ne passe pas sous la barre des anchois, ce qui montre que tout le plateau est mis dans la même suite que tout le plat du tôt qui n'est pas tard mais avec des prises intéressantes car du point de vue du passager qui ne quitte pas sa cabine il faut un chien à chaque porte pour dire que tout est oreiller, ce qui fait plonger le court dans la rivière, mince un poisson mort, mais voilà que ça chante c'est le joli mois de mai, mais moi aussi je suis dans le calme, ça ne se voit pas mais à l'intérieur je boue comme de l'eau qui va exploser, et comme ça on raconte que tous les ans on arrive à un point de chute, comme ce qu'on m'a dit l'autre jour que la chanson qui entre dans la tête ne sort que le samedi, car pour être prêt à ne faire que ça, je fais ce que je peux pour passer en premier, ce n'est pas une désobligeance mais simplement une action qui en entraîne une autre jusqu'à la libération des atomes mais voilà que ça change de genre, il faut allumer un feu pour avertir ceux qui sont de l'autre côté que bientôt le vent va s'approcher pour espionner le temps qui passe un bon moment, et voilà que ça remue du bas du corps, j'en conclue que pour être dans la vie il faut avoir une naissance et aussi un corps qui cherche les ennuis, ce qui me demande de faire un effort, car pour moi tout est simple, il faut donc que je comprenne pourquoi il se peut qu'un jour ça devienne compliqué, mais pour le moment je continue à passer à côté ce qui n'est pas rapide, mais comme je ne sais pas comment faire pour passer de l'autre côté, j'attends qu'un jour par hasard je trouve un passage, et je ne sais pas si ça se fera de mon vivant, car quelques fois on passe pile dedans mais ça met du temps à remonter et entre temps son cœur s'est arrêté de battre et quand la nouvelle arrive on est froid comme seule la mort peut le faire, mais voilà ce n'est pas moi car moi j'attendais dans la pièce d'à côté qui communique par une porte qui ouvre sur l'autre pièce mais avec des endives on peut le faire aussi car dans une casserole que tu remplis d'eau il se passe un phénomène étrange comme si tout était analysé pour que la santé prenne la parole, mais au dernier moment ça bascule dans une sorte de mémoire qui s'en va, mais où allez-vous de si bon matin, j'ai à faire me dit-elle et on ne l'a revit jamais plus, voilà pourquoi je me dépêche de faire ce que j'ai à faire car si j'arrive au coin qui se trouve dans la rue principale, je crois que je vais devenir un oiseau, ou alors une assiette sale qui ouvre le bal des salauds, pour que tout entre en bas et on en parle plus car j'ai trouvé un moyen de passer rapidement vers le ciel, il suffit de renverser son verre et d'emprisonner l'air qui est dedans, tu attends deux ans et quand c'est le bon moment qui s'affiche sur l'écran, je mets le nez dans le verre et là je passe deux heures d'extase, ce qui me provoque des absences car pour avoir fait ça trop souvent je suis obligé maintenant de timbrer mes enveloppes et comme c'est le jour de ramassage des ordures je vérifie le pantalon gris
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