when is it now
mercredi 29 avril 2009
when I talk I want out of my mouth stories in which I can venture without getting lost, but it is difficult not to lose his footing as the tide rises high, I float in the significant unconscious beside a common sense open minded, my friend come back, this is a bad time to go, do you think it is finished, they close the box for good, I was wrong to stay too long, Since its inception I am here without having to move up, I had no ambition and pay me enough, then the years go by without making careful, the impact is heavy to bear at once, the shop stops, without warning, as if we had a car accident, but also what is the cause of death, I was too busy at the knee to form cells and I is not heard what went up there, what a shot, a bullet through the head, but why didn't we fell, we sat at the time of the fall, ie not falling, I understand better now why main lights went out at once happily relayed by the light side, but for how long, you know it is a sign of the end, the dark night soon, no more activity, it had lasted sixty-three years, we think it will last forever, but still we do not end up like this, what they produce is high level of consciousness, how to get to the last day of his life with a bullet in the head, we are not at war, is it a lost ball, had it with the wrong crowd, it is the last to know and it's too late to change, when I think back to these thugs who have taken advantage of a cold to spit and go to a solid body that must still live for a long time, and finally pointless to whine, I'm already low, look, even the bad cells disappear, no more disease, but life also, no one without the other is the big problem, the bodies are in constant struggle to keep balance, but I talk too much, there is the invasion of destructives who will clean up all the bones, the time will eventually work while reducing them in powder, goodbye life and no paradise for us, it was our time, served as best we could, not even champagne but worm glass without foot, it teems everywhere, how could I have imagined such a scene, my youth was beautiful, carefree, and I am on the brink, I have nothing prepared, he had no time to say more, he was engulfed in a bilious magma from liver
quand je parle je veux que sortent de ma bouche des histoires où je puisse m'aventurer sans me perdre, mais il est difficile de ne pas perdre pied tant la marée monte haut, je flotte dans l'inconscient significatif à côté d'un sens commun en plein doute, mon ami reprenez-vous, ce n'est qu'un mauvais moment à passer, croyez-vous, c'est fini, on liquide la boîte pour de bon, j'ai eu le tord de rester trop longtemps, depuis sa création je suis là sans avoir bougé de place, je n'avais pas d'ambition et la paye me suffisait, alors les années passent sans y faire attention, le choc est lourd à porter, d'un coup on ferme la boutique, sans prévenir, comme si on avait eu un accident de la route, mais d'ailleurs quelle est la cause du décès, j'étais trop occupé au niveau du genou à former des cellules et je n'est rien entendu de ce qui se passait là haut, quoi un coup de feu, une balle a traversé la tête, mais pourquoi ne sommes nous pas tombé, nous étions assis au moment de la chute, c'est à dire de la non chute, je comprends mieux maintenant pourquoi les lumières principales se sont éteintes d'un seul coup relayées heureusement par le lumières secondaires, mais pour combien de temps, on sait que c'est un signe de la fin, bientôt la nuit noire, plus aucune activité, ça avait duré soixante trois ans, on pense que ça va durer toujours, mais quand même on n'imagine pas finir comme ça, qu'est-ce qu'ils fabriquent là haut au niveau de la conscience, comment arriver au dernier jour de sa vie avec une balle dans la tête, nous ne sommes pas en guerre, est-ce une balle perdue, avait-il de mauvaises fréquentations, on est les derniers à savoir et c'est trop tard pour changer, quand je repense à ces voyous qui ont profité d'un rhum pour partir en postillon vers un corps solide qui doit vivre encore aujourd'hui et pour longtemps, enfin inutile de se lamenter, je me sens déjà bien faible, regarde, même les mauvaises cellules disparaissent, finies les maladies, mais la vie aussi, on n'a pas l'un sans l'autre, c'est le gros problème, les corps sont en lutte permanente pour garder l'équilibre, mais je parle trop, ça y est c'est l'invasion des destructeurs qui vont tout nettoyer jusqu'à l'os, le temps finira le travail en réduisant tout en poudre, adieu la vie et pas de paradis pour nous, on a fait nôtre temps, on a servi du mieux qu'on pouvait, même pas de champagne et trop de verres sans pied, ça grouille de partout, comment aurais-je pu imaginer une scène pareille, ma jeunesse fut belle, insouciante, et me voilà au bord du précipice, je n'ai rien préparé, il n'eut pas le temps d'en dire plus, il fut englouti dans un magma bilieux en provenance du foie
lundi 27 avril 2009
to say is not good, why wait longer, I do not want to sound arrogant but the station is not far to leave it there, love the journey deep into the self-esteem when everything goes wrong, where to look for comfort if not in his head, magic place where the sphere reaches the square, everything is possible in this space dedicated to the magic mercantile, while it buys, it's lost , it's a rainy day when everything seems lost, but how ever all is in perpetual renewal, yesterday is in the trunk, but tomorrow is already in the train, so why worry, just do the things you want to achieve and after is the story of the man who wanted to be king and who manages to piss next to the toilet, the human is like that, he has big dreams that eventually land in the middle of the dust raised by the wind, nothing to say, it's folded, once here, and after the the height of every step no output suitable, one entry borked and no more road in life, misfortune came, woe started with his fierce injury death, the tragedy of life, then I raise my glass to the optimism of laughs melancholy weeping, laugh before it is too late, the comedy is beating but when the lights switch off, the black meets the body and dragged to the dawn of sad morning, nothing before, freedom feels the pavement, friends of virtue I greet you, you're badly off, no fire or heat for your both feet, walking on one to save another, but at least you're not tempted by the most, no family history, the distance is near, the future back to the desire to sleep , good but it is not all that, I have to live now, why wait for it always comes, and if it had not, don't wait first, what is here is now, it happens, live, breathe air caused by wind, look around you happy there, breathe, walk, every second on the brink of the abyss, insurance exchange, but watch means light comedy, not necessarily truth, be happy is lying, it is also fun, it is agreed, we are launching on an adventure without thinking, leaving us without return to the collision of ourselves, we can only cross the barrier to be constant feeling of happiness, everything is fleeting impression, nothing is really, everyone sees differently, then to be out of boredom, go to the common impression that everyone thinks differently but raptures of being together in a momentum of light happiness is possible despite the body, if your drive is up, rub it with envy, it works
pour se dire c'est pas bon, pourquoi attendre longtemps, je ne ne veux pas paraître arrogant mais la gare n'est pas loin, pour partir c'est par là, à condition d'aimer le voyage au plus profond de l'estime de soi quand tout va mal, où chercher du réconfort si ce n'est dans sa tête, lieu magique où la sphère rejoint le carré, tout est possible dans cet espace dédié à la magie mercantile, tout s'y achète, se perd, se retrouve un jour de pluie quand tout paraît perdu, mais comment dire jamais à un perpétuel recommencement, hier se fait la malle, mais demain est déjà dans le train, alors pourquoi s'en faire, juste faire les choses que je veux réaliser et après c'est l'histoire de l'homme qui voulut être roi et qui réussit à pisser à côté de la cuvette, l'humain est comme ça, il a de grands rêves qui finissent par terre, au milieu de la poussière soulevée par le vent, rien à dire, c'est plié, une fois par ci, par là et pour le comble de tout pas de sortie convenable, une entrée foireuse et une vie en déroute, malheur est venu, malheur est parti avec sa volonté farouche de blesser à mort, tragédie de la vie, alors je lève mon verre à l'optimisme qui se rit du vague à l'âme pleureuse, rions avant qu'il ne soit trop tard, la comédie est battante mais quand les lumières s'éteignent, le noir remplit les corps et les traîne jusqu'à l'aube glauque des matins sans rien devant, la liberté sent le pavé, amis de la vertu je vous salue, vous voilà bien mal lotis, point de feu où chauffer vos deux pieds, vous marchez sur l'un pour économiser l'autre, mais au moins vous n'êtes pas tenté par le plus, pas d'histoire de famille, le loin est près, l'avenir ramené à l'envie de dormir, bon mais c'est pas tout ça, faut que je vive maintenant, pourquoi toujours attendre que ça vienne, et si si ça venait pas, attendre quoi d'abord, c'est ici et maintenant que ça se passe, vivez, respirez l'air amené par le vent, voyez autour de vous l'existence joyeuse, respirer, marcher, chaque seconde au bord de l'abîme, assurance d'échanger, mais attention comédie veut dire légèreté, pas forcément vérité, être joyeux c'est aussi mentir, c'est aussi faire plaisir, c'est d'accord, lançons nous à l'aventure sans réfléchir, partons sans nous retourner à l'abordage de nous même, nous seul pouvons franchir la barrière de l'être pour avoir l'impression constante du bonheur, tout est impression fugace, rien n'existe vraiment, chacun voit différemment, alors pour se retrouver sans ennui, passons à l'impression commune où chacun pense différemment mais s'extasie d'être ensemble dans un élan de bonheur léger, c'est possible malgré les corps, en cas de pulsion on se frotte avec l'envie, ça marche
in uncertainty about the problem to exist, it must swim to the surface for at least forty years, then a chemical reaction causes a transformation from liquid to solid state, it becomes hard, hard to continue as if nothing had happened, hard to move backwards, hard to be soft, hard of hearing, to be in an adventure that ends in a fall vertical water, go back in the fleet that we left the day of its birth, cry in both cases, the anxiety of the unknown, we may have lived longer and accumulated more experiences than the new-born, we know no more about the future it's reserved up there, it could even be said upon reflection, we know less than an hour after being born, the closer of the birth, the more you stick to the original, before being developed, there's what we always said there's something after life, but before it is the same, the same bath original we are in the the soup forever, one day, something unusual in the infinite, we pass into a cell that is divided up into two billions, it is human experience which will run for a second in a miscarriage immediate , to 118 years, a Chinese recognized as the oldest example of human being, 118 years we do things, but what exactly things, silly things, stupid comments on the neighbors, an increase of salary, vacation in the seaside, this is not essential and nothing compared to the small child learning to walk and to laugh by hiding hiùself behind his hands, the whole history of the man is plaid here, but life goes fast, since three years the school takes over, to try to slow, there has been millions of years before discovering the wheel and the republican school is to maintain this pace by putting children in boxes of brief reflection, we must destroy the feeling, the only reason can make good citizens, count, read, reflect, no classes on love, how to love the other, ba a ba of the relationship blossomed, review year-end elimination, show how during the years you loved your neighbor whether teacher or student, the teachers themselves undertake to love their students, the reality is very different teaching relationships between students, everything is built on hatred, of myself, of others, you must crush not to be crushed, humiliation, degradation, dirty tricks, this is a good experience and then you can deal with life as adult, those who have not understood and were nice at forty years, wake up one day, so it's like that, well, it's time to go to bed
dans l'incertitude de savoir le fond du problème d'exister, il faut nager à la surface pendant au moins quarante ans, alors se passe une réaction chimique qui fait passer de l'état liquide à l'état solide, c'est à dire que ça devient dur, dur de continuer à faire comme si de rien n'était, dur d'avancer en reculant, dur d'être mou, dur d'oreille, sur d'être embarqué dans une aventure qui finit sur une chute d'eau verticale, allez hop, retour dans la flotte qu'on a quitté le jour de sa naissance, on gueule dans les deux cas, l'angoisse de l'inconnu, on a beau avoir vécu plus longtemps et accumulé plus d'expérience que le nouveau-né, on en sait pas plus sur l'avenir qu'on nous réserve de là haut, on pourrais même se dire après réflexion qu'on en sait moins qu'une heure après être né, plus on se rapproche de la naissance, plus on colle à l'origine, avant d'être conçu, y'a quoi, on dit toujours après la vie y'a quelque chose, mais avant c'est pareil, c'est le même bain originel, on baigne dans la soupe éternelle, un jour, chose inhabituelle dans l'infini, on passe dans une cellule qui se divise en deux jusqu'à des milliards, c'est l'expérience humaine qui va durer de une seconde, fausse couche immédiate, à 118 ans, un chinois reconnu comme le plus vieil exemplaire d'être humain, en 118 ans on en fait des choses, mais quelles choses exactement, des bêtises, des commentaires idiots sur les voisins, une augmentation de salaire, des vacances au bord de la mer, tout cela n'est pas essentiel et compte pour du beurre par rapport au petit enfant qui apprend à marcher et à rire en se cachant derrière ses mains, c'est toute l'histoire de l'homme qui se rejoue en concentré, il faut aller vite, dès trois ans c'est l'école qui prend le relais, pour ralentir l'évolution, on a mis des millions d'années avant de découvrir la roue et l'école républicaine s'applique à conserver ce rythme en mettant les enfants dans des boîtes de réflexion sommaire, il faut anéantir le sentiment, la raison unique pour faire de bon citoyen, compter, lire, réfléchir, pas de cours sur l'amour, comment aimer l'autre, le ba a ba de la relation épanouie, examen en fin d'année éliminatoire, montrer comment pendant l'année on a aimé son prochain qu'il soit professeur ou élève, les professeurs eux-mêmes s'engagent à aimer leur élèves, la réalité est toute autre, enseignement, relations entre les élèves, tout est construit sur la haine, de soi, des autres, il faut écraser pour ne pas être écrasé, humiliations, bassesse, coups tordus, voilà une bonne expérience pour ensuite se débrouiller dans la vie, ceux qui n'ont pas compris et sont restés gentils à quarante ans se réveillent un jour, alors c'est comme ça, bon, c'est l'heure d'aller se coucher
the why not people are many, a silent majority waiting after the swinging movement as the head of muppet dogs on the rear of the car, how to be otherwise, to decide how my life could be without being forced to follow, i must be selfish, ie to abandon frivolous pleasures, maximum concentration on the present, forgetting that yesterday was or will be tomorrow, thinking that all is happening continuously in the uncertainty of mass destruction uncontrolled madness, Millions of neurons disappear in general indifference, where am I going, straight into the unknown, adventure staying motionless at the bottom of the poorly lit room, I travel in remote areas of my heart, in search of an answer, is she in my liver or in my spleen, or somewhere I do not know the name, why bother to drag my luggage at the end of the world when you can go at home in the depths of human mystery, what's more wonderful than to discover after years of research that the body is dirty, it stinks, fom mouth, buttocks, under arms, feet, the skin when there has not washed for a week, but something extraordinary, in the center of this stench shite, strolls the soul, great simplicity and beauty, the problem is to follow it, she scoots in the bend of the nerve tissue at the speed of light, it is obviously the opposite of the shadow, it's the beauty of human beings, everything else is just stinking flesh, nature guided by self-interest to override the maximum number of people, so when by chance I see my soul through the highway of the sun, I sit and do nothing, contemplating the beauty of living at the rhythm of my lunar breathing, time passes majestic up to the concern that arises, who am I, Where am I going, could I not enjoy peace in a moment of grace, no, the flesh recovers outrage, it requires aging in the stress and anxiety, I resist as I can but the struggle is unequal, The weight of the world is on my shoulders, I'm alone with the many, lost in the great ocean, worried in the night, the day dazzles, O life as it passes through a torrent of mud to fail in the garbage of modern society, am i only one, living until life ends, my body will descend to the cave, the bodies wear out, hope, too, what can y keep from past, images without captions complicate thr present by interpreting new situations through old ideas
les pourquoi pas sont nombreux, une majorité silencieuse qui suit le mouvement en balançant la tête comme les chiens en peluche sur la plage arrière de la voiture, comment être autrement, comment décider de sa vie sans être obligé de suivre, il faut être soi-même, c'est à dire renoncer aux plaisirs futiles, concentration maximum sur l'état présent, oublier qu'hier était ou que demain sera, la réflexion se passe en continu dans l'incertitude de destruction massive incontrôlée, les neurones en folie disparaissent par millions dans l'indifférence générale, où vais-je, tout droit dans l'inconnu, aventure immobile au fond de la pièce mal éclairée , je parcours des régions éloignées de mon coeur, à la recherche d'une réponse, se trouve-t-elle dans mon foie, ou dans ma rate, ou quelque part dont je ne connais pas le nom, pourquoi s'embêter à traîner ses bagages au bout du monde quand on peut partir en soi au plus profond du mystère humain, quoi de plus merveilleux que de découvrir après des années de recherche que le corps est sale, qu'il pue, par la bouche, par les fesses, sous les bras, aux pieds, toute la peau quand on ne s'est pas lavé depuis une semaine, mais chose extraordinaire, au centre de cette puanteur cacateuse, se balade l'âme, merveilleuse de simplicité et de beauté, le problème est de la suivre, elle file dans le méandre des tissus nerveux à la vitesse de la lumière, évidemment elle est l'opposé de l'ombre, c'est la part belle de l'être humain, tout le reste n'est que chair puante et caractère merdouilleux guidé par l'intérêt personnel d'écraser le maximum de personnes, alors quand par hasard je vois mon âme traverser l'autoroute du soleil, je reste assis à ne rien faire, contemplant la beauté du monde vivant au rythme de ma respiration lunaire, le temps passe majestueux jusqu'à l'inquiétude qui surgit, qui suis-je, où vais-je, ne pourrais-je pas savourer en paix un moment de grâce, non la chair se redresse indignée, elle exige de vieillir sur le champs dans le stress et l'angoisse, je résiste comme je peux mais la lutte est inégale, le poids du monde est sur mes épaules, je suis seul face à la multitude, perdu dans l'océan superbe, inquiet dans la nuit, le jour m'aveugle, ô vie qui passe dans un torrent de boue pour échouer dans les immondices de la société moderne, ne suis-je qu'un, vivant une seule vie qui finit, mon corps va descendre à la cave, les organes s'usent, l'espérance aussi, alors que reste-t-il du passé, des images sans légendes qui n'expliquent rien, au contraire, elles compliquent le présent en interprétant des situations nouvelles au travers d'idées anciennes
samedi 25 avril 2009
o uncertain joy from the smallest place I know, behind the scenes of reality unconscious but accessible if you pay attention, the future is there to say loud and clear, while there is a story yet to end string lights accidentally casts trouble, should we believe in the thesis of professor or in that of the great grand-father of one who caused a scandal a day while I was not aware of the disturbing case, a heart where it, in short time to pass by chance I did meet someone important in the sense that I want to meet him, but where did I head, it's Friday today it is essential that I sign to be born to the stage, I need a name that repeats itself in the mouth, that I may dwell in the hearts of women, men do not interest me, I myself am a man, I want the variety of forms, as a fall in another, going to set it a case of conscience, no, you have to enter into one another, that is human history, since the first man he must be given to women so that human beings can exist in a thousand years, ten, hundred, one billion years, just because a piece is entered in a strange and beautiful world where existence emerges from the unknown future in Braille Mom, there is not yet the big jump, but still, the BIS is not writing, I lay alone and nobody was to be seen, then I do can help fish for ideas when they come from somewhere I do not know that a unknown place on my life and even less on my credit card, then I am for a brief moment alone in the middle of my room to dream that I am, while the brother of my aunt wants to go to the police because he thinks he killed a rabbit, I am in the state manages or next to the jar of green fish
o joie incertaine venant du plus petit endroit que je connaisse, l'envers du décors de la réalité inconsciente mais pourtant accessible si on y prête attention, l'avenir est là pour le dire haut et fort, tout existe et pourtant une histoire de bout ficelle allumée par hasard jette le trouble, faut-il croire dans la thèse du professeur ou bien dans celle de l'arrière grand-père de celle qui fit scandale un jour alors que je n'étais pas au courant de la troublante affaire, un coeur où ça, bref le temps de passer par hasard je fis la rencontre de quelqu'un d'important dans le sens qu'il m'importait de le rencontrer, mais où avais-je la tête, c'est vendredi aujourd'hui, il faut absolument que je signe pour naître à la scène, il me faut un nom qui se répète dans les bouches, que je puisse habiter dans le coeur des femmes, celui des hommes ne m'intéresse pas, je suis moi-même un homme, je cherche la diversité des formes, comme une prise rentre dans une autre, se pose-t-elle un cas de conscience, non, il faut entrer l'une dans l'autre, c'est l'histoire humaine, depuis le premier homme, il faut s'intéresser à la femme pour que l'être humain puisse exister dans mille ans, dix, cent, un milliard d'années, uniquement parce qu'un bout est entré dans un univers étrange et beau où l'existence émerge de l'inconnu en braillant un futur maman, là c'est pas encore le grand saut, mais quand même, le bis n'esiste pas en écriture, je suis seul pour pondre et pas âme qui vive, alors je ne peux m'empêcher de pêcher des idées quand elles tombent de quelque part que j'ignore, un endroit inconnu sur ma carte vitale et encore moins sur ma carte bleue, alors je suis bien, pour un court instant, seul, au milieu de ma chambre à rêver que je suis moi alors que le beau-frère de ma tante veut se rendre à la police car il pense avoir tué un lapin, suis-je dans l'état gère ou à côté du bocal du poisson vert
dimanche 19 avril 2009
samedi 18 avril 2009
when I heard the news, I was certainly taken a huge, how was I going to continue to believe in me, the uncertainty I won, I had to find a way to get out, but what was the route cleared, a straight road without nest of chicken, away from a woman i live with, who has a desire to take all the place, to have a clear view, this is a way to live in couple denying the other, pushing me in fear of losing my bearings, I am responsible for this situation, do I make my self-criticism, but have the two to live in perpetual questions, I am condemned to live next to nothing, it struck me at once, a new overwhelming, I had the breath away, how did I live so long in this unsatisfactory situation without realizing it, the Life is complex, where is the middle of the bed or the happiness flowing, I was on the port side and she was on the starboard, but I rowed to avoid being ejected in the fields, I believed in this relationship and I was struggling to climb the cliff but I was constantly reduced in the basement, a wet basement where my brain was running in a loop around the problem, what to do, I did not answer the main question for me missing, am I happy with it now, after years in the wall, I found an exit door that was fifteen years younger than me, it's the perfect balance, she looks at me as a god, I see her as an angel incapable of indifference, is the fusion of bodies and minds, a harmonious that couldn't happen before, with hindsight I can thank this woman who took my years and at the same time gave me the vision of happiness, it takes time to know who you are and where you go
quand j'ai appris la nouvelle, je fus pris d'un doute immense, comment allais-je continuer à croire en moi, l'incertitude me gagnait, il fallait que je trouve un moyen de m'en sortir, mais quelle route dégagée se présentait à moi, une route droite sans nid de de poule, façon femme indifférente qui n'a qu'une envie, prendre toute la place pour ne plus voir personne qui gênerait sa vue, c'est une manière de vivre en couple en niant l'autre, en me poussant dans l'inquiétude de perdre mes repères, suis-je responsable de cette situation, dois-je faire mon auto-critique, mais la vie à deux doit-elle se passer en interrogations perpétuelles, je suis condamné à vivre à côté de rien, ça m'a frappé d'un coup, une nouvelle écrasante, j'en eu le souffle coupé, comment ai-je pu vivre si longtemps dans cette situation insatisfaisante sans m'en rendre compte, la vie est complexe, où se trouve le milieu du lit ou coule le bonheur, j'étais sur la rive bâbord et elle à tribord, mais c'est moi qui ramait pour ne pas être éjecté dans les champs, j'y croyais dans cette relation et je luttais pour grimper la falaise mais j'étais sans cesse ramené au sous-sol, une cave humide où mon cerveau tournait en boucle autour de l'ennui, que faire, je n'avais pas de réponse car la question principale me manquait, suis-je heureux avec elle, aujourd'hui, après des années dans le mur, j'ai trouvé une porte de sortie qui a quinze ans de moins que moi, c'est l'équilibre parfait, elle me regarde comme un dieu, je la vois comme un ange incapable d'indifférence, c'est la fusion des corps et des esprits, un présent harmonieux qui ne pouvait sans doute arriver plutôt, avec le recul je peux remercier cette femme qui m'a pris des années et en même temps m'a donné la vision du bonheur, il en faut du temps pour savoir qui on est et où on va
vendredi 17 avril 2009
the little boy wondered how you grow, or as he was walking down the street, a passerby asked him how old he was, the little boy who had understood that we should not talk to strangers, sought first to avoid the gaze of this man, but for reasons that escaped him, he began to speak without stopping everything and anything so it was that night, the little boy didn't see it, he spoke a long time, days and years and the small boy disappeared, around the corner it's an old man who spoke lonely, he frightened a young boy holding the hand of her mom, mom, mom why he speaks Sir, leave my beloved, it's an old gentleman who has not all his reason, indeed, he had lost it as a child and could not understand that the higher age smashes the lower, then the young makes its bags to give to the old, who puts them under his eyes, years push down my life as round fruit on a branch, they will soon rot in the land and may give birth to another tree, this is the hope of the human being, fertilize a new generation to go to infinity, even further than the end of the earth in four billion years, it's enough that the generation before the end of the earth may have moved to another solar system where humans could grow again, destroy themselves, love each other, in the belief that life passes in a day, but tomorrow is possible, then start today let's give birth to hope for its wonderful fruits which brighten my outlook on life, going still further in the discovery of fertility, a tiny seed and everything turns into the chaos of daily opportunities
le petit garçon se demandait comment on grandit, or un jour qu'il marchait dans la rue, un passant lui demanda quel âge il avait, le petit garçon qui avait bien compris qu'il ne fallait pas parler aux inconnus, chercha d'abord à éviter le regard de cet homme, mais pour une raison qui lui échappa, il se mit à parler sans s'arrêter de tout et de rien si bien qu'il fût nuit sans que le petit garçon ne s'en aperçut, il parla encore longtemps, des jours et des années et le petit garçon disparut, au coin de la rue c'est un homme vieux qui parlait tout seul et qui fit peur au jeune garçon qui tenait la main de sa maman, maman, maman pourquoi il parle le monsieur, laisse mon chéri, c'est un vieux monsieur qui n'a pas toute sa raison, effectivement, il l'avait perdue quand il était enfant et n'avait pu comprendre que le passage à l'âge supérieur ne se fait qu'en écrasant l'inférieur, alors le jeune fait ses valises pour les donner au vieux qui les met sous ses yeux, passez années qui me courbe l'espérance de vie comme une branche chargée de fruits ronds, ils vont bientôt pourrir dans la terre et peut-être donner naissance à un autre arbre, voilà l'espérance de l'être humain, féconder une nouvelle génération, pour aller vers l'infini, plus loin même que la fin de la terre dans quatre milliard d'année, il suffira que la génération d'avant la fin de la terre puisse avoir déménagé dans un autre système solaire où l'humain pourra recommencer de croître, de se détruire, de s'aimer en pensant que la vie passe dans un jour, mais demain c'est possible, alors commençons aujourd'hui, fécondons l'espérance pour que ses fruits merveilleux embellissent ma vision de la vie, en allant toujours plus loin dans la découverte de la fertilité, une graine minuscule et tout bascule dans le désordre des possibilités du quotidien
jeudi 9 avril 2009
in a sense I would have the opportunity to have another, ie, have two meanings in the same direction, one for common sense and one for outside, what is decided, the unknown that happens when you least expect it does, then we must act without thinking, decisive action promptly involving shipments of orders immediate powered by things seen before, of sensations, a feature seen TV, let's go, all is folded, salvation, irrevocable decision, without having to leave what I say, say it, but it's not saying well, I had not time to do, modern life imposes cut short, time is in a box that heats in the microwave, no more time to spend an afternoon, it's midi moins five and in five minutes it is ready, faster, too fast, where's the time to live, oh flower that leans towards the sun and another that fades after living in colors, but it is time to return to drink more wine that it is recommended to live long, live well immediately slow, live large and short, small until bedridden says meu, meu, you bastard die, too lived, one less
dans un certain sens aurais-je la possibilité d'en avoir un autre, c'est à dire, avoir deux sens dans la même direction, l'un pour le bon sens, l'autre pour l'extérieur, ce qui ne se décide pas, l'inconnu qui arrive quand on ne s'y attend pas, alors il faut agir sans réfléchir, une action décidée promptement faisant appel aux cargaisons de commandes immédiates alimentées par des choses vues précédemment, des sensations variées, un reportage vu à la télé, paf c'est parti pour ne plus revenir, c'est plié, salut, décision irrévocable, partir sans revenir sur ce que je dis, c'est dis, mais c'est pas bien dis, j'avais pas le temps de bien faire, la vie moderne impose de couper court, le temps est en boîte qu'on réchauffe au micro-onde, plus le temps de passer une après midi, c'est midi moins cinq et dans cinq minutes c'est prêt, plus vite, trop vite, où est passé le temps de vivre, oh une fleur qui se penche vers le soleil et une autre qui se fane après avoir vécu en couleurs, mais il est l'heure de rentrer pour boire plus de vin qu'il est recommandé pour vivre longtemps, vivons bien tout de suite avec lenteur, vivons grand et court, pas petit et long jusqu'au grabataire qui fait meu, meu, meurt salaud tu as trop vécu, un de moins
why am I french well nourished healthy and not poor teeth spoiled Algerian living with fifteen others in two rooms, the choice is quickly made, fatality organizes the all the organizations which organize the human is on the way organized by the organized without him, it's been a long time that things are as they should exist, everything is planned, number 1, on the first day of the life of Adam, then we place the survival blanket to me in my life until death, having already experienced the death of my youth, buried in my body with no return, each thing in its time, I was innocent , funny, young, without preconceptions, only wanting one thing, do not go to school on Saturday morning, the rest ie the life passed me over the head, it was easy I was not very high, you tell me that I am little more, but I weigh more heavily, all these ideas to the con that I have accumulated for decades, without really wanting to take How many ideas are needed from outside, it is in moments of avachi brain like a stem caressed by the wind, that the idea surprises me
pourquoi suis-je français bien nourri en bonne santé et pas algérien pauvre les dents gâtées vivant avec quinze autres dans deux pièces, le choix est vite fait, c'est à dire qu'il n'y en a pas, la fatalité organise l'ensemble des organisations organisées où l'humain prend le chemin organisé par l'organisation organisée sans lui, cela fait bien longtemps que les choses existent comme elles doivent exister, tout est planifié, numéro 1, naissance le premier jour de la vie d'Adam, après on déroule la couverture de survie jusqu'à moi, en vie jusqu'à ma mort, ayant déjà vécu la mort de ma jeunesse, enterrée dans mon corps avec interdiction de revenir, chaque chose en son temps, j'étais innocent, rigolo, jeune, sans idée préconçue, ne voulant qu'une chose, ne pas aller à l'école le samedi matin,le reste c'est à dire la vie me passait au-dessus de la tête, c'était facile, je n'étais pas très haut, vous me direz qu'aujourd'hui je ne le suis guère plus, mais je pèse plus lourd, toutes ces idées à la con que j'ai accumulé depuis des décennies, sans vraiment vouloir les prendre, combien d'idées s'imposent en venant de l'extérieur, c'est dans des moments d'avachissement cérébraux, telle une tige caressée par le vent, que l'idée me surprend
at this moment I am but for others I am nothing, for the world I do not live, only my family and friends who suspect that I am still alive but are unable to say what I do now and even less what I think, but myself I am able to dish the size of my brain in full activity, what is the hidden part of my thoughts and my feelings, to times I feel myself to sleep but when I hear the same activity that moves across my body, a thrill of my womb or a pike in my scalp which leads me to scratch myself while I did nothing, I concluded that it is impossible to think about anything when you believe it's already too late, it was thought to believe, turn in circles without being able to disconnect, I understand better why we age a little every day, impossible to remove the plug, we say good for appliances, take a strip with a switch to turn off the power of all devices plugged into this socket, whereby you increase the life of your computer or the TV, unplug it to live longer, it seems that in
à ce moment précis je suis mais pour d'autres je ne suis rien, pour le monde entier je ne vis pas, il n'y a que ma famille et mes amis qui se doutent que je suis encore en vie mais sont incapables de dire ce que je fais maintenant et encore moins à quoi je pense, mais moi-même suis-je en mesure de mettre à plat l'étendue des mes neurones en pleine activité, quelle est la part cachée des mes réflexions et de mes sentiments, à certains moments j'ai l'impression de me mettre en veille prolongée mais j'entends quand même l'activité qui se déplace dans mon corps, un tressaillement de mon ventre ou une pique dans mon cuir chevelu qui me pousse à me gratter alors que je ne pensais à rien, j'en conclus qu'il est impossible de penser à rien, quand on y croît c'est déjà trop tard, on a pensé à y croire, on tourne en rond sans pouvoir se déconnecter, je comprends mieux pourquoi on vieillit un peu tous les jours, impossible d'enlever la prise, on le dit bien pour les appareils électriques, prenez une multiprise avec interrupteur pour pouvoir couper l'alimentation des tous les appareils branchés sur cette prise, grâce à quoi vous augmenter la durée de vie de votre ordinateur ou de la télé, débrancher pour vivre plus longtemps, il paraît que dans
mardi 7 avril 2009
oblivion of the world brings together the vital forces in existence, there is crazy, we can not build on sand, the largest piece is inside, it must be put in place without saying that everything is lost, the time can get in good position, what would we do right away, but with years it can happen anywhere, we do not know where but one day we know, how did we get here, I 't know, is a succession of anonymous days, day 1 to 365, and again one, two, how many laps is like a carousel, which turns evil heart and you're content when it stops, the only problem is that it ends too abruptly, why can not we steal a little without turning, for example straight, well he must not return to the land, boring resume the conversation with his grandmother, wait years before leaving it alone to run errands, and even longer to take the train and spend the afternoon in the capital, just to wander freely without coercion, one step ahead the other trying to get the most out of my body in good health which can be tiring walk normally live free time before retirement
l'oubli du monde permet de rassembler les forces vitales à l'existence, ailleurs est fou, on peut rien construire sur du sable, le plus gros morceau est à l'intérieur, il faut le mettre en place sans se dire que tout est perdu, le temps permet de se mettre en bonne position, que ferions-nous tout de suite, mais avec des années on peut arriver quelque part, on ne sait pas où mais un jour on sait, comment est-on arrivé là, je l'ignore, c'est une succession de jours anonymes, du jour 1 à 365, et on recommence un, deux, pendant combien de tours, c'est comme sur un manège, des tours qui donnent mal au coeur et on est bien content quand ça s'arrête, le seul problème c'est que ça s'arrête trop brutalement, pour quoi ne peut-on pas voler encore un peu sans tourner, tout droit par exemple, hé bien non il faut revenir sur la terre ferme, reprendre la conversation ennuyeuse avec sa grand-mère, attendre des années avant de sortir seul faire des courses, et encore plus longtemps pour prendre le train et passer l'après midi à la capitale, juste pour se promener librement sans contrainte, un pas devant l'autre essayant de profiter un maximum de mon corps en bonne santé qui peut marcher en se fatiguant normalement, vive le temps libre avant la retraite
in the perfect satisfaction god exists in gaseous form, it floats around me without me or disturb me please, it's there until I am also in the hope of pleasure any beast to exist without doing anything else particular, I am listening to my body and space around me, I try to find a balance between the two and I take a step forward to verify that all assumptions lead to the same rhythm , then you many advances, the life you lead where you want, no, I have the impression to make on the spot, to avoid thinking about the hole in the ground waiting for me, I just water my mother, I live in the air in the atmosphere, the fire in me and the earth waiting for me to live my death, the four elements are present, it's good we can begin to discuss who thinks What is wrong party, the elements do not think they are, then who are you, no air, breath of weariness, he loves what he is to move into the trees to move the leaves so when you have to be at the table with the fire that CALCINED trees that I cross, but hey I was told it was common cause in trying to raise the level above the sea, as if it was thirsty
dans l'idéale satisfaction dieu existe sous forme gazeuse, il flotte autour de moi sans me gêner ni me plaire, il est là attendant que je sois ailleurs dans l'espérance tout bête du plaisir d'exister, sans rien faire d'autre de particulier, je suis bien à l'écoute de mon corps et de l'espace autour de moi, j'essaye de trouver un équilibre entre les deux et je fais un pas en avant pour vérifier que l'ensemble des suppositions avance au même rythme, alors tu avances bien, la vie te mène où tu veux, non, j'ai plutôt l'impression de faire du sur place, pour éviter de penser au trou qui m'attend dans la terre, je viens de l'eau de ma mère, je vis dans l'air de l'atmosphère, le feu est en moi et la terre m'attend pour y vivre ma mort, les quatre éléments sont réunis, c'est bon on va pouvoir commencer à discuter, qui pense quoi, c'est mal parti, les éléments ne pensent pas, ils sont, alors qui êtes vous, l'air de rien, souffle de lassitude, lui ce qu'il aime c'est passer dans les arbres pour faire bouger les feuilles, alors quand il faut être à la même table que le feu qui calcine les arbres que j'aime traverser, mais bon on m'a dit qu'il fallait faire cause commune pour essayer de relever le niveau au-dessus de la mer, comme si on avait soif
in the objective reality I am where I am, but when I'm not where I expect I drift to other months that are near the end of the year when we are in April, I do not know more where I am, I wander aimlessly, where to go, which shine with joy and love, exist without flavor, nothing in the mouth all the bleeding heart not to feel a soul closer to the sensitive area, where I can not say no, we must accept, join the two ends extremes united, we can be us, the adventure begins, we look across to talk to each other directly, not 'boredom, a lot of tension, we must approach the other without hitting voluntarily, shocks are inevitable, but must come from an external fate, where I is small, two on expanding the circle but outside it is immense, one must find the key that opens the passages without destroying everything, inside and outside communicate without violence, but pass into a trance friendly giving them a taste easy to understand, we are what we are and we will be what we will, pragmatism should be ideal for the future but practical for the present, so we can be as it seems
dans la réalité objective je suis là où je suis, mais quand je ne suis pas là où je m'attends je dérive vers d'autres mois qui sont vers la fin de l'année alors qu'on est en avril, je ne sais plus où je suis,j'erre sans but, où aller, où resplendir de joie et d'amour, exister sans saveur, rien dans la bouche tout dans le coeur qui saigne de ne pas sentir une âme se rapprocher de la zone sensible, là où je ne peux pas dire non, il faut accepter, rejoindre les deux bouts, les extrêmes s'unifient, on peut être nous, c'est l'aventure qui commence, on se regarde en face pour se parler directement, pas d'ennui, beaucoup de tensions, il faut approcher l'autre sans le heurter volontairement, les chocs sont inévitables mais doivent provenir d'une fatalité extérieure, là où je peux est petit, à deux on agrandit le cercle, mais au dehors c'est immense, il faut trouver la clé qui ouvre les passages sans tout détruire, l'intérieur et l'extérieur communiquent sans la violence mais passent dans une transe amicale qui leur donne une goût facile à comprendre, nous somme ce que nous sommes et nous serons ce que nous serons, le pragmatisme doit être idéaliste pour l'avenir mais concret pour le présent, ainsi nous pourrons être comme il nous semble
with uncertainty to say yes, I prefer to say no until thinking what can happen must happen, it's not a question but do hear about the moon when it flooded the atmosphere heard in bizarre style I'm here for you but please do not look like the fallen angel, he fell but could seduce, while you, who are you, you speak, but otherwise what you look like a bird on a branch, a parrot which always says the same thing, not a dirt on the sidewalk, when rain sweeps everything, we must find another shelter, but awareness is still beautiful, is the irony of humans, he beautiful move in the shit, he still thinks the pink felt, but he forgets that the spines are going to wake up at night, post shame you were not in the goodness, you were sufficient human shit unable to breathe the air easily not understood, a franchise that goes smoothly, a joyful life to the beautiful evening together, laughing, nothing hidden, everything is open in the splendor of real friendship, not ease, human interest seeking human , especially when it is small, it is not the general interest, it reduces everything to one, especially not to think of others, they could take my place
dans l'incertitude de dire oui, je préfère dire non en attendant de penser autrement ce qui peut arriver doit arriver, ce n'est pas une question de savoir faire mais de savoir entendre la lune quand elle inonde l'atmosphère de sous entendus bizarres, style je suis là pour te plaire mais ne compte pas ressembler à l'ange déchu, il est tombé mais peut encore séduire, alors que toi, qui es tu, tu parles, mais autrement à quoi ressembles-tu, un oiseau sur une branche, une perroquet qui dit toujours la même chose, rien une crotte sur le trottoir, quand la pluie balaye tout, il faut trouver un autre abri, mais la conscience reste belle, c'est l'ironie de l'humain, il a beau aller dans la merde, il pense encore sentir la rose, mais il oublie les piquants qui vont le réveiller la nuit, message honteux, vous n'étiez pas dans la bonté, vous étiez suffisants, merde humaine incapable de respirer l'air facile sans sous-entendu, une franchise qui passe sans encombre, une vie joyeuse vers la belle soirée ensemble en riant, rien de caché, tout est ouvert dans la splendeur de l'amitié réelle, facilité pas humaine, l'humain cherche l'intérêt, surtout quand il est petit, ce n'est pas l'intérêt général, on réduit tout à un, surtout ne pas penser aux autres, ils pourraient prendre ma place
vendredi 3 avril 2009
the concern of aging without noticing that the existence escapes me, what is more ordinary, the days are hiding them, we should not say that tomorrow will be like now, the second file without requiring a passage in the light , the shadow is at hand, there is no need to hurry, it always happens when they need it, on time, mais bon, ça ne me gène pas me, I am what I am, after about specific, all is wave of the sea, it floats like a point on the horizon, it suddenly disappears, but it bothers other than plankton near the small dot has disappeared, replaced immediately by a bunch of little points which again the same thing, feel able to successfully drink the sea, the sea is not to drink, it's not the worst we must eat, then here it is old, when we realized that shovel the earth remains, the greater the penalty to dig a grave is not a tunnel, but now the sun went down as it does for millions of years, but at the beginning y'avait person to see, he had to feel alone right now is the time from eight hours unconscious, half life happens while sleeping, why take so much room for the day
l'inquiétude de vieillir sans remarquer que l'existence m'echappe, quoi de plus ordinaire, les jours se cachent entre eux, il ne faut pas dire que demain sera pareil à maintenant, la seconde qui file sans demander un passage dans la lumière, l'ombre est à portée de main, il n'est pas nécessaire de se presser, elle arrive toujours quand il faut, à l'heure dite, mais bon, moi ça ne me gène pas, je suis ce que je suis, après que dire de précis, tout est vague de la mer, on flotte comme un point à l'horizon, tout à coup il disparaît, mais qui ça dérange autrement que le plancton à proximité, le petit point a disparu, remplacé immédiatement parune foule de petits points qui recommencent la même chose, se croire capable de réussir à boire la mer, c'est pas la mer à boire, non c'est pire il faut la manger, alors là on est vieux, quand on a compris que la pelle reste par terre, plus la peine de creuser, une tombe c'est pas un tunnel, mais voilà que le soleil s'est couché comme il le fait depuis des millions d'années, mais au début y'avait personne pour le voir, il devait se sentir seul, bon c'est le moment de passer huit heures inconscient, la moitié de la vie se passe en dormant, pourquoi prendre tant de place pour le jour
yet it will, it was, but it would, I do know I want but I do know is the difference between those who want and those who do not care but spend a good time , life is like that and not otherwise, we think about what we want, there is agreement on its own and goes into contact with each other, it passes or it breaks, so why 's do, I am what I am and I see that others are what they are, how to get, talk, sing, laugh, pee, shit, shit I am, this is a situation of conflict, we see that the relationship is not obvious, it must be built by step, the basement, the ground floor, the first, second and in-flight explosion, it was impossible to foresee just a hair on the soup, when Clearly it is too late, impossible to remain indifferent, we must intervene at the risk of offending the meeting, yes, I exist, I am a person, not a floor cloth on which wipes a tear, I thought ha disappointment that everything was simple, that the rest when I'm alone, but just that I try to share it, cut that bleeds login veneer on the ground, rase motte existential, how to be transparent, we need to bounce through
pour le moment ça va, ça allait, mais ça irait, je ne le sais, je le veux mais je ne le sais, c'est toute la différence entre ceux qui veulent et ceux qui s'en foutent mais qui passent un bon moment, la vie c'est comme ça et pas autrement, on réfléchit à ce qu'on veux, on se met d'accord tout seul et on se met en contact avec l'autre, ça passe ou ça casse, alors pourquoi s'en faire, je suis ce que je suis et je vois que les autres sont ce qu'ils sont, comment s'entendre, parler, chanter, rire, pisser, chier, il me fait chier, voilà une situation de conflit, on voit que la relation n'est pas évidente, elle doit se construire par étape, le sous-sol, le rez de chaussée, le premier, le deuxième et explosion en vol, impossible à prévoir il vient comme un cheveu sur la soupe, quand on le voit il est trop tard, impossible de rester indiffèrent, il faut intervenir au risque de choquer l'assemblée, oui, j'existe, je suis une personne, pas une serpillière sur laquelle on s'essuie une larme, ha déception je croyais que tout était simple, ça le reste quand je suis seul, mais il suffit que j'essaye de le partager, coupure qui saigne de connexion, placage au sol, rase motte existentiel, comment être transparent, il faut rebondir de travers
life is a passion that eats potatoes and onion, which is the feeling, the joy, the return on investment, there is nothing where I am, yet I was well, but the turns of life left me on the side where I am, I squeeze, the flesh, a brain to think, I exist as I do not know what to do, misery, the time spent, generations have died for what, for nothing, tons of dead bodies left to live for the living, so why should I die, I'm feeling well now, should I feel bad tomorrow when my body will cease to be the best I am listening, what can I say serious, no nonsense of those I do not know what religious, I want an answer, if I'm good there's a response to water the plants or pee every day is always a story of water flowing, there is no trace of what exists, every second carries its burden, even a history of water or ass, anything goes is the water and no means of bailing or ten years if it is not where is the yellow line, which separates the kind of evil or the opposite, by what those who understand the order they are good or evil
la vie est une passion qui se nourrit de pomme de terre et d'oignon, où est le sentiment, la joie, le retour d'investissement, il n'y a rien où je suis, j'étais pourtant bien parti, mais les tournants de la vie m'ont laissé sur le bas côté, où suis je, je me tâte, de la chair, un cerveau pour y penser, j'existe alors que je ne sais pas quoi faire, misère, le temps a passé, les générations sont mortes, pour quoi, pour rien, des tonnes de corps morts pour laisse vivre les vivants, alors pourquoi mourir, je me sens bien maintenant, devrais-je me sentir mal demain, quand mon corps aura cesser d'être au mieux, je suis à l'écoute, que peut on me dire de sérieux, pas ces balivernes de je ne sais pas quoi de religieux, je veux une réponse précise, si je suis y'a bien une réponse, pour arroser les plantes ou pisser tous les jours, c'est toujours une histoire d'eau qui coule, on ne retrouve pas la trace de ce qui existe, chaque seconde emporte son fardeau, encore une histoire d'eau ou de cul, bref tout va à vaut l'eau et pas moyen d'écoper ou dix ans de prison si on comprend pas où est la ligne jaune, celle qui sépare les gentils des méchant ou alors c'est le contraire, par ce que ceux qui comprennent l'ordre sont-ils bons ou méchants
in a sense I am positioned as here, but soon I am no longer there, what should we conclude, the therapy can be valid only if one does not interrupt the event of another, we must harmony between the various crossings daily, the move dissatisfaction, I spend easily, there is no barrier, I am no one, so good, then I have an engine failure while going through success, too bad I have to accept life as it comes, it will come I am sure, until I go to nowhere, but as we do not know the date of the end we will hang on the date of Initially, it is true, it is not conditional, so much weight, how many hours of delivery, the cord crs went well, the umbilical was cut, it is the start for a race which makes no sense, it is all in a different meaning depending on the youth or age of the master when he was troubled, and the sight he saw his future in the hollow of a wave is very vague, how to hang strings of hope, everything goes wrong and I still hope that tomorrow will be better than today, never mind if it is not true, just think of me to suggest
dans un certain sens je me positionne comme étant ici, mais bientôt je ne suis plus là, que faut-il en conclure, la thérapie ne peut être valable que si l'un ne vient pas interrompre le cas de l'autre, il faut une harmonie entre les différents passages à niveau du quotidien, au passage insatisfaction, je passe aisément, il n'y a pas de barrière, je suis nul, tout va bien, ensuite j'ai une panne de moteur alors que j'allais traverser le succès, tant pis je dois accepter la vie comme elle vient, elle viendra j'en suis sûr, jusqu'au jour où je pars pour nowhere, mais comme on ne sait pas la date de la fin on se raccroche à la date du début, elle est vrai, ce n'est pas du conditionnel, tel poids, combien d'heures pour l'accouchement, le cordon de crs s'est bien passé, ombilical a été tranché, c'est le départ pour une course folle qui n'a aucun sens, on part tous dans un sens différent en fonction de la jeunesse ou de l'âge du capitaine quand il avait la vue troublée et qu'il voyait son avenir dans le creux d'une vague, c'est très vague, comment s'accrocher aux cordes de l'espérance, tout va mal et je continue à espérer que demain sera meilleur qu'aujourd'hui, tant pis si ce n'est pas vrai, le seul fait d'y penser me permet de considérer
accept the other is to deny oneself, or alos there is no relationship, one must be dominant, the other dominated, dominated when the rises, the dominant does not, it revolts, he does not lose his place as director, but the desire exceeds the extent we have to break this to waive the balance based on the acceptance of the supremacy, it likes to be underneath, it depends on the people and times, a person is with another dominant, but with a stronger, it changes gear and is found in the plains, not put it more, it is necessary to call at the fort that can pull the wagon in the middle of the pulsing life speak with the death instinct, as is done today, do as thou wilt, death bored, it gives way to life, bouncing, you, me, forever, life, passion, daily, veru, massacre, loss of identity, no connection, back to factory settings, nothing, just as if it is otherwise, it must be, you can not choose, it is an unbreakable law, man is here, away from the woman, alone in the unknown, but when the woman appeared, it was no longer a question, we must appeal to me say, my body is yours, I wait until you deliver it
jeudi 2 avril 2009
we must laugh at all, rising unemployment, the downhill ski, otherwise say nothing, pass his life to see what exists, what does not exist is difficult to penetrate, or with a piercing heart who is capable of realizing that the excess is allowed to the west of Brittany, in the summer he can spend time at the beach, but it does not last, we must return to the old version, but did not save, then you must reinstall all, it will take time, will then take a coffee, which is what pays the last time it was me, so this time I am willing to pay but after I can not, I am poor in money but not mind, I can count, laughing about everything and nothing to savor a piece of cheese in my mouth and not under my arm, I tell and yet I have nothing to say, everything seems so neutral as the body resemblent all, some have bigger breasts but apart from that, the look is the same, no éteincelle, nor in the eyes of a cow, oh a train, it is not true, I guess, a good agreement, we move on to the next, waiting on a not finished, it is slow, I voufrais forward ahead alone if you want, each one with its thing if you is to be near the garbage
il faut rire de tout, de la montée du chômage, de la descente à ski, autrement ne rien dire, passer sa vie à voir ce qui existe, ce qui n'existe pas est difficile à percer, ou alors avec un perceur de coeur qui est capable de se rendre compte que le dépassement autorisé est à l'ouest de la bretagne, en belle saison il peut passer du temps au bord de mer, mais ça ne dure pas, il faut revenir à l'ancienne version, mais on n'a rien sauvegarder, alors il faut tout réinstaller, ça va prendre du temps, alors allons prendre un café, qui est ce qui paye, la dernière fois, c'était moi, alors pour cette fois je veux bien payer mais après je ne peux plus, je suis pauvre d'argent mais pas d'esprit, je sais compter, rire de tout et de rien savourer un morceau de fromage dans ma bouche et pas sous mes bras, je me raconte et pourtant je n'ai rien à dire ,tout me semble si neutre, les corps se resemblent tous, certains ont de seins plus gros mais à part ça, le regard est le même, pas d'éteincelle, pas plus que dans le regard d'une vache, oh un train, c'est même pas vrai, j'imagine, bon d'accord, on passe à la suivante, attends on a pas fini, que c'est lent, je voufrais avancer, avance toute seule si tu veux, à chaqun son truc, si toi c'est être près de la poubelle
the night is calm but also scary, a shadow is growing it, the return on investment flows in depth to exist, it must change, storytelling, gathering around the fire, enlarge the circle, singing in the rain but it is already too late, we must go home, cut corners, go back, never stop, keep moving, to think, not think, think, go, go, sing, party, life will and just for no reason, silly towards the end, but not more than at the beginning, nothing in between, without considerations of taste, past future in the sea, to the mother when the story is finished, more hope to heal, we must die, a step too far, too bad, another time, how it is the last, I thought it was the first time we went dancing, do not think Mr. here it is not there, we go out to see something else that might suit you, you face the house of God, next is the location of the lower desires that are not guaranteed by God but by someone who was his angel, he promises much but does that disillusionment and loss of confidence in the word which is still better than a contract that does not
la nuit tout est calme mais aussi angoissant, une ombre grandit qui est-ce, le retour sur investissement coule en profondeur d'exister, il faut changer, raconter des histoires, rassemblement autour du feu, agrandir le cercle, chantons sous la pluie, mais il est déjà trop tard, il faut rentrer chez soi, arrondir les angles, partir revenir, ne jamais s'arrêter, continuer à avancer, penser, ne pas penser, croire, partir, revenir, chanter, partir, une vie de va et viens sans raison, idiote vers la fin, mais pas plus qu'au début, rien entre les deux, des considérations sans goût, passé futur, dans la mer, vers la mère, quand l'histoire est finie, plus d'espoir de guérir, il faut le trépas, un pas de trop, tant pis, une autre fois, comment ça, c'est la dernière, je croyais que c'était la première fois qu'on allait danser, n'y pensez pas monsieur, ici ce n'est pas là, il faut sortir pour voir autre chose qui pourrait vous convenir, en face vous avez la maison de Dieu, à côté il y a l'endroit des souhaits les plus bas qui ne sont pas garantis par Dieu mais par quelqu'un qui fut son ange déchu, il promet beaucoup mais ne donne que la désillusion et la perte de la confiance dans la parole donnée qui est quand même mieux qu'un contrat qu'un ne respecte pas
why not why I'm something it's great to feel his body in the expanse of grassland diversity atoms sensory, envy, hatred, boredom, all that passes from one second to another depending on the sun or the shadow of the night, the weather can change the temperament, it must be reduced to crumbs for dessert which is recognized as the end of hope, the stomach is full, you must get up to go to the uncertain, driving, danger, remain impossible, time passing, modernity, progress to make, time sensitive to temperature ancestral sum opposites advanced buoy on the sea, memories child, deafening noise, abandoned beach , crustaceans and shellfish, loss of sight earlier this unknown, who are they, I am a buoy on the water, the wind leads me, I am not a boat built with intelligence and materials, I do that float in the Dead Sea, yet I am alive, I breathe, my stomach gargoyle, but why these people around me closer to my head by opening their mouth, I hear no sound, or noise Sea dancing, basically it's clear passion for life underground, irrespective of neurons, advanced resolution, certainty of the solution, problem, solution, the problem is born, what is the solution
pourquoi rien pourquoi je suis quelque chose c'est quand même formidable de sentir son corps dans l'étendue herbeuse de la diversité des atomes sensoriels, envie, haine, ennui, tout cela passe d'une seconde à l'autre en fonction du soleil ou de l'ombre de la nuit, le temps change le tempérament, il faut se réduit en miettes pour le dessert qui est reconnu comme étant la fin de l'espoir, le ventre est plein, il faut se lever pour repartir vers l'incertain, conduire, danger, rester impossible, temps qui passe, modernité, progrès pour bien faire, heure sensible aux variations de température ancestrale, somme des contraires, avancée de la bouée sur la mer, souvenirs d'enfant, bruits assourdis, plage abandonnée, crustacés et coquillage, perte de la vue antérieure, présent inconnu, qui sont-ils, je suis une bouée sur l'eau, le vent me porte, je ne suis pas un bateau construit avec de l'intélligence et des matériaux, je ne fais que flotter dans la mer morte, pourtant je suis vivant, je respire, mon ventre gargouille, mais pourquoi ces gens autour de moi se rapprochent de ma tête en ouvrant leur bouche, je n'entends aucun son, ou alors le bruit de la mer qui danse, au fond c'est clair, passion de la vie sousterraine, abstraction des neurones, résolution avancée, certitude de la solution, un problème, une solution, le problème c'est de naître, quelle est la solution
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