une histoire comme et finit, c'est toujours la même chose, on espère, on avance, on tombe, et puis on recommence, car l'ennui est tel qu'on ne peut pas attendre que ça passe, on devient ce qu'on devient, alors pourquoi s'en faire, je fais ce que je fais, ensuite je passe des moments jusqu'au soir et il est temps de se dire bonne nuit, quoi de plus simple, évidemment il y a le problème de l'argent, on ne peut pas vivre sans, et comme quelques dictateurs ou grands patrons en prennent beaucoup, il en reste peu pour une majorité de gens qui se satisferait d'un petit quotidien, mais le capital n'est pas aussi partagé que le travail, le monde serait merveilleux sans capitalistes, mais les expériences humaines de collectivisation n'ont donné qu'un nouveau capitalisme avec des puissant et des opprimés, l'humain est borné par la bêtise, il ne peut aimer largement, son corps l'empêche de dire oui, car les organes ne désirent que le confort de mépriser les autres corps, c'est le sentiment de protection, partager avec les autres est un risque de perte de cohérence, l'humain a peur, il est souvent bête et méchant,