when is it now
dimanche 19 février 2012
je ne regrette pas ce que je fais, j'avance sans m'inquiéter, si jamais il m'arrive de me tromper de chemin, je pense à la joie et je retrouve l'espérance, c'est simple, un simple bonjour et je continue à croire que tout est possible, en effet comment être pendant des années au top du bonheur, c'est un entraînement quotidien, je prie tous les jours, c'est le socle de mon espérance, quand ça ne va plus, l'amour vient à mon secours, que me faut-il, un peu de tout, trois fois rien, une envie mesurée, un regard tendre, un respect de l'autre, à partir de ce moment je commence à partir, même si je bouge pas, je pars et je reviens, une fois, deux fois, autant de fois qu'il faut pour faire partir le mal, il est venu, il doit partir, ensuite il fait beau, encore une fois, voilà, maintenant je peux continuer à croire au bonheur, c'est facile, il suffit d'accepter ce qu'on est, un humain normal qui pense ce qu'il pense et regarde la vie avec satisfaction, chaque jour est porté en haut quand il est possible de le faire, je ne suis pas un saint, mais je garde l'essentiel, sur les bords il m'arrive de m'enfoncer dans l'angoisse, ça ne dure pas, ça me permet d'être en équilibre, un peu d'angoisse pour beaucoup de bonheur, si je dis quelque chose, je risque de briser le miroir, donc je garde la bouche fermée, à ce moment précis où je risque de lui dire autre chose, je me tais, on se regarde, sait-elle que je vais dire quelque chose, je me perds et je me retrouve, le temps est passé, il n'existe plus rien, comme si on avait juste cinq minute d'ouverture, ensuite ça se ferme, est-ce que ça peut s'ouvrir à nouveau, je l'ignore, attendons
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