when is it now
lundi 3 février 2014
quand j'étais jeune
quand j'étais jeune le marron et le orange était à la mode, c'est ce que j'appelle ce faire des soucis, car depuis des heures je suis en cours de rechargement, c'est un exercice normal qui ne me demande pas beaucoup d'effort, ça se fait une fois par jour sauf le week-end, car deux jours par semaine je ne pense plus comme du lundi au vendredi, tout est placé pour que ça puisse faire du bruit, mais tout est froid, il faut que je souffle pour tenter de rallumer les braises, ce qui fait que je suis prêt du foyer, j'y vois des yeux, c'est un visage d'enfant qui est mort dans cette maison il y a cent ans, à l'époque il y avait la guerre avec les anglais, et un jour un troupe arrive dans le village, ils tuent tout le monde et l'enfant qui s'enfuyait, ils le rattrapent et le cuisent dans la cheminée, depuis ce visage apparaît dans la foyer, ce n'est pas pour ça que je pleurs, car moi aussi je suis condamné, mais pour la simple raison que je ne sais plus pourquoi j'allume ce feu, en ai-je besoin, pourquoi suis-je toujours en train de prendre des précautions, il faudrait que je sois plus tranquille, avoir des idées plus larges, comprendre ce qui se passe, ne plus faire trois fois le tour pour tenter de percer le mur, car dans un an ou dans une seconde, c'est toujours pareil, je suis là à regarder par la fenêtre, je vois au loin de grands arbres danser dans le vent, ce sont comme de grands espoirs balançant entre le pour et le contre, mais avant de faire d'avantage de commentaires je dois me concentrer sur une idée qui me vient, vais-je le faire et combien d'énergie vais-je devoir employer, ce n'est pas une question anodine, plus le temps passe moins on est capable d'avancer sans réfléchir, un jour on sait que le corps à une limite qu'il ne peut dépasser, c'est une fois
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