ce jour semblable sans sable

ce jour semblable sans sable sans table sans ce sang qui se sent sans sachet si ce chat est une soif ce temps est ouvert depuis que le moment a été choisi en premier dans l'ordre des vainqueurs, difficile d’approcher si on est capable de dire oui à la tentation de partir pour avoir une simple coïncidence, que me vaut cet honneur ai-je dis sans y penser, quand tout à coup je me rends compte que tout ici est blanc alors que dans mon imagination tout devient un jour ce qui est positif dans l'ensemble des portions ce qui est pour tout le reste une évidence quand c'est fini alors ne reste que le souvenir des années passées pour le savoir faites le 1 et quand ça sonne il ne faut pas avoir peur de perdre ses pétales dans le ruisseau du monde inférieur, qui se cache de la vision superbe pour ne pas avoir à regretter de prendre une place qui n'était pas la sienne mais le sien en propre comme au figuré ce qui ne semble pas ironiser au fond d'une cour sans nom, mais là je dois faire une exception, ce qui ne présente aucun inconvénient, simplement je me doute que quelque chose m'échappe, alors pour le vérifier je me mets en quête d'un cornichon qui n'a pas encore fait son histoire de l'empire Romain, mais avant de faire un pas de plus je contrôle tous les accès pour être sûr de pouvoir partir sans emporter de bagage, ce qui est le plus invité, c'est la moitié qui passe, l'autre reste à la maison pour préparer  le repas, en même temps que le temps une joie vient se poser sur un mur, que faut-il être pour savourer cet instant, un oiseau de feu, un hirondelle fait le printemps, et tout ce que je sais est un usage présenté pour que tout ce qui règne dans le pays de la gloire soit conditionné dans le sens commun en partie fait pour la porte d'or, mais ce qui est le plus instable c'est le moyen de faire un crayon dans le jardin des fées une fois qu'on a passé le champ du voisin, il ne reste plus qu'à se mettre un bon talon dans la poche et crever un ballon qui ne pouvait pas se dire que tout ce qui flotte est dans l'air, alors que dans le croisement des venues en venant, le moment sombre dans le choix de faire autre chose, ce qui correspond à l'ancien mois de mai, dans le prions juste avant de franchir la limite, ensuite nous pourrons bien avoir une vision souterraine mais avant d'aller plus loin je me contente de faire exprès un cadeau, ça sent bon le chocolat et quand j'ouvre la fenêtre c'est pour avoir conscience que la confiance est la plus belle invention humaine, ce qui est là n'est pas à faire tous les jours, ce qui est là est en pariant tout le temps dans un moment unique qui est fait du plus beau bal pour être mis au centre de la tendance après le dernier chant, une suite unique et en mouvement pour exécuter une danse compliquée qui pour être parfaite doit tourner dans un sens qui n'est pas celui auquel on pense et alors que tout est prêt, arrive un vent du sud qui nous enveloppe, comme dans un manteau, et ça commence, un ensemble au présent qui prend les sentiments comme des sentinelles de l'entente avec tout ce qui commence par la lettre A, c'est le début de l'action quand les choses son mise au milieu dans l'espérance de faire un bon en avant, dans le temps et dans l'imaginaire une seule fois en dix ans, mais tout ce temps est nécessaire à la venue en triomphe de la statue du commandeur, qui n'est pas encore obligé de faire un saut qui le mettrait tout de suite en dehors du sacrement de la princesse qui ne pense qu'à manger des saucisses, ce qui n'est pas tout à fait ce qu'on dirait à d'autres dans le sens de la prééminence de la sauce sur le beurre, à moins que ça ne soit encore une fois une plongée en eaux troubles, dans le foisonnement des microbes qui veulent bien participer à une grande fête en l'honneur des passants austères, ce qui nous libère des passion insatisfaisantes pour le monde et pour le regard en eau prisonnière du tube dans l'espoir de faire bonne figure et sans avoir faim de tout le temps