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mercredi 11 mars 2015

ce ne fut qu'une vie coincée entre

ce ne fut qu'une vie coincée entre le départ et une seconde qui ressemble à se prendre au sérieux à l'ancien mode opératoire sans gant à venir tout de suite après le moment qui chute dans l'escalier, et comme ça se met à vibrer, je crois pouvoir dire que c'est une erreur qui se prend dans les salles de cinéma comme ça au moins on est tranquille pendant deux heures, à moins que ça ne plaise pas alors dans l'urgence il faut trouver un autre plan, je réfléchis et je trouve une idée et si tout ça était un peu plus tard, dans une question simple, pour être mis au dépourvu dans un choix impossible, rapidement je fais ce que je veux, j'organise un statut transitionnel, j'optimise le rendement et je fais exprès de prendre un pneu pour que ça roule sur les cailloux, demain c'est sûr je fais une armoire, c'est facile à faire, on prend une corde on la coupe en deux, et comme les deux morceaux ne sont pas de la même taille ça me permet de penser à ceux qui n'ont rien à manger, mais qu'est ce que j'y peux, je ne suis pas le directeur d'une banque internationale et même si j'y pense ça ne veut pas dire que je veuille faire quelque chose, car je sais que dans la vie on est responsable à moitié, c'est à dire que dans tous les cas, on a toujours le choix de faire un choix, ce qui se comprend mieux quand on fait n'importe quoi et qu'après c'est trop tard pour essayer de prendre appui dans la mer, ce qui n'est pas pour que ça se mette à chanter toute la nuit en version latine ou alors dans les pas d'ours que tout ce qui se place en haut est de mieux en mieux ficelé pour que ça ne se produise plus de façon régulière et dans les trois autres compartiments on peut espérer avoir une vision plus stable, mais pour ça et pour le reste je ne pense pas avoir la possibilité de croire que c'est possible, car étant donné le champ d'observation le manque de moyens et l'absence totale de patience, je ne vois pas quand je pourrai avoir la liberté de prendre le temps de le tordre pour que je sois dans une sas de décontamination dans la liberté de passer par là sans avoir le moindre accent pour que certain croient que je viens de loin, et quand ça me plait je fais un tour pour bien m'aérer et dans un mois ou deux je veux que ça soit mis à disposition pour que ça ne réponde plus de la même manière, de la sorte que je danse dans mon salon, pour que ça commence à la bonne heure dans l'espoir de faire un jour un bon plat mexicain avec tout ce que je veux comme assaisonnement des poires, des saucisses, des endroits magiques, de la chance à tout bout de champ, vert, jaune, bleu, ce qui ne me change pas complètement, c'est juste une façon d'approcher le sens vertical, ce qui n'est pas reposant, mais acceptable, une fois que je me débarrasse de la poussière, mais ce quoi il faut faire, dans le choix unique pour être mis dans un coin,  mais absolument silencieux pour ne pas gêner l'assistance qui ne souhaite pas être dérangée, car étant dans le système depuis peu de temps, je comprends aisément que ça ne peut aller plus loin pour le moment, il faut d'abord passer par la phase un, ce qui prend du temps car n'étant pas prévenu je ne me suis pas entrainé, ce qui me manque c'est de l'altitude, pour que ça monte dans le ciel plutôt que ça traine sur le sol en me demandant sans arrêt ce que ça fait de faire ça dans l'inconscience d'être au mieux dans une chambre ou alors dans la terre un peu à côté de l'ancienne usine de textile ce qui fait au moins deux occasion de faire ce que j'estime être fait dans le moindre détail pour que tout ce qui se fait

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