ce qui sort n'entre pas

ce qui sort n'entre pas tout de suite de mission, un peu à droite de la porte on a collé un ordre clair qui prend toute la place qu'on avait avant considéré comme un sorte de salutation verbale, mais quand on s'est rendu compte qu'on avait pas le droit et qu'on était pour la peine mais pas pour le cœur et avant cela une fois je me souviens bien que tout était au bord de la chute, il a fallu se mettre tous ensemble pour tenter de ramener le problème au centre, et comme il faisait chaud on a bu beaucoup d'eau et comme ça on est pris au détour d'un quoi tu fais ça aujourd'hui et tout de suite après une interprétation douteuse, ce qui dépasse l'entendement qui était très bas dans la maison de Dieu, ce qui fait tout dans le talon droit, un peu mais beaucoup plus qu'avant quand on avait tous ce qu'on a ensemble, et puis dans chaque maison une porte qui sert à passer de l'intérieur vers l'extérieur, qu'on utilise souvent alors que tout ce qu'on sait est supérieur à tout ce qu'on ne sait pas, une fois qu'on a transférer le principal vers l'action dominante, il ne reste plus qu'à appréhender l'essentiel qui n'est pas disponible le mardi, ensuite on attend que ça se produise, un peu dans l'angoisse mais surtout dans le choix de faire quelque chose plutôt que de prendre la fuite en disant que de toute façon on a l'expérience suffisante pour être tout de suite dans la bonne case, je dis bonne chance et je prends mon air le plus détaché pour ne pas montrer ma grande déception ce qui fait que tout le reste attends que ça passe, je ne peux pas tout faire d'un coup, j'ai aussi besoin de prendre de la distance pour apprécier de loin ce qui pourrait être changé, comme ça on gagne du temps, car ce que je pense est dans la patience de faire ça en pensant que c'est la dernière heure ou alors dans tous les états faire ça pour que ça saute plus vite et que tout ce qui vient après n'est pas encore plus dur, mais simplement à l'attention d'un partant, ce qui simplifie beaucoup la situation car en ce qui concerne le temps, d'abord un, ensuite deux, et comme ça on est sûr de ne rien oublier, et maintenant que c'est bien accordé, on commence à se connaître, ce qui fait que tout ce qui est possible est dans un ordre du plus petit au plus grand, je sais aussi que tout est fait à l'endroit correspond à tout ce qu'on fait quand on est capable de croire que tout ici c'est le résultat des mois passés à faire exactement ce qu'il faut, sans savoir que c'est ça mais en appuyant sur la faiblesse pour remonter directement dans le haut, ce qui est fait sans défaillir, mais quand je sais où ça va, je tente une sortie pour ne pas avoir à faire ça plus tard, et rapidement je me retrouve ailleurs, ça me surprend au départ mais à l'arrivée je sais ce que je fais, un peu de ça, et aussi un peu de ça, ça se trouve et ça me va bien, je n'ai pas d'autres idées, ce qui est lent n'est pas rapide, mais en ce qui concerne le choix de faire ça plutôt que d'attendre que ça change un jour, je suis plus que moins et dans cette partie qui ne finira que quand ça sera plus loin, je fais un pas de plus et ça ce n'est pas ce que je suis en majorité, c'est juste une partie qui s'ennuie, alors pour être plus démuni, je suis sûr que ça continue car ce que je vois devant moi est un exemple parfait de sens à moitié fait dans la paix, et quoique je sois présent il faut bien admettre que c'est aussi un peu de ma faute, quand le pense à ce que je suis, ça ne m'étonne pas, mais quand je pense à ce que je suis ça m'étonne, ce que ça fait à mesure de vivre dans une place qui n'est pas encore terminée et quand ça se met en travers des haricots en sauce plus verte que mon espace détente, en ce qui concerne le choix bleu, ça se fait en ce moment mais ce n'est pas ce que je veux, moi je préfère le temps clair, quand le vent est doux et que la vie bascule dans l'inaction simplifiée, il faut être un jour et puis un autre sans astuce, sans avoir l'impression que tout est en avance mais que ça se met en dehors trop rapidement il faut donc être pris au détour d'un sérieux avertissement pour se rendre compte que tout est là depuis longtemps, il suffisait de le voir