when is it now
lundi 2 mars 2015
je me permets de dire grand
je me permets de dire grand et pourquoi pas c'est comme ça que je suis, un peu plus que ça encore mais toujours en-dessous juste à la place d'un mur qui tombe, mais surtout ça commence toujours là, une fois deux fois, mille fois, ça dépend du jour, ça y est je suis encore présent et comment ça met la table avec des couteaux et du vin pour que ça soit plus gentil, mais depuis des jours j'attends autre chose, et je ne sais pas encore ce que c'est car car car car car car ici c'est fait alors qu'ailleurs j'attends toujours qu'on vienne m'enlever ce poids qui me ralentit et pour cette fois je veux bien comprendre que la chaîne s'est cassé et que c'est le milieu d'après-midi qui soit toujours la partie faible, mais pour cette raison je sais où je peux trouver la clé, car car car car ici c'est une maison silencieuse, une fois qu'on a compris que tout ce qui existe est essentiel, et que dans la mer on ne peut pas respirer, et encore que douze coups ont retenti dans le silence de la nuit, je me mets en dehors du cercle et je n'attends rien de ce que je peux faire ce qui n'est pas dans mon habitude mais aujourd'hui je suis obligé de prendre appui sur un muscle, ce qui me fait peser la conscience à l'envers de l'endroit et puis comme d'habitude je sais où je vais, un chemin simple qui nécessite une grande complexité de transports pour éviter de toujours avoir faim, cela n'étant que le début, après on peut toujours avoir soif, ce qui me surprend c'est la réalité, n'est-elle pas ce qu'on attend de mieux, et puis dans le choix il y a toujours une erreur à commettre ce qui ne peut pas avoir de conséquences tant le champ des possibles est vaste à condition de faire attention aux errements catastrophiques, ça peut déranger l'ordre urbain, surtout si on est capable de faire un trou assez grand pour savoir que la droite n'est pas le centre mais au point mort il y a un autre problème ce qui me pousse à réfléchir rapidement que tout est coincé quelque part, il faut que je débouche l'arrivée des secours en avance sur leur temps car car car car ici c'est fermé il faut passer par l'autre entrée et pendant ce temps là en Chine on rit, mais pour cette raison je ne me prends par pour ça, aussi je sens monter en moi une contradiction qui ne se prend pas pour Dieu mais avance sans avoir conscience du mal qu'on fait en voulant éviter de croire que tout est terminé, ce qui n'est pas dans la tradition d'aller jusqu'au bout, ce qui est certain pour ça aussi depuis que le temps accorde un sursis à ceux qui veulent bien prendre la peine de s'assoir aussi vite que c'est possible quand tout est noir et que dans l'ensemble des solutions acceptables on est aussi prêt que le chameau dans la lutte pour la vie, et une chose encore à forcer pour que ça tombe plus rapidement et vers un station de sport mécanique j'entends comme une voix qui me dit et toi que fais-tu dans la vie et alors que je veux répondre un énorme caillou tombe de la montagne et s'en va ensuite pour avoir tout le poids nécessaire à l'écrasement des idées creuses qui encombrent l'étagère du bas et puis dans la rapidité des réactions stupides, un choix s'impose, c'est lui qui gagne, et largement de la tête et des épaules ce qui fait que tout le monde en est stupéfait et pourquoi c'est toujours la même chose on applaudit dans le vide et quand on rentre chez soi c'est l'amertume d'avoir gâché du temps pour rien qui nous submerge, tout ça n'est pas terminé il faut une conclusion, par exemple si tout est là dans un ordre qui impose le silence, pourquoi ne pas aller tout de suite en avant pour être sûr de mur
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