when is it now

mercredi 11 mars 2015

un nouvel évènement c'est toujours

un nouvel évènement c'est toujours de l'ancien qu'on met dans une boîte le temps que s'achève la première partie, ensuite on enlève le couvercle et là on voit apparaître une forme superbe avec des ailes de faucon, mais tout de suite après on se rend compte de l'inutilité de cette période et on passe dans différentes phases qui commencent le matin et finissent le soir et avant même qu'on soit rentré un jour de beau temps ce qui se passe quand on a tout essayé ce qui est plus fréquent qu'on ne croit, il suffit de prendre le train un jour où tout est possible, et de voir que si on va plus loin c'est plus cher, ce qui se passe alors sans qu'on puisse y prendre autre chose de valable c'est de voir que si on a la chance de passer tout près, ce qui est fait c'est une mesure transitoire, pas de panique tout est partiel, ça ne change rien en profondeur, c'est juste un passage qui rase les murs, et ce n'est pas plus que ça, une nouveauté qui voudrait la première place mais quand on essaye de passer en force ce qui n'est pas autorisé dans les moindres détails ce qui fait que le mois s'écoule sans nouvelles, que se passé est lourd à porter, on se doute de quelque chose, on fait le tour de tous les noms, et pour que ça pousse plus vite je rajoute dans l'eau un engrais qui est réputé pour favoriser les crises d'angoisse, ce qui n'est pas mon cas, j'avance dans la vie en me demandant régulièrement si tout va bien, et je ne puis faire autrement que de me dire que tout va bien, je ne peux penser autrement, c'est plus fort que ça, c'est une situation claire, il n'y a pas d'ombre au tableau, c'est comme si je rêvais, mais en forme de situation fluide, je ne sais pas ce que ça veut dire, c'est une mois qui se répète depuis des années, c'est le même mois que je n'ai pas choisi, ça s'est imposé à moi, et je n'ai pas pu dire non, tout s'est installé automatiquement, comme ça je ne sais pas ce que c'est et j'avoue platement que tout ce que je sais c'est que c'est comme ça, et pas le moindre intérêt, tout est gratuit, disponible, plat, sensible, ouvert prêt à faire tout ce qui est possible pour avoir la chance de passer une nuit tranquille sans monstre qui découpe les bras sans avoir faim au milieu de gros qui explosent et pour la dernière fois un peu de moins, comme si on avait tout la même chance, c'est personnel cette chose qui descend, je ne sais pas jusqu'où, c'est arrivé un jour alors que tout était normal, je suis descendu pour voir ce que ça faisait de prendre le mal à la racine et tout de suite après j'apprends que le pape est mort, alors que je croyais que deux plus deux ça fait quatre, et quand c'est plus on a le choix de prendre un autre poisson, plus gras, ou plus abordable ça dépend de la forme avant de faire le trou, si on est précis à se met en route rapidement, mais si perd du temps à essayer de trouver l'astuce, on est pris au dépourvu et quand ça sonne on est bien content que ça soit fini, mais on ne me dit rien pour le reste, alors que moi aussi j'ai participé, ce qui me manque c'est un peu de présence, quand tout ce que fais est dans le tumulte des moyens dérisoires, à moins de croire que dans rien on trouve de l'absence et que dans les temps reculés pour mieux voir toute la scène, il faut avoir une dose de pression accentuée dans chaque partie et de façon équilibrée pour ne pas partir dans un sens qui ne voudrait pas que ça soit fait aussi rapidement alors que ça ne supporte pas la chaleur il faut en plus rajouter de la glace en ayant au préalable fait de la montagne un essai aussi réussi que si on voyageait à pied dans des artifices de fête à pied

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