when is it now
jeudi 21 mai 2015
c'est en partant la première fois
c'est en partant la première fois que je me suis rendu compte que pour être le plus mal il fallait avoir au préalable une action secrète qui débouche un jour dans l'agonie d'un soir d'été, et voilà c'est fait et comme tout le reste il y a dans al vie une étendue variable entre le moment présent et la condition qui peut prendre plusieurs jours, car pour dire ça je fais l'expérience suivante, je prends un bord j'attends que ça devienne plus grand et quand je vois le moment qui essaye de fuir je tends mon filet et je prends note, aujourd'hui j'ai attrapé un pourquoi, ce qui me fait des tonnes de questions sans réponse, mais là je fais une halte, j'essaye de comprendre comment ça se fait de toujours attraper des requins pour que tout la côté soit débarrassée des dangers immédiat, mais pour le futur, faudra-t-il avoir ce qu'on nomme maintenant une histoire à raconter aux touristes, à ceux qui ne passent qu'une semaine alors que pour bien comprendre le manque de moyen dont on fait usage il faut avoir la sagesse de rester plusieurs mois si ce n'est une année pour bien saisir le trou qui nous prend à la gorge quand on essaye de fermer la porte alors que nous ce qu'on aime c'est de la laisser ouverte, voilà pourquoi j'estime que tous les efforts ont permis de prendre acte et que depuis ce jour on peut avoir la confiance qui revient par vague, ce qui fait que le bateau à moteur peut repartir voir ce qui se passe là bas dans la montagne puis pour voir que c'est là que ça se passe, je fais attention aux messages des survivants ce qui me provoque une crise de larmes car ce n'est pas drôle de se trouver pris au piège dans une carcasse d'oiseau trop court, ce qui fait que la tenue n'est plus impeccable mais comme autrefois on était parti pour un tour, il faut avoir en tête que tout ce qui court n'est pas forcément bon à faire le poids, donc pour l'essentiel c'est acquis, il ne reste que le petit squelette de la mère à Jacky, on ne sait plus quoi en faire, ce n'est plus à la mode, les gens ont en peur et quand la mer monter on entend pleurer, alors pourquoi faut pas rentrer les bêtes tout de suite, je crois qu'il est utile de réfléchir, quand on avait faim on allait acheter du pain, maintenant on le fait chez soi donc pour faire autre chose il faut penser à la suite, ce qui est normal, quand on a tout ce qu'il faut pour faire de la pâte à choux, il faut compter jusqu'à huit pour savoir quel est le bon moment pour trancher les parts et même si on a l'impression que c'est trop petit, il faut savoir que ça gonfle avec le désir, alors pas de panique, pour les intervenants il y a un un bus qui les attend dans la cour et pour ceux qui veulent suivre qu'ils n'oublient pas le chapeau, c'est pour ça que je veux que ça soit reconnu comme étant un membre actif dans la reconstruction des endroits fréquentés par une foule de membres de la société des loisirs, je veux insister sur ce point, il se trouve que pour nous le temps est pris par le travail et nous ne nous arrêtons jamais sauf pour dormir, il ne faut pas s'étonner de voir arriver des gens qui sont en vacances et qui n'ont rien à faire, c'est comme ça maintenant que l'avion amène beaucoup plus de personnes qu'avant, c'est une chance pour notre économie, car pour être bien réalisé un projet doit commencer par un accueil ensuite par une embrassade et enfin une proposition de rencontrer le grand maître, ça se passe en fin de journée quand c'est l'heure de passer du temps à prendre les oiseaux pour leur apprendre à dire que c'est par là la fête et quand je suis bien placé pour savoir que là dans la tente
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