when is it now
mercredi 3 juin 2015
je demande une autre fois pour
je demande une autre fois pour bien que vous puissiez voir ce que ça fait un homme en pleine possession des ses forces humaines car il faut bien dire que depuis quelques temps je ne comprends plus rien à l'impression de vieillir, car il n'y a pas si longtemps je vivais sans y penser alors que depuis des heures je fais quoi du reste qui brille au soleil, comme si j'avais l'habitude d'arroser les fleurs en me caressant l'estomac, mais voilà pourquoi je pense que tout ce que j'étais est parti sans m'avertir, je me retrouve complètement idiot à regarder passer les trains, mais voilà que je vois autre chose que ça devient plus ample que dans des circonstances brûlantes de désir en veux tu en voilà pour la raison principale de ne pas donner le flanc gauche à n'importe qui, il y en a qui n'ont aucune pudeur car pour l'instant je ne passe pas la barre des cinq cents mais il faut voir ce que ça fait de rentrer tous les soirs à minuit, moi aussi je peux me plaindre, il n'y a pas que les cols blancs qui se mettent à hurler leur joie d'écraser les ouvriers, mais vers toujours vert une fois c'est tout et pourquoi faire je me demande bien ce que ça veut dire ce bruit de chaîne que j'entends traîner le soir dans le couloir de la mort, car un peu à droite on voit ce que ça peut devenir un peu de jambon à l'os, mais voilà on a de l'imagination et de la fertilité donc pour savoir ce qui se passe dans le cerveau il faut avoir de la patience, car tout n'est pas rangé, il y a des zones d'ombres, des fusils en pagaille, des obus des drôles de fantaisiste en chemise blanche, et au fond toujours pareil à ce que je dis toujours quand c'est le moment de gémir, tout aussi beau que chaud un endroit de plaisir interdit par la loi de mon cul, mais ça c'est un plaisir géant dans un moment d'ivresse je fais ce que je veux et quand je repense à ma jeunesse ça me donne envie de pleurer, car pour moi la vie se passe silencieusement dans la tourmente des impressions malgré une raison qui avec l'âge vacille jusqu'à perdre la boule, cette fois on s'approche de la libération quand le corps dit stop du coup tout se recroqueville frontalement dans des convulsions digne de figurer dans la mémoire sélective pour entendre chanter le murmure puis dans un endroit tenu secret je vois quelque chose qui m'étonne car au point où je suis arrivé on ne doit plus montrer son indifférence ce qui fait que tout le reste est cloué sur place pour éviter les abordages des moyens inférieurs et comme la règle est dure, il faut sur les bords ajouter de la crème pour lustrer les chaussures, ce qui n'est pas encore interdit, car dans la modernité on interdit d'interdire mais alors qu'est ce qu'on fait des autres dimensions ce qui n'est pas encore étudié sérieusement car par manque de moyen on laisse traîner des affaires qui auraient pu secouer le cocotier, mais voilà, plus de timbre, plus de rien qui avant servait au rendement des efficacités tendancielles une fois qu'on s'est débarrassé des plumes de canard pour que la soie blanche soit la seule à représenter la pureté, mais vous pensez tout ça a disparu depuis l'apparition du cinéma parlant ce fut la fin du plaisir de lire sur les lèvres et voilà ce que ça fait le témoin qui a tout vu mais qui ne dit rien car il n'a rien prévu pour le dîner et comme ce genre de personne ne s'interdit pas de prendre une méduse pour une taupe, je vois que tout ce qu'on peut en tirer c'est une pêche qui peut et qui se dépêche de partir avant le couvre feu, mais dans les sentiers il y a toujours une patrouille qui tire sur les lapins, alors moi je ne sais plus quoi penser, qu'est ce qu'on fait maintenant,
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