when is it now
lundi 1 juin 2015
un trois quatre et pourquoi pas
un trois quatre et pourquoi pas deux quatre six et toujours sur la même ligne par ce mot doux qui sombre dans l'alcool et vers cinq heures une lumières s'allume ou devrais-je dire une paire de cordons se passent le mot, que veut-il, où est-il que fait-il et tout ça sans sa mère, que ça dorme ou que ça chante il faut un responsable, j'ai besoin d'être protégé, il y a tant de dangers que pour moi c'est bien ici, mais faut pas aller plus loin car en ce temps étranger qui ne change rien de profond, mais avec des côtés plus larges pour que tout soit disposé dans la tasse une chose est sûre, tout est bien fait au début mais après faut pas se raconter des histoires, tout devient un jour comme toujours comme ça on est bien comme devant la chose qui chose semble même dire autre chose, quand je sais ouvrir la porte, je vois une dose de mercis qui entre sans dire pourquoi il pleut dehors et même si c'est vrai je dis tant pis, ça ne me fait rien à moi de penser que la mer monte et qu'un jour je descend tout en bas sans avoir auparavant fait un centimètre de rendement, car au point mort il y a des choses à voir comme ce singe qui mange des haricots ou ce cette dinde qui découpe des carottes, mais vers midi tout s'inverse c'est normal, on a vraiment de la chance de voir que c'est plus grand que le mois précédent, car l'évolution marque les esprits à ce point que tout est bien décidé à vendre la voiture un prix dérisoire mais comme c'est mercredi ça ne fait pas ça pour ça mais uniquement dans la banquette défoncée par les rats oh! les méchants ce ne sont pas mes amis car pour bien faire je mets de la vaisselle en même temps que des saucisses qui sont cuite, je peux le garantir, ça se voit à la couleur des yeux, quand le temps passe à l'orage ça devient poisseux, signe que tout ce qui est simple n'est pas grandement actuel et avec tout ce qu'on dit de signé, il n'y a rien à parier mais aussi pour arranger le temps des astuces faites de rendez-vous de plein gré en Grèce ou alors ça dépend de l'orientation comme un jeu de piste dans la jungle un pas puis un autre pour avoir la chance de marcher sur un pouf en laine d’Écosse puis dans l'après-midi qui vient après le matin on atteint un paradis que sur ça signifie un temple d'amour, qui n'est pas construit car après tout rien n'est possible donc pour avoir une faim particulière il y a des mois qui sont disponibles il faut juste arrondir les endroits brutaux, qui ne sont pas socialistes mais avec ce qu'on dit de risible, il y a bien un arrangement possible avec les peuple des araignées et comme toujours en début de cycle un poisson qui tourne en rond pour bien respirer dans des armoires bretonnes en ce faisant passer pour un passeur de vérités mais moi je vois tout au travers de lunettes déformantes comme quoi tout est bien passé, alors que faire maintenant que tout devient haut, pour ça aussi je fais un trou assez grand pour y mettre mon ressort, comme ça je saurais ce que ça fait de vouloir faire un bond aussi loin que possible pour échapper aux crocodiles qui ne sont pas mes amis, car mes amis n'ont pas de dents pointues, ce qui arrive quand on est en retard pour avoir fait un pas de trop dans l'éventualité qui ne cherche rien de bon, mais avec ce qu'on sait de particulier il y a des tas de contradictions dans le mois d'avril qui vient avant le moi de mai qui vient avant je ne sais plus quel vent, car après tout rien ne résiste à l'envie de vivre, c'est tellement fort que ça passe devant la maison qui ne peut être vendue car dans le système de la croyance en l'air il y a des gens qui s'assoient dans la chaise sans se demander pourquoi on fait ça sans avoir eu avant d'invitation à partir le premier, et voilà que ça change maintenant et après ça devient autre chose , comme quoi d'autre et pour que ça continue un drôle d'oiseau qui veut que la barrière soit blanche, mais pour que ça aussi soit bien tenu dans l'éventualité d'un agrandissement aléatoire ou aller à voir ce qui est là dans la même situation qu'hier
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