une fois de trop c'est une erreur

une fois de trop c'est une erreur d'appréciation car au système métrique on oppose l’algorithme de Platon, or de toutes façon dans la plénitude des pouvoirs humains il y a toujours un mystère que personne ne peut voir, car pour savoir ce que ça veut dire il faut mourir, mais ça c'est une tromperie du moyen-âge, car après tout il y a bien des histoires pour avoir fait quelque chose de mal dans la caverne d'Ali Baba, qui se nomme ainsi car dans le vieux monde de Bouddha il y a un serpent qu'on appelle par son nom ce qui fait que depuis des siècles on arrive à un résultat semblable qu'on se mette en face ou sur le côté, ce qui intervient c'est une force souterraine qui arrive d'un coup avec une force incroyable, du coup tout disparaît comme par magie et il faut reconstruire le cœur et pour comprendre ce qui s'est passé je fais confiance à mon ami pétrole qui sait bien que c'est comme ça qu'on arrive à produire du gaz, mais cette fois c'est différent car au milieu de l'après-midi j'ai reçu un message étrange où quelqu'un me disait que dans une heure il y a aurait une vente de glace à la vanille, sur le moment je n'ai pas compris ce que ça voulait dire, mais c'est quand j'ai vu arriver un bonhomme de neige qui avait un gros sac en toile jaune sur le dos, et qui pour montrer ce qu'il avait dedans s'est d'abord assis sur un banc a réfléchi pendant une heures avant de considérer que bien qu'on soit dans une zone humide la saison était propice à une installation sauvage et là sans autre démangeaison j'ai pu assister à un spectacle de bien des côtés central, ce qui me fait penser que tout est bien mis dans les trous, il faut juste allumer la mèche alors je dis à un capitaine au long cours ce qui fut long mais court avec des centaines de trèfles à quatre feuilles, le temps passé pour obtenir ce temps qui s'accorde à merveille avec les autres parcours qui sont partis par des chemins opposés, comme ça on ne risquait pas de se marcher sur les pieds, et comme il faut bien le dire tout est descendu comme une feuille tombe de l'arbre, voilà un moment que j'attendais ça dis-je en me frottant les sourcils car il y a toujours une croûte à enlever et comme c'est prévu comme ça je n'ai plus rien à dire, voilà c'est tout ce que je fais, maintenant je passe à autre chose qui vient de commencer, donc pour ça je suis dans le neuf, ce qui veut espacer les angoisses pour que tout entre en entier dans la chaîne de l'espoir, c'est devenu un cri assez fort pour être entendu dans la cuisine, car au moment d'allumer la lampe je me trompe de bouton et j'appuie sur l'accélérateur de particule et dans un bruit de tonnerre je fais un pas de côté pour éviter la balle qui à tout allure fonçait sur moi, en un éclair j'ai compris pourquoi on appelle ça la balle de la mort, et une fois que je suis passé au travers de mon destin je continue à vivre en me demandant pourquoi j'arrive à comprendre ce qui m'arrive avant que ça m'arrive, c'est un pouvoir qui m'a rendu service bien des fois, car on ne sait jamais ce qui peut arriver donc pour ça je suis content mais pour le reste c'est mitigé, car comme c'est parti il faut bien avoir une raison plutôt qu'une autre pour arriver à corriger les erreurs du départ comme ça au moins on est sûr de pouvoir arriver rapidement ce qui est mieux pour les finances, car comment je fais moi pour payer les factures si on est pas dans le bon cercle, c'est curieux ce passage en hauteur je n'avais pas pensé à ça et je n'ai pas pris d'échelle, et pour revenir à la base ça prendrait trop de temps je suis donc obligé de sauter assez haut pour attraper un anneau qui servait avant à pendre les voleurs puis par une pirouette qui m'étonne que je puisse réaliser, comme quoi dans l'adversité on est capable de choses qu'on aurait pas fait dans la tranquillité, et puis voilà j'ai fait le tour et je m'en vais ce n'est pas la peine de rester trop longtemps je n'ai pas envie de croiser les gardiens du temple