when is it now
lundi 29 juin 2009
in a sense one escapes, on the other he faces, I am not a super hero, how could I be at every opportunity in my engagement with my conscience clear, happy to lend my experience that I 'would have done without fail, I'm imperfect and I like it, I wake up in the morning and when I open my eyes I'm happy, it does not last and the day is going downhill and uphill, as if the morning was the beginning of my life by being born, when I'm near the face of my mother, then the day goes as the days of my life, some happy, others boring, but if i go deeper, i see my memory cuts in two parts, the good days, the bad ones, when in reality every half-second pass in joy, half in grief, even in the greatest happiness, rest the anguish that it stops, it is a battle lost in advance, it goes to the loss of oneself, at the end the ideas stop, the body looks worn issue, but the promises of modernity live long in good shape, it is necessary to live until it is time, we must accept his human condition, why continue to fight against you, I go in front without thinking that the dust of my past will one day stifle me
dans un sens on s'échappe, dans l'autre on fait face, je ne suis pas un super héros, comment pourrais-je à chaque occasion être bien dans mon engagement, clair avec ma conscience, heureux d'apporter mon expérience que j'aurai mené sans faillir, je suis imparfait et ça me plaît, je me réveille le matin et quand j'ouvre les yeux je suis heureux, ça ne dure pas et la journée se passe en descente et en montée, comme si le matin représentait le début de ma vie en naissant, quand je suis près du visage de ma mère, puis la journée se déroule comme les jours de ma vie, certains heureux, d'autres ennuyeux, et encore avec le souvenir je coupe en deux, d'un côté le bon, de l'autre le mauvais, alors qu'en réalité chaque seconde passe à moitié dans la joie, à moitié dans la peine, même dans le bonheur le plus grand, une part reste à l'angoisse que ça finisse, c'est un combat perdu d'avance, on va vers la perte de soi, à la fin les idées s'arrêtent, le corps usé attend la délivrance, mais la modernité nous promet de vivre longtemps en forme, il faut profiter de la vie tant qu'il en est temps, il faut accepter sa condition humaine, pourquoi continuer à lutter contre soi, je vais au devant sans penser que derrière la poussière de mes pas un jour viendront m'étouffer
focusing is difficult, in what direction to turn to see clear, left, top, bottom, right, only gymnastics to retrieve the nerves, but inside nothing happens, the atoms responsible for equilibrium is not sensitive to movements of the body, otherwise they feed, for instance a single decision to open his heart, how is it possible, by some miracle yesterday is not today's face, it opened like a flower in the sunshine, the magic of life, everything seems blocked for long, enough one morning to wake up changed, how did I think such a thing, I'm me since I was born but I 'perceive that the most entrenched ideas can change without wanting, I am not responsible for my thoughts, then when they come, if I find the solution, I will think about peace all the time, where search, on earth feelings are full of hatred, resentment, contempt, in the sea flowing, in the air falling, so I am there, go in me, but I'm going deep, my body is as vast as the universe, yet I feel in the middle of my being, a wonderful life that would like me to be as beautiful as her, but life is complex, the daily struggle
une mise au point difficile, dans quel sens se tourner pour y voir clair, à gauche, en haut, en bas, à droite, de la gymnastique pour décoincer les nerfs, mais à l'intérieur rien ne bouge, les atomes responsable de l'équilibre ne sont pas sensibles aux mouvements du corps, ils se nourrissent autrement, d'un seul coup décision d'ouvrir son coeur, comment cela est-il possible, par quel miracle hier n'est plus aujourd'hui, ce visage fermé s'est ouvert comme une fleur au soleil, magie de la vie, tout semble bloqué pour longtemps, un matin suffit pour se réveiller changé, comment ai-je pu penser une chose pareille, je suis moi depuis que je suis né mais je m'aperçois que les idées les plus ancrées peuvent se modifier sans l'avoir voulu, je ne suis pas responsable de mes pensées, alors d'où viennent elles, si je trouve la solution, je saurai penser à la paix tout le temps, où chercher, sur la terre les sentiments sont pleins de haine, de rancune, de mépris, dans la mer on coule, dans les airs on tombe, que me reste-t-il, chercher en moi, mais je vais profondément, mon corps est aussi vaste que l'univers, pourtant je sens au milieu de mon être, une vie merveilleuse qui voudrait que je sois aussi beau qu'elle, mais la vie est complexe, c'est la lutte au quotidien
vendredi 26 juin 2009
live a day like a butterfly, flying slightly without wondering if the body will take until the end, but to what end is it, the end of the earth, hope, life, of the love, end of train, car, on foot, the butt off, I tip impatient to know if I am in an hour, a lost cause, I am now, I'm full enough, it takes me all my time, I breathe quietly, all organs are functioning, upright balance, sudden explosion of joy, I live in the moment, live it sounds silly, it's wonderful, it's magic, it seems so normal when one thinks of the universe, to the hypothetical chance of being born, I'm here to scratch my nose if I want, so why think about death, joy leads me, I will certainly, I am already is extraordinary in vain, and it is extra ordinary, it's worth it, but it is worth nothing, everything is nothing, nothing is everything, and it does not help, then live happy, despite everything, just a moment,it's life, moments added to the others, it adds, twenty, thirty, fifty, ding dong, end of the game, you must give a coin, we would never see you, ever, it is true, ever, always, these are words, and life is life
vivre une jour comme un papillon, voler légèrement sans se demander si le corps va tenir jusqu'au bout, mais de quel bout s'agit-il, le bout de la terre, de l'espérance, de la vie, de l'amour, du bout en train, en voiture, à pied, du bouton, je bous d'impatience pour savoir si je suis dans une heure, peine perdue, je suis maintenant, ça me suffit pleinement, ça me prend tout mon temps, je respire calmement, tous les organes fonctionnent, équilibre en position verticale, explosion de joie soudaine, je vis à l'heure actuelle, vivre ça paraît idiot, c'est merveilleux, c'est magique, ça paraît tellement normal, quand on pense à l'univers, à l'hypothétique chance de naître, je suis là pour me gratter le nez si j'en ai envie, alors pourquoi penser à la mort, la joie me pousse, je serai certainement, je suis déjà, c'est vainement extraordianire, c'est extra et c'est ordinaire, ça vaut la peine, mais ça ne vaut rien, tout vaut rien, rien vaut tout, et ça ne change rien, alors vivons heureux, malgré tout, juste un moment, c'est ça la vie, des moments ajoutés aux autres, on les additionne, vingt ans, trente, cinquante, ding, fin de la partie, il faut remettre une pièce, nous ne le verrons jamais plus, jamais, c'est vrai, jamais, toujours, ce sont des mots, et la vie c'est la vie
Tomorrow is organized today, not bother to think what to do, everything is done automatically, the body works without asking if the future is near, he saw the moment, present, past, future, it accepts any saying I am, no unnecessary chatter, the presence in the world is indisputable, the body is there to testify, it will enough to explain life, we must accept the inevitable, it seems so far from the daily, but in one phone call that comes so close that it stifles, nothing more to say, suffering is all that remains, these people are so close that they are called family, these people are no longer there to take an aperitif, to say hello, how are you, to talk politics or kiss, the body is gone, no need waving arms, trying to find someone, vacuum replaces the body, but the spirit is not far, the soul that gives energy to the living, it remains in our hearts, that's how we get born in millions of lost hope, the baby knows his ancestors but we quickly awakens the child to make intelligent, to earn money for a nice situation even if the bodies are rotting, a nice car and nice house and a beautiful coffin, adieu
demain s'organise aujourd'hui, pas la peine de penser quoi faire, tout se fait en automatique, le corps fonctionne sans se demander si l'avenir est proche, il vit l'instant, présent, passé, futur, il accepte tout en résumant je suis, pas de bavardages inutiles, la présence au monde est indiscutable, le corps est là pour témoigner, cela va suffire pour expliquer la vie, il faut accepter l'inévitable, ça paraît tellement loin du quotidien, mais en un coup de téléphone ça s'approche si près qu'on étouffe, plus rien à dire, souffrir c'est tout ce qui reste, ces gens si proches qu'on les appelait famille, ces personnes ne sont plus là pour prendre l'apéritif, pour dire bonjour, comment ça va, pour parler politique ou pour s'embrasser, le corps est parti, on a beau agiter les bras, on brasse de l'air, plus personne à serrer fort, le vide remplace le corps, mais l'esprit n'est pas loin, cette âme qui donne l'énergie aux vivants, elle reste dans notre coeur, c'est comme ça qu'en naissant on récupère des millions d'espérance disparues, le bébé connaît ses ancêtres mais rapidement on éveille l'enfant pour le rendre intelligent, pour gagner de l'argent, pour avoir une belle situation même si ses organes pourrissent, une belle voiture et une belle maison et un beau cercueil, adieu
come, go, move, until where i go today, in my head I ask myself the question, but how to understand the need to believe, the ways in all directions, if I select one, can I keep it long, it depends on the ability to see, look problem in front, too many people avoid to understand, they prefer to settle in error finding small satisfaction without scale, to go up just take courage with heart, see just opposite, it is not far away, the love is there, glorious, simple, humanly acceptable divinely distant, it is possible to understand that 'human has a look of love, even if life is made up of horrific characters trapped in the hatred of themselves and others, how many lives lost that love could arise, it is blocked at the bottom of the unfortunate experience, days, which are in suffering, from childhood a lack of hope is the great drought in the brain, the blood circulates, that's all, no message of tenderness, it Nothing to be done, wait until the release tragic death, the issue of human fears by diving into the certainty of love, too late for the living
venir, partir, avancer, combien de pas suis-je capable de faire aujourd'hui, dans ma tête je me pose la question, mais comment comprendre la nécessité de croire, la vie part dans tous les sens, si je n'en choisis qu'un, puis-je le garder longtemps, tout dépend de la capacité de voir, regarder bien en face le problème, trop nombreux sont ceux qui évitent de comprendre, ils préfèrent s'enfoncer dans l'erreur y trouvant une satisfaction interne, sans envergure, alors qu'il suffit de prendre son courage avec son coeur, juste en face, ce n'est pas loin, l'amour est là, glorieux, simple, humainement acceptable, divinement lointain, il est possible de comprendre que l'humain possède un regard d'amour, même si la vie est composée d'horribles personnages emmurés dans la haine de soi et des autres, combien de vies ratées où l'amour n'a pu surgir, il est bloqué au fond de l'expérience malheureuse, des jours qui s'enchaînent dans la souffrance, depuis l'enfance pas une goutte d'espérance, c'est la grande sécheresse dans le cerveau, le sang circule, c'est tout, aucun message de tendresse, il n'y a rien à faire, il faut attendre le déblocage tragique, la mort délivre l'humain de ses peurs en le plongeant dans la certitude de l'amour, trop tard pour les vivants
evening announces the end of the day, this is how it happens, those who claim otherwise are liars, there are in lives indisputable certainties, it is not a matter of taste, all tastes are in nature, I like to drink wine, it is discussed, some drink water, but if I am from my birth until I die, nothing else to say, drunkenness has nothing to do with it, water drinkers should beware of sadness that is gaining ground, a glass of wine shared with friends, you get the urge to share words idiots, with the water still serious not slip, there's just the urge to go pee in common, except that the wine does not aim at the middle, it's true that you can get out of the frame, then how can we know what human must do to be present, I'm here, do not worry, you can count on me, we will succeed in passing, however, awaits you with air holes, better fasten his belt, but if we fall we don't crush and we continue together with more shared experience, it is a long time from the beginning, it helps to live in depth without getting bogged down, but in a second everything collapses, remeber the first day, think of the last day, a life has passed
le soir annonce la fin du jour, c'est comme ça que ça se passe, ceux qui prétendrait le contraire sont de menteurs, il y a dans la vie des certitudes indiscutables, ce n'est pas une question de goût, tous les goûts sont dans la nature, j'aime boire du vin, ça se discute, certains boivent de l'eau, mais si je suis c'est depuis ma naissance jusqu'à ma mort, rien d'autre à dire, l'ivresse n'a rien à voir avec ça, les buveurs d'eau devraient se méfier de la tristesse qui gagne du terrain, un verre de vin partagé entre amis, ça donne l'envie de partager des mots idiots, avec l'eau on reste sérieux, pas de dérapage, y'a juste l'envie d'aller pisser en commun, sauf que le vin ne permet pas de viser au milieu, c'est vrai qu'on peut sortir du cadre, alors comment savoir ce que l'humain doit faire pour répondre présent, je suis là, ne t'inquiète pas, tu peux compter sur moi, nous allons réussir à passer, cependant attend toi à des trous d'air, vaut mieux attacher sa ceinture, on tombe mais on ne s'écrase pas, on continue ensemble avec plus d'expérience partagée, il est loin le temps du début, ça permet de vivre en profondeur sans se noyer, un numéro d'équilibriste sans filet, en une seconde tout s'effondre, aimons-nous comme au premier jour, comme au dernier jour, une vie qui passe
jeudi 25 juin 2009
life is unique, why get down in the bottom of violence ground whereas on top of there is peace without sharing, but people like to go down the cellar to satisfy their impulses, anger, envy, lying, feelings to the glory of the stupidity, she is large in humans, it comes from when small children are not loved, they grow up in fear and when they become adults, they make pay others to have an unhappy childhood, but what can we, I did nothing, the innocent hands, so does life, and the bad guys meet often the good enough to end badly, but at the end we no longer knows who are the good guys and who are the bad guys, we must be born evil, some manage to pass through, but many are still pending, see story on which side it looks, it is important for be well placed, then necessarily it is far from what happens in the street, people are dying because they believed in freedom of expression, this is not luck, forget that obscurantism is up at the end to kill the love, youth, recklessness, he gives orders, everyone go in the same direction, no breathing, rows of dead bodies
la vie est unique, pourquoi la descendre en bas de la violence souterraine, en haut de l'existence la paix règne sans partage, mais les humains aiment descendre à la cave pour assouvir leurs pulsions, la colère, l'envie, le mensonge, des sentiments à la gloire de la bêtise, elle est grande chez les humains, elle vient de l'enfance quand les petits ne sont pas aimés, ils grandissent dans la peur et quand ils deviennent adultes, ils font payer aux autres d'avoir eu une enfance malheureuse, mais qu'y pouvons-nous, je n'ai rien fait, aux innocents les mains pleines, ainsi va la vie, les méchants et les gentils se rencontrent assez souvent pour que ça finissent mal, mais à la fin on ne sait plus qui sont les gentils et qui sont les méchants, on doit naître méchant, certains arrivent à passer au travers, mais beaucoup restent dans l'attente, histoire de voir de quel côté ça penche, l'important c'est d'être bien placé, alors forcément on est loin de ce qui se passe, dans la rue, des gens meurent parce qu'ils ont cru à la liberté d'expression, c'est pas de veine, comment oublier que l'obscurantisme va jusqu'au bout pour tuer l'amour, la jeunesse, l'insouciance, il donne les ordres, tout le monde au pas, dans le même sens, que personne ne respire, des lignes de cadavres
when will I be ready to go through the door, I hesitate, the doubt takes me by the throat, i am still with you, i don't know the unknown, yet I can not resist, I allow myself to be soothed tenderly but one day i will grow up and leave home, I will have to face the enemy without outside help, lonely to the world, I want it hard, no, it's more complicated than that, fo who show no weakness, nothing happens, if it appears unfortunately it's the end of the peace, everybody wants to know why, how, there must be a reason, but there is nothing, human left the cycle, it does not return, then the time passes, the leaves fall in autumn, they return in the spring, everything happens without people, when they come, they leave, they destroy, it is reborn, before the first man, the land had already lived thousands revolutions, now they want us to believe that human activity is responsible for global warming and rising levels seas, what about the volcanoes, they will disappear since they banned smoking in public places, this is the problem of human time, no more belief, only explanations, goodbye love
quand donc serai je prêt à passer par la porte, j'hésite encore devant le doute qui me prend à la gorge, reste avec nous, ne part pas dans l'inconnu, pour le moment je ne résiste pas, je me laisse bercer de tendresse qui m'enferme, un jour, il faudra grandir et quitter la maison, je devrai affronter l'ennemi sans secours extérieur, seul face au monde, me veut-il du mal, non, c'est plus compliqué que ça, tant qu'on ne montre pas de faiblesse, rien n'arrive, si on s'affiche par malheur, c'est la fin de la tranquillité, tout le monde veut savoir pourquoi, comment, il doit y avoir une raison, mais non, il n'y a rien, des humains sont partis dans le cercle infernal, il ne sont pas revenus, alors le temps passe, les feuilles tombent en automne, elles reviennent au printemps, tout se passe sans les hommes, quand ils viennent, ils s'en vont, ils détruisent, ça renaît, avant le premier homme, la terre avait déjà vécu mille révolutions, aujourd'hui on veut nous faire croire que l'activité humaine est responsable du réchauffement du climat et de la montée du niveau des mers, que dire des volcans, vont-ils disparaître depuis qu'on a interdit de fumer dans les lieux publics, voilà le problème de l'époque humain, plus de croyance, que des explications, adieu l'amour
what's good is having the time to think, then we are caught in the eddies of doubt and envy, will I Course I, conflicts, dissatisfaction, dream indeed, today, Today for example, without going through the immediate, you can see the law, the coming of a fulfilled life, something simple, without excessive bounce, but it depends on each, happiness is a feeling, suddenly, it does not prevent not all at once, happy, slim then I not think it happens to me so we can change the course of thought, I concentrated on my misery when I was struck not by the but by lightning enchanted life, a movement towards the sky, over concern for the next hours, that's life, which next takes up the whole, I am ready for an experience that exceeds the frame, the entire wall I will write my name, then I look out the window to watch people, they have no air, no feelings displayed, not the benevolent neutrality, a nuisance to pass, but humans can not not stand still, we must move in every direction to feel the air change, but the sky does not receive a message, the man is so small that it drowns in his dreams, tomorrow is far then live
ce qui tombe bien c'est d'avoir le temps d'y penser, ensuite on est pris dans des tourbillons de doute et d'envie, vais-je, cours-je, conflits, insatisfactions, rêve d'ailleurs, aujourd'hui par exemple, sans passer par la réalisation immédiate, on peut apercevoir au loi, la venue d'une vie accomplie, quelque chose de simple, sans rebond excessif, mais ça dépend de chacun, le bonheur est un sentiment soudain, on ne prévient pas, d'un seul coup, heureux, mince alors, j'avais pas cru que ça m'arrive, à moi aussi on peut changer le cours de la pensée, j'étais concentré sur mon malheur quand je fus frappé non par la foudre mais par la vie enchantée, un mouvement vers le ciel, finie l'inquiétude pour l'heure prochaine, c'est la vie prochaine qui prend toute la place, je suis prêt pour une expérience qui dépasse du cadre, sur tout le mur je vais écrire mon nom, ensuite je regarderai par la fenêtre pour voir passer les gens, ils n'ont l'air de rien, pas de sentiments affichés, la neutralité même pas bienveillante, un ennui de passer, mais l'humain ne peut pas rester immobile, il faut bouger dans tous les sens pour avoir l'impression de changer l'air, mais le ciel ne reçoit pas de message, l'humain est tellement petit qu'il se noie dans ses rêves, demain est loin, alors vivons
mercredi 24 juin 2009
in daylight hours I spend great, I go, I come, the sun illuminates my path, I do not worry, it goes, until the evening, at night, illuminate the shadows in the light electric, crackles move, spiders argue, how can I fall into unconsciousness, around my defenseless bed, they are ready to attack me, luckily in my sleep, my body moves at times, they leave, they come back until morning, fears fly in the sun, I lie a minute to savor this moment, the alarm clock which announces a day in full light, with experience we understand that the anguish of the night allows the joy of the morning shine, without evil no good, but I fall asleep fear stomach, a few hours it will be days, it does not matter, you have to go through there, only the face changes, it reflects the anguish of the night, the body, it is hidden under clothing, it is inside that everything is destroyed, little by little pieces break off and fall into the sea, block cracks, the hands are cold, the night becomes full, it will never date, living with nothing left to leave behind, what remains is dead flesh without defense, she will be challenged
dans la clarté du jour je passe des heures formidables, je vais, je viens, le soleil éclaire mon chemin, je ne m'inquiète pas, ça passe, jusqu'au soir, il fait nuit, les ombres s'éclairent à la lumière électrique, les craquements se déplacent, les araignées avancent, comment vais-je pouvoir tomber dans l'inconscience, sans défense alors qu'autour du lit ils sont prêts à m'attaquer, heureusement dans mon sommeil, mon corps bouge par moments, ils s'en vont, ils reviennent, jusqu'au matin, les peurs s'envolent dans le soleil, je reste allongé une minute pour goûter ce moment magique du réveil qui annonce une journée en pleine lumière, avec de l'expérience on comprend que l'angoisse de la nuit permet à la joie de resplendir le matin, sans le mal pas de bien, alors je m'endors la peur au ventre, dans quelques heures il fera jour, ça ne fait rien, il faut passer par là, seul le visage évolue, il traduit les angoisses de la nuit, le corps, lui, est caché sous les vêtements, c'est à l'intérieur que tout se détruit, peu à peu des morceaux se détachent et tombent dans la mer, le bloc se fissure, les mains sont glaciales, la nuit devient totale, il ne fera plus jamais jour, le vivant est parti sans rien laisser derrière lui, ce qui reste, de la chair morte sans défense qui va être attaquée
I keep my hidden keys in a corner and not bother to put in front of everyone, they would not understand, the habit is so small to be recognized by a small hand, i can not be great, skip the air, type in the hands, say, ga, ga, ga, just what I want to communicate freely, it is not accepted, they treat me crazy so I keep it for later, when I am old, I'll be senile, but nice at this time, so funny old daddy, ga, ga, ga typing hands like a seal, it makes laugh children besause they are at the primary meaning of exchange, they have not yet been formatted to become intelligent, in school they kill the simple joy, whereas watching life as it comes is so incredible, we learn to be wary of stupids, the more we go to school, more others are idiots, this is how humans organize the relationships between people, few richs, beautifuls, wealthy, all the other free, in disinterested love, the rich are not entitled, they too are wary of the fools who would bite their money, the feeling is cleared of special interests, it vogue above the crowd, all the idiots can take, it's free, just agree to share the truth in respect of union and happiness
je garde l'essentiel dans un coin, pas la peine de le mettre devant tout le monde, ils ne comprendraient pas, l'habitude est tellement réduite à se reconnaître par un petit côté, on ne peut pas être en grand, sauter en l'air, taper dans les mains, dire, ga, ga ,ga, juste par ce que j'ai envie de communiquer librement, ce n'est pas accepté, on me traite de fou, alors je garde tout pour plus tard, quand je serai vieux, je serai gâteux, mais gentil, à ce moment là on dira, il est gentil papi, ga, ga, ga en tapant des mains comme une otarie, ça fait beaucoup rire les enfants, eux comprennent le sens premier de l'échange, ils n'ont pas encore été formatés pour devenir intelligents, à l'école on tue la joie simple qui regarde la vie comme elle vient, on apprend à se méfier de l'idiotie, plus on va à l'école, plus les autres sont idiots, voilà comment l'humain organise les rapports entre les gens, à quelques uns la richesse, la beauté, la richesse, à tous les autres la gratuité, l'amour désintéressé, les riches n'y ont pas droit, ils se méfient trop des idiots qui voudraient piquer leur argent, le sentiment est dégagé des intérêts particuliers, il vogue au dessus de la foule, tout les idiots peut en prendre, c'est gratuit, il suffit d'accepter de partager en vérité, dans l'union du respect et du bonheur
start at the beginning, he would know where it starts, okay, I take the letter A, as admitted, why not at the table, it's time, right? good, one hour of installation, then go back to work, but life takes place without our decision, when leaving the place,the letter Z falls from a scaffolding and kill all the participants of the meeting which aimed to put an end to doubt on the possible meaning of the presence on earth, seen from a distance, indeed, the sidewalk on the other side, I can conclude that it is better to be wary of what falls from above, for we can against easily control what comes from below, just look where they have gathered at his feet is a clear goal in my life, not bother to think too long, one foot before the other with attention to curbs and dog droppings, hence I do not look at the people I meet, or rather, I see only their legs, some are pretty, others fast, women, men, dogs, leashes after dogs, that my relations with others, at home I do not see anyone and when it comes to my door, I opened the head down, how can they exchange eyes in eyes, everybody lose his soul as if you open a can of sardines, my emotions are stored in the silence
commençons par le début, il faudrait savoir où ça commence, d'accord, je prends la lettre A, comme admettre, pourquoi pas à table, c'est l'heure, non? bon une heure de pose, ensuite on reprend nos travaux, mais la vie se déroule sans notre décision, au moment de sortir la lettre z tombe d'un échafaudage et tue les participants de cette réunion qui avait pour but de mettre un terme au doute sur l'éventuel sens de la présence sur terre, vu de loin, pour tout dire, du trottoir d'en face, je peux conclure qu'il vaut mieux se méfier de ce qui tombe d'en haut, par contre on peut plus facilement contrôler ce qui vient d'en bas, il suffit de regarder où on met ses pieds, c'est un objectif clair de ma vie, pas la peine de réfléchir trop longtemps, un pied devant l'autre en faisant attention aux bordures de trottoirs et aux crottes de chiens, du coup je ne regarde pas les gens que je croise, ou plutôt je ne vois que leurs jambes, certaines sont jolies, d'autres rapides, des femmes, des hommes, des chiens, des laisses au bout des chiens, voilà mes relations avec les autres, chez moi je ne vois personne, et quand on sonne à ma porte, je l'ouvre la tête baissée, je ne comprends comment on peut échanger deux regards, on perd son âme comme si on ouvre une boîte de sardine, mes émotions sont bien rangées dans le silence
mardi 23 juin 2009
in one year in ten years, but not in a hundred years, I will not be there to say silly things, may be others not born yet take my place, or any of them, will i be the only one write for say nothing , when I hear critics speak of this pathetic story of a painful child, capable 20 years later to tell her story, tearing tears to those who have read the book, I have no story to tell, I am alive, it is only here that I feel capable of trying to go to get my nerves in the heart of my existence, in this package of connections there is a source of eternal life, it allows us to lift the morning, even to dream at night, it's a mysterious energy that the scientist can never discover, even if today we put up the virtual, it is always a human construction not far from Lego or toy machine, human mind is limited, it can not conceive of the infinite, at some point hunger arises, we must eat to live, not live to eat, this is the problem of the richest countries which eat like pig while in the poorest countries, only the rich do it, the poors are starving, we talk about globalization, but when will we compel the leaders to put their money in Switzerland to feed population
dans un an, dans dix ans, mais pas dans cent ans, je ne serai plus là pour raconter des bêtises, d'autres encore à naître prendront ma place, ou aucun d'entre eux, serai-je le seul à écrire pour rien dire, quand j'entends des critiques littéraires qui parlent de cette histoire pathétique d'un enfant douloureux capable 20 ans plus tard de raconter son histoire en arrachant des larmes à ceux qui lisent sont livre, je n'ai pas d'histoire à raconter, je suis vivant, c'est seulement là que je me sens capable d'essayer de parcourir mes nerfs pour arriver au coeur de mon existence, dans ce paquet de connexions on trouve une source éternelle de vie, elle nous permet de nous lever le matin, même de rêver la nuit, c'est une énergie mystérieuse que les savant ne pourront jamais découvrir, même si aujourd'hui on met en place le virtuel, c'est toujours une construction humaine pas éloignée du légo ou du mécano, l'esprit humain est limité, il ne peut concevoir l'infini, à un moment donné la faim surgit, il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger, c'est bien le problème des pays les plus riches qui s'empiffrent pendant que dans les pays les plus pauvre, les riches se goinfrent, les pauvres eux, crèvent de faim, on parle de mondialisation, mais quand pourra-t-on obliger les dirigeants à mettre l'argent qu'ils ont en Suisse pour nourrir leur population
rolling of drums, screams in the crowd, the day the King died, January 21, what year, this year, what good news, the king is dead, long live the republic, is a new that has not age, which should always exist, the first example in history is tested in Athens, 3,000 years ago, men wanted to discuss their fate, all equal, they were few and were part of the elite citizens, but it is a beginning modern politics, long after the french revolutionaries killed the king to establish a democracy, imperfect, time was not yet ready to accept this idea of equality, Napoleon took the opportunity to take the place of the king, once again we must wait until the defeat of Napoleon 3, the Paris Commune, a new edition of the revolutionary terror of 1792, but events quickly follow to reach the Third Republic, women do not vote, it's the French paradox, but now, when the Republic is lost in business, unable to assert that it is the only bulwark against barbarism, where we are going, the Democratic hope that our hearts beat, vive la république, vive la France, vive l'europe
roulement de tambours, cris dans la foule, le jour où le roi est mort, 21 janvier, quelle année, cette année, quelle bonne nouvelle, le roi est mort, vive la république, c'est une nouvelle qui n'a pas d'âge, qui aurait dû toujours exister, le premier exemple dans l'histoire est l'essai athénien, il y a 3000 ans des hommes ont voulu discuter ensemble de leur destin, tous égaux, ils étaient peu nombreux et faisaient partie de l'élite des citoyens, mais c'est un début politique moderne, bien longtemps après les révolutionnaires français ont tué le roi pour mettre en place une démocratie imparfaite, le temps n'était pas encore prêt pour accepter cette idée d'égalité, Napoléon en profite pour reprendre la place de roi, encore une fois il faut attendre jusqu'à la défaite de Napoléon 3, c'est la Commune de Paris, une nouvelle édition de la terreur révolutionnaire de 1792, mais assez rapidement les évènements se succèdent pour arriver à la troisième république, les femmes ne votent pas encore, paradoxe à la française, mais aujourd'hui où est la république, perdue dans les affaires, incapable d'affirmer qu'elle est le seul rempart à la barbarie, où allons nous, l'espérance démocratique fait battre notre coeur, vive la république, vive la france, vive l'europe
the sun rises, I am still asleep, I'm not used to listen to the earth, I live in town and I prefer to look at my alarm clock telling me that the day begins, it is finished time for our ancestors who followed the order of seasons to find satisfaction very simply distributed, today comes at the same time as if it is the first in July or December 31, there is no limit barring human desire, power, microwave oven, washing machine and dishwasher, heated and air conditioned car, the human can live in big cities without the need of others, and even rejecting those who do not like him, it is a revolution compared to the centuries past or even the rich could not live alone for very long, in 2009 there are many singles, they choose their friends but also in their families they will see those friends, no more unbearable cousin as you see only because we share the same blood, but technical developments have shown us we progress in knowing past, just go back 100 years to see that the family is huge, and if you go back a thousand years it shrinks because the human in these times was not very many, we are all in the same family then chooses friends
le soleil se lève, moi je reste endormi, je n'ai pas l'habitude d'écouter la terre, je vis en ville et je préfère regarder mon réveil pour me dire que la journée commence, il est fini le temps de nos ancêtres qui suivaient l'ordre des saisons pour y trouver des satisfactions bien réparties, aujourd'hui tout vient en même temps que ce soit le premier juillet ou le 31 décembre, aucune limite ne vient barrer l'envie humaine, électricité, four micro onde, machine à laver le linge et la vaisselle, voiture chauffée et climatisée, l'humain peut vivre seul dans les grandes villes sans avoir besoin des autres, et même en rejetant ceux qui ne lui plaisent pas, c'est une révolution par rapport aux siècles passés où même les plus riches ne pouvaient pas vivre seul très longtemps, en 2009 les célibataires sont nombreux, ils choisissent leurs amis mais aussi dans leur famille ceux qu'ils verront comme amis, plus comme cousin insupportable qu'on voit uniquement par ce qu'on partage le même sang, mais l'évolution technique nous a montré qu'en matière de gêne, il suffit de remonter 100 ans pour voir que la famille est devenue énorme, et si on remonte mille ans elle se rétrécie car l'humain dans ces temps reculés n'était pas très nombreux, nous sommes tous de la même famille alors on choisit des amis
for or against, good or evil, joy or pain, pretend or believe, life is always between two mountains, sailing on sight in the valley, but occasionally we are forced to climb on top to believe, but suddenly down on the buttocks from the other side to pretend, lie at the top, while low comedy, we laugh not to cry, fun these men and women who congratulate themselves before and plant a knife behind, in the back, what we can say, heads or tails, tanning, laughing, fat, big bellies, breasts falling, humanity clings to shaky of its positions, in one day crumble into dust, it lasts from the beginning of humanity, each generation grew in strength before sinking into oblivion, top, bottom, gymnastics earth, before knowing the destiny heavenly paradise still, finally, no more ridiculous gesticulations of guru who runs up to a millimeter,
it comes to billions of light years, the extent unlimited humans broke out in stars
it comes to billions of light years, the extent unlimited humans broke out in stars
pour ou contre, bien ou mal, joie ou peine, croire ou feindre, la vie passe toujours entre deux montagnes, on navigue à vue dans la vallée, mais de temps en temps on est obligé de grimpé tout en haut de croire, mais d'un seul coup de on descend sur les fesses pour passer de l'autre côté de feindre, mensonge tout en haut, comédie tout en bas, on en rit pour ne pas en pleurer, comme c'est drôle devoir ces femmes et ces hommes se congratuler devant et de se planter un couteau derrière, dans le dos, qu'est ce qu'on peut dire, pile ou face, bronzage intégral, rire gras, des gros ventres, des seins qui tombent, humanité chancelante qui s'accroche à ses positions, en un jour s'écroulent dans la poussière, ça dure depuis le début de l'humanité, chaque génération monte en puissance avant de sombrer dans l'oubli, en haut, en bas, gymnastique terrienne, avant de connaître le destin céleste, le paradis immobile, enfin, plus de gesticulations ridicules, plus de maître à penser qui se déroule jusqu'à un millimètre,
on passe à des milliards d'années lumières, l'étendue illimitée, l'humain éclaté en étoiles,
on passe à des milliards d'années lumières, l'étendue illimitée, l'humain éclaté en étoiles,
Yet I was sure of myself and not of others, it is always the same problem, how to rely on the body that do not play the game, but which game is it, who knows the rules, in these conditions I prefer to go, what! I have to stay with strangers, that they want to me, are they dangerous, I do not have time to know them all, I have to be able to spend my time to communicate with these people, it is clear that the truth does not exist in the vertical relationship, we speak without listening, any way it does nothing essential , emotions are hidden, a whole life to lie to protect themselves, avoid opening without providing risk, without stopping to calculate the position most acceptable in terms of environmental variables, first mentally then some of the bodies with minds , an experience that I will complet in an uncertain time, until I laugh to see her so beautiful, the pleasure is so fast, it is better to accept the wisdom of common sense, one that leads to eternal joy, Love shines on top of human existence, let's go, but at a very slow pace, selfishness slows walking, you think to yourself more often than to be loved
j'étais pourtant sûr de moi mais pas des autres, c'est toujours le même problème, comment compter sur des corps qui ne jouent pas le jeu, mais de quel jeu s'agit-il, qui connaît les règles, dans ces conditions je préfère m'en aller, quoi, je suis obligé de rester avec ce inconnus, que me veulent-ils, sont-ils dangereux, je n'ai pas le temps de tous les connaître, suis je capable de passer mon temps à paraître ce sue je ne suis pas, uniquement pour me permettre de communiquer avec ces gens, il est évident que la vérité n'existe pas dans les rapports verticaux, on se parle sans s'écouter, de tout façon on ne dit rien d'essentiel, les sentiments sont cachés, toute une vie à mentir pour se protéger, éviter d'ouvrir sans prévoir les risques, calculer sans arrêt la position la plus acceptable en fonction de variables environnementales, d'abord environ ensuite mental, des corps avec des esprits, une expérience que je mènerai à son terme dans un temps incertain, en attendant je ris de la voir si belle, le plaisir est si rapide, il vaut mieux accepter la croyance populaire du bon sens, celui qui mène à la joie éternelle, l'amour brille en haut de l'existence humaine, on y va, mais à un rythme très lent, l'égoïsme ralentit la marche, on pense à soi plus souvent qu'à l'être aimé
it was then that I asked the main reason that pushes me to want exactly what is clear to me, dance for me, before me, behind I do not see you, enlighten my conscience, from all sides include all, this is like that, no more mystery, but that is happening, where am I, am I going through this, not, how I am the opposite of what exactly, I'd like to know my position, west nothing new, it does not tell me much, to the north, going north, it is there, but where are they, where are you, we were five hundred, years ago, they have all disappeared, I only stay on my chair, vacuum around me, all these faces from the past that I see on the wall since I was child, those faces disappear, the wall is white, new hope Nothing to fear, the bodies go up in smoke, all those days when I thought exist, proceed to checkout, you must pay by the blood of the mother, birth, pain, joy, action, and here and there flowers born in the morning, fresh air, sunny house, midi, wriggle butter in the pan, being fragile, it was the last time we sold the house after the death of the father, it is four hours, it is winter, the cold body, deep in the freshly dug hole
c'est à ce moment là que je me suis demandé la raison essentielle qui me pousse à vouloir exactement ce qui me paraît évident, danse pour moi, devant moi, derrière je ne te vois pas, éclaire ma conscience, bien en face pour je comprenne tout, voilà comme ça, plus de mystère, mais que se passe-t-il, où suis-je, vais-je par là, non, comment, je suis à l'opposé de quoi exactement, j'aimerai connaître ma position, à l'ouest rien de nouveau, ça ne me dit pas grand chose, au nord, allons au nord, c'est par là, mais où sont-ils, où êtes vous, nous étions cinq cents, il y a longtemps, ils ont tous disparu, je suis seul à rester sur ma chaise, le vide autour de moi, tous ces visages du passé que je vois sur le mur, depuis que je suis enfant, ces visages disparaissent, le mur est blanc, une espérance nouvelle, rien à craindre, les corps partent en fumée, tous ces jours où j'ai cru exister, passons à la caisse, il faut payer par le sang de la mère, naissance, douleur, joie, action, et par ci par là des fleurs qui naissent le matin, fraîcheur de l'air, maison ensoleillée, midi, le beurre frétille dans la poêle, instant fragile, c'était la dernière fois, on a vendu la maison après la mort du père, il est quatre heures, c'est l'hiver, le corps à froid, au fond du trou fraîchement creusé
I gather my strength to be strange, then I'm well in front of the vertical position, top departure, I am listening to my old doubts when they are able to return to the air for twenty hours, is not worth coming to tell me what I do, I'm old enough to understand that time does not meet expectations, there must be a fair average between the arrival and departure, you feel good, it depends on the times, today I go in circles without interest, I expect squares melted more powerful, provided that they take in the good without, then I do not know if I continue to believe in the direction professional, my career took off in the distance and I can't catch up, I remain alone in circles in the sky, I draw clouds, but soon the white becomes black, the sky is threatening, it will attack, everyone to shelter, but I am alone,i don't mind if it's raining, then I'll have time to dry, then anything goes, day, night, young, old, round, well, tooth jaw, and I could go for good, by what I think everything in one time, all made the world in the same place, there is a scramble, who understand anything, it is finished
je rassemble mes forces pour être en farce, ensuite je me mets bien en face de la position verticale, top départ, je suis à l'écoute de mes doutes anciens quand ils sont capables de revenir à l'antenne pour le vingt heures, ce n'est pas la peine de venir pour me dire ce que je dois faire, je suis assez grand pour comprendre que le temps ne correspond pas aux attentes, il faut trouver un juste moyen entre la venue et le départ, vous vous sentez bien, ça dépend des moments, aujourd'hui je passe dans cercles sans intérêt, j'attends des carrés fondus bien plus percutants, à condition de les prendre dans le bon sans, après je ne sais pas encore si je continue à croire dans l'orientation professionnelle, ma carrière s'envole au loin sans que je puisse la rattraper, je reste seul à faire des ronds dans le ciel, j'imagine dessiner des nuages, mais bientôt le blanc devient noir, le ciel est menaçant, il va attaquer, tout le monde aux abris, mais je suis seul, ça m'est bien égal qu'il pleuve, j'aurai ensuite le temps de me sécher, alors tout passe, jour, nuit, jeunesse, vieillesse, tour, puits, dent, mâchoire, et j'en passe pour de bon, par ce que je pense tout en même temps, ça fait du monde au même endroit, il y a une bousculade, on n'y comprend plus rien, ça y est c'est fini
lundi 22 juin 2009
once again I'm behaving like a hedgehog, unable to accept an exchange of light seduction that may cause them to reconsider, I cut net reflex single or afraid to share a moment with no wake in the morning, I gotta go, I do not give you my phone number, it is not called, no, it is not worth it, times like this I do not want to live, I sort completely demolished, my whole childhood I was taught that happiness was to found a family, a loving wife and children happy, and I can only make meetings a night, the day is bad for the relationship, I do not have a horrible figure, I'm cool, I see why that crazy, there must be something in me that used to be a magnet but at dawn is finished, the coach becomes a pumpkin, well, let's be serious, first go see a psychologist, I will try to understand what is wrong, then I stop going to night club and I will try to meet women enrolling in the day on a dating site on the internet, I give tomyself three months to go to the normal phase, a woman that I love for at least three years, then we'll see if I like another , a lot of women like married men,
une fois de plus je me suis conduit comme un hérisson, incapable d'accepter un échange de légère séduction pouvant éventuellement amener à se revoir, j'ai coupé net, réflexe de célibataire ou peur de partager un moment sans lendemain, le matin, j'y vais, je ne te donne pas mon numéro de téléphone, on ne s'appellera pas, non, ce n'est pas la peine, des moments comme ceux là je ne veux plus les vivre, j'en sort complètement démoli, toute mon enfance on m'a appris que le bonheur était de fonder une famille, d'avoir une femme aimante et des enfants joyeux, et je n'arrive qu'à des faire des rencontres d'une nuit, la journée étant néfaste à la relation, je n'ai pas une figure horrible, je suis sympa, alors pourquoi je rencontre que des dingues, il doit y avoir quelque chose en moi qui sert d'aimant pour n'être qu'amant, à l'aube c'est fini, le carrosse devient citrouille, bon, soyons sérieux, d'abord aller voir un psychologue, je vais essayer de comprendre ce qui ne va pas, ensuite j'arrête d'aller en boîte de nuit et je vais tenter de rencontrer des femmes la journée en m'inscrivant sur un site de rencontre sur internet, je me donne trois mois pour passer à la phase normale, une femme que j'aime pendant au moins trois ans, ensuite on verra si j'en aime une autre, les hommes mariés ça plaît,
in the street that leads to the tavern, I met a strange character, he had a red beard, and he felt the blond tobacco is passing next to him, not having seen that far, I am rather shy and I can not watch people closely, I was therefore as if nothing had happened, and nothing happened, it is the problem of my life, nothing ever happens when I hear stories on TV or even friends who are incredible things happened that I forgot in my life because nothing happens, then how do you want I can remember nothing else, my life folds on itself, I can not help it is too deep in me, it's not a clip that would be needed to remove it, a woman who loves me, but I am in life the more I walk away from the idea of seduction, the idea drip me, how could I go to a woman and play the comedy, I came to believe in the miracle of a meeting obvious It happens only in movies, in real life must be approached in discovering too late in realizing that we erred heavily, reversing russie style retreat, followed by Waterloo morne plaine, I am pressed a bit more life satisfaction only, no risk of being wrong, my slippers are in the right place
dans la rue qui mène à la taverne, j'ai rencontré un curieux personnage, il avait une barbe rousse et il sentait le tabac blond, c'est en passant à côté de lui, ne l'ayant vu que de loin, je suis assez timide et je ne peux regarder les gens de près, je passais donc comme si de rien n'était, et rien ne se passa, c'est bien le problème de ma vie, il ne se passe jamais rien, quand j'entends des histoires à la télé ou même des copains à qui il est arrivé des trucs invraisemblables que j'ai oublié car dans ma vie il ne se passe rien, alors comment voulez-vous que je me souvienne d'autre chose, ma vie se replie sur elle-même, je n'y peux rien, c'est trop profond en moi, c'est pas une pince qu'il faudrait pour l'enlever, c'est une femme qui m'aimerait, mais plus j'avance dans la vie plus je m'éloigne de l'idée de séduire, l'idée même me dégoutte, comment pourrais-je aller vers une femme et jouer la comédie, j'en suis arrivé à croire au miracle d'une rencontre évidente, ça n'arrive que dans les films, dans la vraie vie il faut approcher en se découvrant en s'apercevant trop tard qu'on s'est trompé lourdement, marche arrière style retraite de russie, suivie de Waterloo morne plaine, je m'enfonce un peu plus dans la satisfaction de vivre seul, aucun risque de se tromper, mes pantoufles sont à la bonne place
the moon is far away, but if I count to three I would have the right to turn right, I like the road leading to the city center, so we can discuss everything and anything, this is it makes you happy to be with me, of course I am not the one you expected, but be sure to take the plunge, otherwise you can wait a long time hoping to find someone perfect, I am what in your eyes, you can tell me now that we have been together for three days, one can say the truth is like that a couple can continue to exist, you say nothing, how are you, you as a problem, what, you do not want to live with me, you met another man whom you love, well, then salvation, I wish you to be happy, I'm happy to have had three days with you, ça va me permettre d 'thinking for at least one year, then I will seek a woman in trouble and trying to seduce her, it will not last very long, but so be it, that is what I live for years I understood that I could not pretend to be happy to subjugate a woman for a long time, my maximum is one week, it must be said that this time there I was really fit, I forgot that I was ugly
la lune est loin, mais si je compte jusqu'à trois aurais-je le droit de prendre à droite, j'aime bien ce parcours qui mène au centre de la ville, comme ça on peut discuter de tout et de rien, est ce que ça te fais plaisir d'être avec moi, bien sûr je ne suis pas celui que tu attendais, mais il faut bien se jeter à l'eau, autrement on peut attendre longtemps en espérant trouver quelqu'un de parfait, je suis quoi à tes yeux, tu peux me le dire, maintenant que nous sommes ensemble depuis trois jours, on peut se dire la vérité, c'est comme ça qu'un couple peut continuer à exister, tu ne dis rien, comment ça va, tu as un problème, quoi, tu ne veux plus vivre avec moi, tu as rencontré un autre homme que tu aimes, bon, alors salut, je te souhaite d'être heureuse, moi je suis content d'avoir eu trois jours avec toi, ça va me permettre d' penser pendant au moins un an, ensuite je chercherai une femme en difficulté et j'essayerais de la séduire, ça ne durera pas très longtemps, mais tant pis, c'est comme ça que je vis depuis des années, j'ai bien compris que je ne pouvais pas prétendre au bonheur de subjuguer une femme pendant longtemps, mon maximum c'est une semaine, il faut dire que cette fois là j'étais vraiment en forme, j'avais oublié que j'étais moche
extend the life of the project is today, more time, yes, but what for, no response, it does not know what to do in 80 years, wait it out, life still Moreover, it should fill, hope, sharing, loss of selfishness, of the magnet body and not destructive, it is a crazy, humans have great difficulty in love, he wants a body without love, because love is tiring, we must give much, to care for others, show clear signs waive certain actions that might deter the other, the opposite of Quick fun, passion destructive, is long time to reap the benefits it was not until the season is ripe to fall, liberation, ecstasy, the time arrived at after years of evolution, slow progress in love is one that brings happiness, feeling light allows the body to balance the anxiety and pleasure to exist simply to be well accepted, renounce anger ,
allonger la vie, c'est le projet d'aujourd'hui, plus de temps, oui, mais pour quoi faire, pas de réponse, on ne sait pas, que faire à 80 ans, attendre que ça passe, la vie, toujours plus, mais il faudrait la remplir, de l'espérance, de l'échange, de la perte d'égoïsme, des corps aimant et non plus destructeurs, c'est un projet fou, l'humain a de grandes difficultés à aimer, il désire un corps sans l'aimer, car aimer c'est fatigant, il faut donner beaucoup, faire attention à l'autre, montrer des signes clairs, renoncer à certaines actions qui risqueraient d'éloigner l'autre, tout le contraire du plaisir rapide, de la passion destructrice, le temps est long, pour cueillir les fruits il faut attendre la saison, c'est mûr pour tomber, libération, extase, le temps est arrivé à l'heure, après des années d'évolution, lentement avancer dans l'amour, c'est une exigence qui apporte le bonheur, un sentiment léger qui permet au corps de trouver l'équilibre entre les angoisses et le plaisir d'exister, simplement accepter d'être bien, renoncer à la colère,
should dispense with the superfluous, super flux, it is moving fast, everything, but mostly in the sky always remains since it is there without moving for millions of years, people pass him a few years and yes it's already over, goodbye sky, hello eternal night, anguished farewell sadness, all the days that ultimately hollow evil, ironically, life is just that, a succession of days without a plan, eat, sleep and forward to nothing, or rather inaction, it is declining, it does not, from birth to death, stationary, unique position relative to the stars, o na feel change when we move, when you change jobs, but they are insignificant changes, the space is there, he decides the order of the planets, but the human brain in his personal planet, a kind of tag it sends messages selfish, I am alone, other m'ennuient, I reason, all these thoughts occupy an important place in the brain, as a man forgets that he is nothing in space, just star dust, on the contrary, the human considers himself a god when he says anything, it seeks to impose its law when the only law of life is the sky which imposes he turns the earth
il faudrait se passer du superflu, super flux, ça va vite, tout passe, mais l'essentiel dans le ciel reste depuis toujours, il est là sans bouger depuis des millions d'années, l'humain lui passe une poignée d'années, et oui c'est déjà fini, adieu ciel, bonjour nuit éternelle, adieu tristesse angoissée, tous ce jours creux qui finissent mal, quelle ironie, la vie n'est donc que cela, une succession de jours sans projet, manger, dormir, et en avant vers rien, ou plutôt immobilisme, on ne recule pas, on n'avance pas, de la naissance à la mort, immobile, position unique par rapport aux étoiles, o na l'impression de changer, quand on déménage, quand on change de travail, mais ce sont des changements insignifiants, l'espace est là, c'est lui qui décide de l'ordre des planètes, mais l'humain a dans son cerveau une planète personnelle, une sorte de balise qui lui envoie des messages égoïstes, je suis seul, les autres m'ennuient, j'ai raison, toutes ces pensées occupent une grande place dans le cerveau, du coup l'humain oublie qu'il n'est rien dans l'espace, juste une poussière d'étoile, au contraire, l'humain se considère comme un dieu, alors il dit n'importe quoi, il prétend imposer sa loi, alors que la seule loi de la vie c'est le ciel qui l'impose, c'est lui qui fait tourner la terre
in a second I try to think, but it's too late, I can never move from the other side, but how do I know that there is another way of life, can I find here and now reason to believe in me, let's take a closer look, I'm a kind of means that I am loved by many people, this makes me happy but it does not change my life I'm a person, or rather, I've never experienced the fever of love that grows to cross the neutral zone of privacy, for the moment that has lasted for years, I am alone with my body, I do Unsure what to do, usually we go out shopping, but nothing exceptional, no exchange tremendous returns as a pancake, then I got a reason, little by little I used to make me happy quickly without much constraint, life is acceptable, yet I still feel I see life differently when I was a child, what happened to me to be today, it have to look at thousands of days, all looking for a needle in a haystack, I give, I would prefer to continue like this for some time, things are going well take a little longer, I do not know how, but I am
dans une seconde j'essaye de penser, mais c'est trop tard, je n'arriverai jamais à passer de l'autre côté, mais comment puis-je savoir qu'il existe une autre façon de vivre, ne puis-je trouver ici et maintenant des raisons de croire en moi, voyons cela de plus près, je suis quelqu'un d'aimable, cela veut dire que je suis aimé par beaucoup de monde, ça me fait plaisir mais ça ne change rien dans ma vie, je n'aime personne, ou plutôt je n'ai jamais connu la fièvre d'aimer qui pousse à franchir la zone neutre de l'intimité, pour l'instant qui dure depuis des années, je suis seul avec mon corps, je ne sais pas quoi en faire, par habitude on sort faire des courses, mais rien d'exceptionnel, pas d'échange formidable qui retourne comme un crêpe, alors je me suis fait une raison, peu à peu je me suis habitué à me faire plaisir rapidement sans trop de contrainte, la vie est acceptable, pourtant j'ai quand même l'impression que je voyais la vie autrement quand j'étais enfant, qu'est ce qui s'est passé pour que je devienne aujourd'hui, il faut chercher dans des milliers de jours, autant chercher une aiguille dans une botte de foin, j'abandonne, je préfère continuer le présent comme depuis un certain temps, ça va bien durer encore un peu, je ne sais pas encore combien, mais je suis bien
vendredi 19 juin 2009
in ten years I'll be good, I think, it's free, it does, except perhaps those who do not love me, I have some, and yes, my age disappointed to have some ladies and some gentlemen, but nothing serious enough not to wish good day, we learn by living, it's crazy, I know of no school capable of competing, it is especially striking when we see these kids coming out of prestigious schools, they know nothing of life but their brain is folded regularly to answer questions that do not interfere in life it is necessary to know shit, transit is essential, and it we learn by yourself, of course the mother of each child learns to wipe, but thirty later, to know oneself to sit, without any help from anyone, it shows one thing essential, life does not stop at twenty, I would say it starts, how to love someone for thirty years, how to respect, not to say I'm a bastard, it is far from the school learning to hold a pen, life is learned in everyday life, there's no shortcut, you need to drool or simply acknowledge that we are nothing without the love, a word abstract to those who do have never known peace for women and men on earth
dans dix ans je serai bien, je veux le penser, c'est gratuit, ça ne gène personne, sauf peut-être celles qui ne m'aiment pas, j'en ai quelques unes, et oui, j'ai l'âge d'avoir déçu quelques dames et quelques messieurs, rien de grave mais suffisant pour ne pas se souhaiter bonne journée, on apprend en vivant, c'est fou, je ne connais pas d'école capable de rivaliser, c'est surtout frappant quand on voit ces jeunes sortant d'écoles prestigieuses, il ne savent rien de la vie mais leur cerveau est plié régulièrement pour répondre aux questions qui ne gênent pas, dans la vie il faut surtout savoir chier, le transit c'est essentiel, et ça on l'apprend tout seul, bien sûr la mère de chacun apprend à l'enfant à s'essuyer, mais trente plus tard, c'est à soi de savoir s'asseoir, sans l'aide de personne, ça montre une chose essentielle, la vie ne s'arrête pas à vingt ans, je dirais même qu'elle commence, comment aimer quelqu'un pendant trente ans, comment se respecter, ne pas se dire, je suis un salaud, on est loin de l'école qui apprend à tenir un stylo, la vie s'apprend au quotidien, y'a pas de raccourcis, il faut en baver ou plus simplement reconnaître qu'on est rien sans passer par l'amour, un mot abstrait pour ceux qui ne l'ont jamais connu, paix aux femmes et aux hommes sur la terre
in an approximate time I will be as well that is a hope that was checked in the past, without really thinking, I realized that if I thought ten years ago on happiness concerning the existence, I wish I could live as I am now, as I did not, I corrected the shooting and I started the foresight of future happiness, which has existed can reasonably be repeated ten years it is not much when one is not born in the midst of life is just a small creek to cross, then it is not difficult, however I do not like equations with two unknowns, one is enough for me, life in all its magnificent splendor, not to mention the gulf just off the bottomless pit of despair everyday, each day is enough sentence, it does not each day is enough joy, the joy as if we had a packet of ten, or I say every day is enough joy, even very small, a ray of sunshine, a dirt dog on the sidewalk, a thought to the master asses idiot for letting his dog shit where it's going to work, mankind is here, people developed brain, capable of counting 10 over 10 and so on, these people are able to leave behind them an opportunity to swear, shoe stuck
dans un temps approximatif je serai aussi bien qu'aujourd'hui, c'est une espérance qui s'est vérifiée dans le passé, sans vraiment y penser, je me suis aperçu que si j'avais réfléchi il y a dix ans sur le bonheur relatif de l'existence, j'aurais pu me souhaiter de vivre tel que je suis aujourd'hui, comme je ne l'ai pas fait, je corrige le tir et je me lance dans la prospective du bonheur futur, ce qui a existé peut raisonablement se répéter, dix ans ce n'est pas grand chose quand on ne vient pas de naître, au milieu de la vie c'est juste un petit ruisseau à traverser, alors ce n'est pas bien difficile, de toute façon je n'aime pas les équations à deux inconnues, une seule me suffit, la vie dans toute sa splendeur merveilleuse, sans oublier le gouffre juste à côté, le puits sans fond de la désespérance quotidienne, chaque jour suffit sa peine, on ne dit pas chaque jour suffit sa joie, comme si la joie on l'avait par paquet de dix, or moi je dis chaque jour suffit sa joie, même toute petite, un rayon de soleil, une crotte de chien sur le trottoir, une pensée au maître asses idiot pour laisser son chien chier là où on va marcher, l'humanité est là, des gens au cerveau élaboré, capables de compter 10 plus 10 et j'en passe, ces gens sont capables de laisser derrière eux une occasion de jurons, de chaussures embourbées
the week is over, that means the weekend starts, the first weekend it does not mean much, because that is to say negative end, which end at the end of the week, but the end it is the beginning of something else, early on Saturday for example, Friday is the end, and just behind it is the beginning, but we do not know what is happening is the unknown, the start from scratch when it is all weeks, any ambition happens in five days, a lifetime runs from morning till night for specific days, not fancy, it is a military, it rises the morning to shave, tie, pale face, set, go for win, but Friday night it's over, over, two-day truce, before retirement, a water garden, an old woman who said at the table, the glory has passed, as the wind blew from the trees, off a career, a life sentence, the body is destroyed, and before the successive generations, each waiting for the battle of age, each s collapse in pain, the old password by hand, the sun goes down, but tomorrow will leave the living to conquer a mountain of ridiculous, which is paying the rent, pay taxes and still pay for it then we need work, happiness is also short moments
la semaine est finie, ça veut dire que le week end commence, d'abord le week end ça veut pas dire grand chose, parce que c'est négatif de dire fin, fin de quoi, fin de la semaine, mais la fin, c'est le début d'autre chose, le début du samedi par exemple, vendredi c'est la fin, et juste derrière c'est le début, mais on sait pas ce qui se passe, c'est l'inconnu, le début de rien, quand la semaine c'est tout, toute l'ambition se passe en cinq jours, une vie entière se déroule du matin au soir pendant des jours précis, pas de fantaisie, c'est un ordre militaire, on se lève le matin pour se raser, cravate, visage pâle, prêt, partez pour vaincre, mais le vendredi soir c'est fini, over, deux jours de trêve, avant la retraite, un jardin à arroser, une vieille femme qui dit à table, la gloire est passée, comme le vent a soufflé sur les arbres, une carrière éteinte, une vie dans la peine, le corps se détruit, et en avant, les générations se succèdent, chacune attendant l'âge d'en découdre, chacune s'effondrant dans la douleur, le vieux passe la main, le soleil se couche, mais demain les vivants partiront à l'assaut d'une montagne ridicule, qui est payer le loyer, payer les taxes, toujours payer, alors c'est pour ça qu'il faut travailler, le bonheur c'est ailleurs, des moments courts
in time, long ago, you could live without worrying about what was happening elsewhere, a quiet but selfish without knowing it, now you can know everything and can not say I did not know, questions which does not concern us but we know it is because of globalization, we know everything or almost nothing of our neighbor, but as long as it does not bother us, we have nothing to say, then those who live two thousand kilometers, what do they do, each in itself not enough time to organize projects, time goes so fast, we should still worry about the planet, but we find time , time to live it every second and we just talk about the earth in a thousand years say, I say break, it is noon, I'm hungry, is it going to change the world or rather is it that it will prevent certain to make money by talking about personal concerns, the common, the collective does not exist, everyone thinks about itself, what it has my mouth today, goes through, there is nothing, the planet, what, I walk on the ground, now, tomorrow, I am nothing, so after tomorrow, stories for children, Father Christmas, but the human is near the fall, his ambition, then the future
dans le temps, il y a longtemps, on pouvait vivre sans s'inquiéter de ce qui se passait ailleurs, une tranquillité égoïste mais sans le savoir, aujourd'hui on peut tout savoir et on ne peut plus dire je ne savais pas, des questions qui ne nous concernent pas mais qu'on connaît parce c'est la mondialisation,on sait tout ou presque rien de notre voisin, mais lui tant qu'il ne nous embête pas, on a rien à lui dire, alors ceux qui vivent à deux milles kilomètres, que veulent-ils faire, chacun chez soi, on n'a pas assez de temps pour organiser les projets, le temps passe tellement vite, il faudrait encore s'inquiéter de la planète, mais où on le trouve le temps, le temps de vivre c'est chaque seconde et on vient nous parler de la terre dans dis mille ans, je dis pause, il est midi, j'ai faim, est-ce que ça va changer la planète où plutôt est-ce que ça va empêcher certains de gagner de l'argent en parlant d'inquiétudes personnelles, le commun, le collectif, ça n'existe pas, chacun pense à soi, qu'est ce qu'elle a ma gueule aujourd'hui, tout va de travers, plus rien n'existe, la planète, quoi, je marche sur le sol, maintenant, demain, je suis, rien, alors après demain, des histoires pour les enfants, le père noël, mais l'humain est près de la chute, c'est son ambition, alors le futur
future, tell me if I fell by accident or if I express to miss, of course no answer, it does not surprise me, there is no magic mirror that could herald the unthinkable, so I n 't think so, hence I'm quiet, I awoke in the morning in bed at night, and then there's lunch, and many more hours pass, it is salvation, not bad today, but tomorrow , we do not know, must wait for us night in dreams, then we will tell you, it's time, the exact time, but soon she is wrong, turns your past, nostalgia for youth when pets are done without thinking of something else, now you must be serious, pay bills, drive the car, educate the child and that I was growing up in front of me, there is no exit, forward slowly following the arrows, green for the lawn, but when I'm ready, so close it becomes red, the blood of the mother, the father of good sense, it does not answer the question, who am I, alone, to live and die without a fight, a simple life, two balls that sink to the ground, it's not about climbing the walls, but behind it is the desire to leave, at any rate, like a rocket which is going nowhere, it was just for laughs
avenir, dis moi si je tombe par hasard ou si je fais exprès de passer à côté, bien sûr pas de réponse, ça ne m'étonne pas, il n'existe pas de miroir magique qui pourrait annoncer l'impensable, donc je n'y pense pas, du coup je vis tranquilement, en me réveillant le matin, en me couchant le soir, et puis il y a midi, et plein d'autres heures qui passent, salut ça va, pas mal aujourd'hui, mais demain, on sait pas, faut attendre que la nuit nous entraîne dans les rêves, ensuite on viendra te dire, c'est l'heure, l'heure exacte, mais bientôt elle est fausse, ton passé la transforme, nostalgie de la jeunesse quand on fait des pets sans penser à autre chose, maintenant il faut être sérieux, payer les factures, conduire la voiture, éduquer l'enfant que j'étais et celui qui grandit devant moi, il n'y a pas d'issue, avancer lentement en suivant les flèches, couleur verte pour le pré, mais quand je suis prêt, si près ça devient rouge, le sang de la mère, le bon sens du père, ça ne répond pas à la question, qui suis-je, moi tout seul, destiné à vivre et à mourir sans combattre, une vie simple, deux boules qui coulent sur le sol, pas de quoi monter aux rideaux, mais juste derrière c'est l'envie de partir, à tout allure, comme une fusée qui ne va nulle part, c'était juste pour rire
a day passes, two, three, one hundred, still nothing on the horizon, I am I wrong vision, yet expensive coat, I will return my jacket and see what happens, then I'll take the rest of noon, it's not much but it allows me to continue the struggle, a struggle that knows no limit, a violent melee, I am, you are, it is, we are, and so on until to the sea, the origin of the world, I water when thirsty, you drink in my glass, history does not say it and yet we knew that the nail would be pressed to disappear into the night, it ' is why I fled in the direction of the wind if possible, that my will not smell in my nose, the body stinks, it's not a reason to feel bad, but it's time for hope , balance air, land, anxiety, hoses, everything is flat, or full, depending on the position originally agreed between the parties, top departure, awaiting the imminent arrival of the winner, and yes, once again it is the life that wins, in nine months you can see his nose, then will grow through, it's not his fault he does not love, but it's not too late, as the there is life, there is life, close the door before leaving from behind and turn on the gas
une journée passe, deux, trois, cent, toujours rien à l'horizon, me serais-je tromper de vision, un manteau cher pourtant, je vais retourner ma veste et voir ce qui se passe, ensuite j'irai prendre le reste de midi, ce n'est pas grand chose mais ça me permet de continuer la lutte, un combat qui ne connaît pas de limite, un corps à corps violent, je suis, tu es, il est, nous sommes, et ainsi de suite jusqu'à la mer, origine du monde, eau quand j'ai soif, boirais-tu dans mon verre, l'histoire ne le dit pas et pourtant nous savions que le clou allait être enfoncé jusqu'à disparaitre dans la nuit, c'est pour ça que je fuis, dans le sens du vent si possible, pour que mon odeur ne vienne pas dans mon nez, le corps pue, c'est pas une raison pour sentir mauvais, mais c'est l'heure d'espérer, équilibre ciel, terre, angoisse, boyaux, tout est plat, ou plein, ça dépend de la position initialement convenue entre les parties, top départ, on attend l'arrivée imminente du vainqueur, et oui, encore une fois c'est la vie qui gagne, dans neuf mois on pourra voir son nez, ensuite on le verra grandir de travers, ce n'est pas de sa faute, il ne connaît pas l'amour, mais il n'est pas trop tard, tant qu'il y a de la vie, il y a de la vie, fermez la porte en sortant par derrière et allumez le gaz
is the only way to exist, a large move and go for a crazy adventure that is self-explanatory, a leap forward, two steps back, the left side is visible, what is the right, for unknown now, wait a second, removing the liver, kindly told me that after you could, but it is not enough, I could inspire you with passion, too bad I would do without it is quite convenient to have three drawers, it closes one without knowing what it inside, it is not serious in the vertical direction, you approach me, I know that the door is opposite the window, which way to go, I am tempted by the window, you can spend hours looking at the outside, like a cat that does not dull a whim from time to time, just to know it is here, where birds could not see the window that protects them, but that they are human considerations unable to stay more than five minutes without moving, we must do something, anything, for example, but it is already a bit, the legs want to cross, well, what are you doing here, I expect that moving, hello, see you soon, it's irritation, the body must move, as if he had traced the mechanism for fear it stops, it is complicated enough to fall asleep, then the day you move
c'est la seule façon d'exister, un grand coup et c'est parti pour une folle aventure qui se passe de commentaires, un bond en avant, deux en arrière, le côté gauche est visible, que fait le droit, inconnu pour le moment, attendre une seconde, enlever les foie, gentiment tu m'as dit qu'après on pourrait, mais ce n'est pas encore assez, ne puis-je t'inspirer la passion, tant pis je ferais sans, c'est assez commode d'avoir trois tiroirs, on en ferme un sans savoir ce qu'il y dedans, ce n'est pas grave dans le sens vertical, approchez vous de moi, je sais que la porte est en face de la fenêtre, de quel côté aller, je suis tenté par la fenêtre, on peut passer des heures à regarder à l'extérieur, comme un chat qui ne s'ennuie pas, un coup de tête de temps en temps, juste pour avertir qu'il est là, au cas où des oiseaux n'auraient pas vu que la fenêtre les protège, mais ça ce sont des considérations d'humain incapable de rester plus de cinq minutes sans bouger, il faut faire quelque chose, rien par exemple, mais c'est déjà un peu, les jambes veulent se croiser, tiens, qu'est ce que tu fais là, j'attends qu'il bouge, salut, à bientôt, c'est de l'énervement, le corps doit bouger, comme si il devait remonter le mécanisme, de peur qu'il s'arrête, c'est déjà assez compliqué de s'endormir, alors la journée on bouge
mardi 16 juin 2009
for now it will, but until the balance is unstable, a sudden movement, but it will not return to, where are the limits, they are there in the shadows, waiting to be crossed, so I will not ask what could reach me, it might happen, but right now I live life fully given to me, there is no price, it is a free gift, a hope of going in the right direction, but life offers breaks, you set your luggage for how long, a day or two miles, a life to go next, but what good god, where is passage lit with no shadow hateful, we must put a finger without knowing why, but should still try, it's part of the test, otherwise there was nothing in the end, always forward, with a perfect energy The human undertakes, he does everything in order, then qu'apparaissent shadows, underneath the apparent reality organize feedback, here's the result, cancer, contradictions, the dream of one side the life of another, in the middle is a body, he would fly to the clouds, but no, he must remain on earth, walk through the eyes skyward, but the body sticks to the ground, feet toward Mother Earth, the thought is turned towards the dream
pour l'instant ça ira, mais jusqu'à quand, l'équilibre est instable, un mouvement brusque, tout s'en va pour ne plus revenir, où sont les limites, elles sont là dans l'ombre, attendant d'être franchies, alors je vais sans me demander ce qui pourrait m'atteindre, ça arrivera peut-être, mais en ce moment je vis pleinement l'existence qui m'est donnée, il n'y a pas de prix, c'est un don gratuit, une espérance d'aller dans la bonne direction, mais la vie propose des pauses, tu poses tes bagages pour combien de temps, un jour ou deux milles, une vie à passer à côté, mais de quoi bon dieu, où est le passage éclairé, sans aucune ombre détestable, on doit mettre un doigt, sans savoir pourquoi, mais faut quand même essayer, ça fait partie de l'essai, autrement on a rien au bout, toujours de l'avant, avec une énergie parfaite, l'humain s'engage, il met tout en ordre, c'est alors qu'apparaissent les ombres, dessous l'apparente réalité s'organisent des réactions, voilà le résultat, un cancer, contradictions, le rêve d'un côté, la vie de l'autre, au milieu vit un corps, il voudrait voler jusqu'aux nuages, mais non, il doit rester sur la terre, marcher avec le regard vers le ciel, mais le corps colle au sol, les pieds vers la terre nourricière, la pensée est tournée vers le rêve
lundi 15 juin 2009
meaning is it good, do not I'm going against the direction, or a sign, but how the knowledge, the law tells me what I should do, but for example, a law to assist foreign irregular, it is forbidden to help a poor, should we disobey, we know that the law is the culmination of collective behavior, we are stronger, we represent the correct order, it is said that the order is bourgeois in the sense that it encourages what has the culture, those who have no access to such as these have the choice either to become an artist and live outside the world, to work earning some money , which fails to grow, yet we live in a democracy, our situation is not comparable to that of three quarters of the world, the rich are a handful deal with billions of poor people, but when we know to speak with intelligence can seduce the poor with promises to be rich, and it works for thousands of years, what has changed over time is the increase of the population had risen to 6 787 841 632 people, in 1700 only six hundred million and they are all dead, nothing we say about happiness accessible, there are many books on the subject, but no formula that would allow everyone to live intensely the present moment
le sens est-il bon, ne vais-je pas à contre sens, ou dans un sens interdit, mais comment le savoir, la loi me dit ce que je dois faire, mais par exemple, une loi interdit d'aider des étrangers en situation irrégulière, il est interdit d'aider un pauvre, faut-il désobéir, on sait que la loi est l'aboutissement d'un comportement collectif, nous sommes les plus forts, nous représentons le bon ordre, on dit aussi que l'ordre est bourgeois dans le sens qu'il favorise ce qui possèdent la culture, ceux qui n'ont pas accès à cet ordre ont le choix, soit de devenir artiste et vivre en dehors du monde, soit de travailler en gagnant peu d'argent, ce qui ne permet pas de se cultiver, et pourtant nous vivons dans une démocratie, notre situation n'est pas comparable à celle des trois quarts des pays du monde, les riches sont une poignée face aux milliards de pauvres, mais quand on sait parler avec intelligence on peut séduire les pauvres en leur promettant d'être riche, et ça marche depuis des milliers d'années, ce qui a changé avec le temps c'est l'augmentation de la population qui est passée à 6 787 841 632 personnes, en 1700, ils n'étaient que six cent millions et ils sont tous morts, sans rien nous dire sur le bonheur accessible, il y'a bien des livres sur le sujet, mais pas de formule qui permettrait à chaque être de vivre intensément l'instant présent
uncertainty grows darker without looking at what happens, I am sure, I ask myself and I ask the question, if I am, who am I, a thinking being is what distinguishes us from animals, the 'people think of him, much to eat, but not only, he can think of anything to make money, to put a letter in the mailbox, we think of lots of things and life goes without saying anything , she quietly slips next, caring before we kill him he did his time, they are billions of people who died on this earth, there is still billions of living, but for how long, life is so fragile, a land tremble, a crazy car, a swine fever, the body off, goodbye, to God, to remain alive and are very happy to have another buried themselves The king is dead long live the king, the principle of human renewal since the dawn of humanity, there is no missing link, since the Quaternary lemurs, reproduction but not the same Each generation brings the fire, the wheel, mp3, it did not exist before but it does not buy happiness either, what is the way to happiness
l'incertitude pousse à foncer sans regarder ce qui se passe, je suis certain, je me pose et je pose la question, si je suis, qui suis-je, un être pensant, c'est ce qui nous distingue des animaux, l'humain pense à lui, beaucoup à manger mais pas uniquement, il peut penser à rien, à gagner de l'argent, à mettre une lettre dans la boîte à lettre, on pense à des tas de choses et la vie passe sans rien dire, discrètement elle se glisse à côté, bienveillante avant de nous assassiner, il a fait son temps, ce sont des milliards de gens qui sont morts sur cette terre, il reste quand même des milliards de vivants, mais pour combien de temps, la vie est tellement fragile, une terre qui tremble, un voiture folle, une fièvre porcine, les corps s'éteignent, adieu, vers dieu, vers les vivants qui restent et qui sont bien content d'en avoir enterré un autre qu'eux-mêmes, le roi est mort vive le roi, c'est le principe des humains, renouvellement depuis l'aube de l'humanité, il n'y a pas de chaînon manquant, depuis les lémuriens du quaternaire, reproduction mais pas à l'identique, chaque génération apporte son lot, le feu, la roue, le mp3, ça n'existait pas avant mais ça n'apporte pas le bonheur non plus, quel est donc le chemin du bonheur
in a case of force majeure how to keep his life in order, how to fight against the pace of its boulverser specifically held for years, no preparing for the arrival of the improbable, not staged the break, one is probably driven by a harmony usual frustration and pent, happiness is built on the dry sand, it does not know that the wave is coming, not any, the wave that carries everything in its path, although stronger than the waves every day, it comes from afar, some call it destiny that comes from the depths of time, one might predict what will happen by looking far into the past, but the problem is that even a telescope can not see the source of my being, it can dive deep into the cosmos in search of stars that send old light millions of years, but the device can not get to the heart of my being, a place wonderful that is not on X-rays, a mysterious place that allows humans to live, in fact without the soul, how could we love or even to travel to reach the loved one, it takes a great effort to moving a body in the right direction, then we can stand up and sing
dans un cas de force majeure comment garder sa vie en ordre, comment lutter contre le boulversement de son rythme précisément établi depuis des années, aucun dispositif pour préparer la venue de l'improbable, pas de mise en scène de la rupture, on se laisse guidé par une vraissemblable harmonie faîte d'habitude et de frustration refoulée, le bonheur est construit sur du sable sec, on ne veut pas savoir que la vague va venir, pas n'importe laquelle, la vague qui emporte tout sur son passage, bien plus forte que les vagues de tous les jours, elle vient de loin, certains appellent ça destinée qui vient du fond des âges, pourrait-on prévoir ce qui va se passer en regardant loin dans le passé, mais le problème est que même un télescope ne peut voir l'origine de mon être, il peut plonger très loin dans le cosmos à la recherche des étoiles qui envoient une lumière vieille de millions d'années, mais l'appareil ne peut pas aller au coeur de mon être, un lieu merveilleux qui ne se voit pas sur les radiographies, un lieu mystérieux qui permet aux humains de vivre, en effet sans l'âme, comment pourrait-on aimer ou même se déplacer pour rejoindre l'être aimé, il faut une grande énergie pour faire bouger un corps dans la bonne direction, alors on peut se mettre debout et chanter
Traduction : français » anglais
should come in the area spend most of the activities, it also loses his time, do not listen to those who claim to possess the truth, the only thing that really exists on earth is going in the right place at the right time, where is the place to find it at every moment, it is somewhere in his subconscious, how to get him to renounce the desire to leave, collect most of his life so that the bag is empty, you know, the bag of trouble, it grinds black, regret, remorse, on the vacuum bag itself to be capable of the worst and the best, here we are in the balance, not penalty up to the curtain, the exercise is not dangerous, it is simply to focus at ground level, there is happy, the others are away, all those who are hurting and even those who are well, nobody comes to disturb the order, everything is in order, luxury, calm and voluptuousness, now more than a precious diamond, be yourself fully in the middle of the stars in motion, the human being never stopped breathing, then it's time to leave, go with others, regulate the relations between oneself and the world, waiting for a statement, pass through here, find a way to keep everything in memory, I went thereby
should come in the area spend most of the activities, it also loses his time, do not listen to those who claim to possess the truth, the only thing that really exists on earth is going in the right place at the right time, where is the place to find it at every moment, it is somewhere in his subconscious, how to get him to renounce the desire to leave, collect most of his life so that the bag is empty, you know, the bag of trouble, it grinds black, regret, remorse, on the vacuum bag itself to be capable of the worst and the best, here we are in the balance, not penalty up to the curtain, the exercise is not dangerous, it is simply to focus at ground level, there is happy, the others are away, all those who are hurting and even those who are well, nobody comes to disturb the order, everything is in order, luxury, calm and voluptuousness, now more than a precious diamond, be yourself fully in the middle of the stars in motion, the human being never stopped breathing, then it's time to leave, go with others, regulate the relations between oneself and the world, waiting for a statement, pass through here, find a way to keep everything in memory, I went thereby
il faudrait venir dans la zone où se passe l'essentiel des activités, ailleurs on perd son temps, n'écoutez pas ceux qui prétendent détenir la vérité, la seule chose qui existe vraiment sur terre c'est d'aller au bon endroit et au bon moment, où se trouve ce lieu qu'il faut trouver à chaque instant, il est quelque part dans son inconscient, comment aller jusqu'à lui, renoncer à l'envie de partir, rassembler l'essentiel de sa vie pour que le sac soit vide, vous savez, le sac des ennuis, on y broie du noir, les regrets, les remords, on vide le sac pour être soi, capable du pire et du meilleur, là on est dans l'équilibre, pas la peine de monter au rideau, l'exercice n'est pas périlleux, il s'agit simplement de se recentrer au niveau du sol, l'existence devient heureuse, les autres sont loin, tous ceux qui font du mal et même ceux qui font du bien, plus personne ne vient déranger l'ordre, tout est en ordre, luxe, calme, volupté, l'instant précieux plus cher qu'un diamant, être soi en plénitude, au milieu des astres en mouvement, l'être humain respire sans jamais s'arrêter, alors c'est le moment de partir, retourner avec les autres, régler les rapports entre soi et le monde, attendre une déclaration, passer par ici, trouver un chemin, garder tout en mémoire, je suis passé par là
in each season is a lot of wonder for many to see it have to open your eyes, breathe well, put his feet in position 10 hours 10, an opening to space being anchored on earth, the balance between the unknown and certainly a body that moves in all directions to meet the fate, a set of elements that do not elect, already the place of birth, our host family, the time, language spoken, and then throughout life, unforeseen events, minor accidents or deaths in a second everything stops, the heart beats more, brain inert fall to the ground, or it's just a cut in handling scissors, nothing important, life goes on until the next problem, it is impossible to anticipate, what to do, accept what happens to the body is not involved in actions of anger which take into dangerous areas, alert at all levels, maximum stress, risk of heart failure, for what a storm in a glass of water, life is all ahead, as the proverb said, no one wins the race, we must start to point, and then be in a simple passage of time, it is time, good hours
dans chaque saison existe une énorme quantité de splendeurs, pour bien les voir il faut ouvrir les yeux, bien respirer, placer ses pieds en position 10 heures 10, une ouverture vers l'espace en étant ancré sur terre, c'est le juste équilibre entre l'inconnu et le certain, un corps qui se déplace dans toutes les directions à la rencontre du destin, un ensemble d'éléments qu'on ne choisit pas, déjà l'endroit de la naissance, la famille qui nous accueille, l'époque, la langue parlée, et puis tout le long de la vie, des rencontres imprévues, des accidents légers ou mortels, en une seconde tout s'arrête, le coeur ne bât plus, cerveau inerte, chute vers le sol, ou alors c'est juste une coupure en manipulant des ciseaux, rien d'important, la vie continue jusqu'au prochain problème, il est impossible d'anticiper,que faire alors, accepter ce qui arrive pour que le corps ne soit pas mobilisé dans des actions de colère qui l'emmènent dans des zones dangereuses, alerte à tous les niveaux, stress maximum, risque de rupture cardiaque, tout ça pour quoi, un tempête dans un verre d'eau, la vie avance voilà tout, comme le proverbe le dit, nul ne sert de courir, il faut partir à point, et ensuite être dans un rythme du temps simple, il est l'heure, à la bonne heure
vendredi 12 juin 2009
ask all for forgiveness, we are all responsible, innocent hands full, then we will leave singing and crushing worms, humans destroyed is his vocation, he needs to live in empty space around to the nature disappears, the bodies are placed next to each other, no fancy, the order is passed, it must obey the law of life, the bodies are in the water, fishing is completed, a miraculous catch, all the fishermen at the same time arriving at the door, a bundle of broken destinies, I could, to the next, I had to I would be following more than two cents, it will be long, usually it is more fluid, thousands of cancer completed, the road accident victims in the morgue, fatal falls, they come one after the other, happy to have finished the quest for the impossible be happy with a body unhappy over the body, release, more than vein bursting, most cancer cells, more than tempted to remove her dress, nothing is paradise, eternal rest, so why go through life, planque could stay there all the time, but at once we must plunge into the world, there remain a second hundred years as appropriate, and return with all forget, we rediscover as if was the first time
demandons ensemble pardon, nous sommes tous responsables, les innocents aux mains pleines, ensuite on repartira en chantant et en écrasant les vers de terre, l'humain détruit, c'est sa vocation, il a besoin pour vivre de vider l'espace autour de lui, la nature disparait, les corps sont rangés les uns à côté des autres, aucune fantaisie, l'ordre est passé, il faut obéir, c'est la loi de la vie, les corps sont dans l'eau, la pêche est terminée, une pêche miraculeuse, tous ces pêcheurs en même temps arrivant à la porte, un paquet de destins brisés, j'aurais pu, au suivant, j'aurai dû, au suivant je serais, plus de deux cents, ça va être long, d'habitude c'est plus fluide, des milliers de cancers terminés, des accidentés de la route à la morgue, des chutes mortelles, il arrivent les uns après les autres, heureux d'avoir fini la quête de l'impossible, être heureux avec un corps malheureux, plus de corps, libération, plus de veine qui éclate, plus de cellules cancéreuses, plus de tentation de lui enlever sa robe, plus rien, c'est le paradis, le repos éternel, alors pourquoi passer par la vie, on pourrait rester planqué là tout le temps, mais d'un seul coup il faut se jeter dans le monde, y rester de une seconde à cent ans selon les cas, et revenir en ayant tout oublier, on redécouvre tout comme si c'était la première fois
in twenty years I'm like that, then it does not matter, I just want a lens with two balls because I'm a little anxious, it seems that it does not change, but how to be safe, if I take chocolate rather than 'with pistachio on the moment it is not bad, but as the passage narrowed, it becomes obvious that it only happens once, then it becomes easier, there's more than 'storage disorder, a star, then it will handle billions awaiting their turn, it does not bother me, I have all my time, I do not even know what that means, most of which already , global vision, I am finally free of the anxieties of life, I'm loved, for risky chance balanced in the crowd, one among others, and vas-y que je te pousse, the other taking the Instead, I must fight to keep my own feelings rid the floor, neat place to receive the body, good morning, good evening, comedy acts, patience, everything is in disorder, standing, sitting, woman, man, gathering it collective play, the goalkeeper said, it is where we should go, the net is full of fish, it is a miracle, hallelujah,
dans vingt ans je suis comme ça, alors ça ne fait rien, je veux simplement une glace avec deux boules car je suis un peu angoissé, il paraît que ça ne change rien, mais comment en être sûr, si je prends au chocolat plutôt qu'à la pistache, sur le moment ce n'est pas grave mais au fur et à mesure que le passage se rétrécie, il devient évident que ça ne se produit qu'une fois, ensuite ça devient plus facile, y'a plus qu'à ranger le désordre, une étoile, ensuite il faudra s'occuper des milliards qui attendent leur tour, ça ne me dérange pas, j'ai tout mon temps, je ne sais même plus ce que ça veut dire, plus de quoi déjà, vision globale, je suis, enfin débarrassé des angoisses de l'existence, suis-je aimé, destinée hasardeuse, chance balancée dans la foule, un parmi d'autres, et vas-y que je te pousse, les autres prennent de la place, je dois lutter pour garder la mienne, les sentiments débarrassent le plancher, place nette pour recevoir des corps, bonjour, bonsoir, comédie en plusieurs actes, patience tout arrive dans le désordre, debout, assis, femme, homme, rassemblement, on joue collectif, gardien de but affirmé, c'est par là qu'il faut passer, le filet est plein de poissons, c'est un miracle, alléluia,
mardi 9 juin 2009
Why am I not able at all, how many it takes effort to get where I want, exactly nowhere in the infinite ecstasy to think of nothing more than memories, no project, as water that flows wondered where it comes from and where it goes, of course people smarter than me will say to move forward we need to know you are coming, I know where I come from and it do not tell me much about where I go, then I say, no, I am what I am now, without and with whatever we want, happiness, frustration, boredom, passion, wonderful moment not I see you again in eternity, all these moments must be stored somewhere, perhaps not very far in the brain to the left of the entrance or in the feet right out, the weight of life huge weighs nothing in the head, just the opposite in the stomach that rounded like a tree, cut it in half, we would see the round, Youth milk in adulthood with sauerkraut and spirits, and as the tree falls in a storm, man collapses like a house of cards, it was the beautiful building, it does nothing or just a word, he was still a little How say you tightening me a glass of wine, and yes life forget what lived, dust
pour quoi ne suis je pas capable tout court, il faut combien d'effort pour arriver là où je veux, exactement nulle part, dans l'extase infinie de ne penser à rien, plus de souvenir, pas de projet, comme une eau qui coule sans se demande d'où elle vient et où elle va, bien sûr des gens plus intelligents que moi vont dire pour aller de l'avant il faut savoir d'où on vient, moi je le sais d'où je viens et ça ne me dit pas grand chose sur l'endroit où je vais, alors moi je dis, non, je suis ce que je suis maintenant, sans et avec tout ce qu'on veut, joie, frustration, ennui, passion, instant merveilleux ne te reverrais-je que dans l'éternité, tous ces moments vécus doivent être stockés quelque part, peut-être pas très loin, dans le cerveau à gauche de l'entrée ou dans les pieds à droite en sortant, ce poids de la vie énorme ne pèse rien dans la tête, c'est tout le contraire dans l'estomac qui s'arrondit comme un arbre, on le couperait en deux, on verrait les ronds, de la jeunesse au lait à l'âge adulte à la choucroute et aux alcools, et comme l'arbre tombe dans une tempête, l'humain s'écroule comme un château de carte, il était beau l'édifice, il n'en reste rien ou simplement un mot, il était quand même un peu, comment dire, tu me ressers un verre de vin, et oui la vie oublie vite ce qui ont vécu, poussière
lundi 8 juin 2009
in a few years we can say we are not in 2009, a year mundane, what can it tell us more or less than 2008, yet it is a year more from scratch, this absolute away each year and at the same time brings us closer to the end, it is programmed, one day, it takes the sun explodes, people disappear, end of act one, we had said that one day the sky is falling on the head, but a mixture of selfishness, boredom, with a fatality gesture will make you enculer has always since the beginning of humanity back to the passage love in real time, it does more tomorrow when the sun explodes, we are doing today, but that is exactly the love that is nice, but with anyone who is well annoying, I did not anticipate reluctance as heavy as the sun died tomorrow, the human can not change his mind even in the worst threat, he preferred to come to see if it would be better, but better when c It is now that I breathe, not in ten years, every second selfishly took my breath its survival, then the sun, I tape, anyway my girlfriend is a party on the moon, well away in an underground base, fueled by a source of energy just before discovering that scientists have declared the end of the game is at the heart of the moon that burns a little sun that helps to grow vegetables in reverse while on earth the night will halt crops and cause famine, on the moon they can live hidden, never more than Moonlight since the sun is dead
dans quelques années on pourra se dire, nous ne sommes plus en 2009, une année banale, que peut-elle nous dire de plus ou de moins que 2008, et pourtant c'est une année en plus à partir de zéro, cet absolu qui s'éloigne d'année en année et en même temps nous rapproche de la fin, c'est programmé, un jour, il faut un, le soleil explose, les humains disparaissent, fin de l'acte un, on nous l'avaient bien dit qu'un jour le ciel nous tomberait sur la tête, mais un mélange d'égoïsme, d'ennui, de fatalité avec un geste de va te faire enculer, a toujours depuis le début de l'humanité fait reculer le passage vers l'amour en temps réel, on ne remet plus à demain quand le soleil explose, on le fait aujourd'hui, mais que fait on exactement, l'amour c'est bien gentil, mais avec n'importe qui, voilà qui bien embêtant, je n'avais pas prévu des réticences aussi lourdes alors que le soleil meurt demain, l'humain ne peut pas changer son esprit même sous la pire menace, il préfère voir venir au cas ou ce serait mieux, mais mieux quand, c'est maintenant que je respire, pas dans dix ans, à chaque seconde mon souffle prend égoïstement sa part de survie, alors le soleil, je m'en tape, de toute façon ma copine est partie sur la lune, bien à l'abri dans une base souterraine, alimentée par une source d'énergie découverte juste avant que les scientifiques ont déclaré la fin de la partie, c'est au coeur de lune que brûle un petit soleil qui permet de faire pousser des légumes à l'envers, pendant que sur la terre la nuit va stopper net les cultures et provoquer des famines, sur la lune ils pourront vivre cachés, sans jamais plus de clair de lune puisque le soleil sera mort
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