when is it now
jeudi 27 août 2009
le soir vient pour éteindre les lumières, on n'y voit plus rien, quand le soleil brille on voit tous les détails, la nuit enveloppe sans mettre de timbre, on voyage gratuitement, les rêves deviennent des cauchemars, on y perd ses repères, la vie se dilue dans des liquides verts, qui sont ces serpents qui sifflent, ce sont des animaux, les hommes sont plus loin, à moins que ce soit le contraire, les homme ne sont pas des femmes et l'escalier court devant moi, je ne vais pas par là, la vie m'emporte dans la mauvaise direction, je rame à contre courant, mais je ne suis pas assez fort pour dépasser la vague, je dois rester précis, c'est le détail qui compte, le regard est perçant, il voit tout qui compte double, le regard c'est pour voir, pour vérifier, il en reste trois, je les ai vus, j'en suis sûr, cependant l'émotion fausse le raisonnement, l'amour emporte la raison au loin, il aime, ils s'aiment, ça veut dire un homme et une femme ou deux hommes, elles s'aiment, ça ne peut être que deux femmes, une femme ne vaut pas un homme, même deux femmes ne valent pas un homme, ils comme une île ou des ailes emportent l'amour, une aile et une cuisse, faut que ça glisse, jusqu'en haut, c'est pour ça qu'on se marrie, l'espérance sans concession, la passion sans une ride
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