when is it now
lundi 8 février 2010
dans la montée précise de l'envie se place l'angoisse de partir dans une mauvaise direction, il fallait passe par là, mais j'ai eu un mauvais pressentiment, j'ai vu des rochers tomber par terre, j'aurais pu éviter le plus gros mais je ne pus comprendre que le vrai était aussi petit, comment admettre que le principal soit toujours à chercher dans le caniveau, l'eau coule en silence, elle sait tout mais ne dit rien, les humains c'est le contraire, ils parlent de ce qu'ils ne connaissent pas pour bien présenter, mais le vide est grossier, il ne cherche rien, ne veut rien, il attend, mais il ne se passe rien, tout est passé par là, il ne reste rien, pas le moindre animal de compagnie, juste un ruisseau qui descend d'une montagne, pour ne rien rater de tout ce qui va suivre, je me suis équipé d'une nouvelle antenne ventrale qui me communique en temps réel tout ce que je peux savoir de quoi déjà, j'au oublié ce que je cherchais, peut-être le bonheur, je le cherche depuis longtemps et j'ai l'impression de le trouver maintenant, tout de suite, sans attendre, il est trop tard il est parti, je continue dans quelle direction, par c'est la montagne, c'est par là qu'il faut aller, escalader la montagne pour aller voir de l'autre côté, qu'y a-t-il de l'autre côté, l'autre côté, c'est tout, non, ce n'est pas tout, le petit rien c'est moi qui regarde de l'autre côté,
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