when is it now

mercredi 28 août 2013

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what I miss is a chance to move quickly to get somewhere, but until I get ready, I spend time doing nothing, because doing something away from reality because when you do, something is changed and every time we must rebuild an acceptable reality, so when we do nothing, we hope nothing, nothing is lost and time away from me, it does not concern me if I was smart, I could convince others to give me money, which would allow me to live without having to think for difficult months when money is short, but hope it's free, so I spend my time hope one day will come when I will have plenty of money, it is like that, why complicate things, when I have plenty of money I will help the poor by creating a support company, as was the time of communism, there was no poor, but we had to shout, long live the Pope, which made ​​her laugh, but hey, it's all finished since the fall of the Berlin Wall, now c 'is freedom, and there are many poor, right to be free, it is no longer necessary to shout, you can talk to anyone you want, you can choose your friends, but sometimes it's hard to be alone, forgotten by all the comrades who were well positioned before against the dictatorship, but when the republic happens all jumps in the air and what's falls, the individual
ce qui me manque c'est une chance de passer rapidement pour arriver quelque part, mais en attendant je me prépare, je passe du temps en ne faisant rien, car faire quelque chose éloigne de la réalité car quand on fait, on change quelque chose et à chaque fois qu'on fait il faut reconstruire une réalité acceptable, donc quand on ne fait rien, on espère rien, on ne perd rien et le temps passe loin de moi, ça ne me concerne pas, si j'étais intelligent, je pourrais convaincre les autres de me donner de l'argent, ce qui me permettrait de vivre sans avoir à penser aux fins de mois difficiles, quand l'argent manque, mais l'espérance c'est gratuit, donc je passe mon temps à espérer, un jour viendra où j'aurai plein d'argent, c'est comme ça, pourquoi se compliquer la vie, quand j'aurai plein d'argent j'aiderai les pauvres en créant une entreprise d'aide, comme on faisait du temps du communisme, il n'y avait pas de pauvres, mais on était obligé de crier, vive le Pape, ce qui faisait rire, mais bon, tout ça c'est fini depuis la chute du mur de Berlin, maintenant c'est la liberté, et il y a beaucoup de pauvres, c'est ça être  libre, on n'est plus obligé de crier, on peut parler à qui on veut, on peut choisir ses amis, mais quelques fois c'est dur d'être seul, oublié de tous les camarades qui avant étaient solidement positionnés contre la dictature, mais quand la république arrive tout saute en l'air et qu'est ce qui retombe, l'individu
one last effort and I get where I am, it's been weeks since I lose, I expect somewhere, I go, and then suddenly I say, it's Saturday, quickly, I hurry, I do not run, what I like most is live now, as it is right now it goes up, and yes, when I was younger I thought that everything happened unintentionally, but one day it was a Tuesday evening, around 17 hours, I passed the window of a china shop, my eyes went on cups, bowls, colors, know-how, to cook, it's work, and here, right here, in front of this store, I knew that God exists and after I ate pasta with cheese, cheese straight from the Swiss Alps, which is why for years I went to meet the types of first, second, and even third from the left, one day I will see all those who love me a fragile love, taking the realism and altitude when I'm on top of a life possible, but when it is ready, it counts a lot, you should always pay attention to the work that awaits in the shadows, waiting for the foot that will twist
un dernier effort et j'arrive où je suis, ça fait des semaines que je me perds, j'attends quelque part, je passe, et puis tout à coup je me dis, c'est samedi, vite, je me dépêche, je ne cours pas, ce que j'aime le plus c'est vivre maintenant, car c'est tout de suite que ça monte, et oui, quand j'étais plus jeune je croyais que tout arrivait sans le vouloir, mais un jour, c'était un mardi soir, vers 17 heures, je passais devant la vitrine d'un magasin de porcelaines, mon regard passait sur les tasses, les bols, les couleurs, le savoir faire, pour cuire, c'est du travail, et là, juste ici, devant ce magasin, je sus que Dieu existe et après j'ai mangé des pâtes avec du gruyère, un fromage venant tout droit des Alpes Suisses, voilà pourquoi depuis des années je suis parti à la rencontre des types, du premier, du second, et même du troisième en partant de la gauche, un jour j'irai voir tout ceux qui m'aiment d'un amour fragile, tenant au réalisme et à l'altitude, quand je serai en haut d'une vie possible, mais quand on est prêt, ça compte énormément, on devrait toujours faire attention à la marche qui attend dans l'ombre, elle attend le pied qui va se tordre
time is long, long time that I saw, and for a while I wonder why it came a day before I was going smoothly, I just lived from morning to night, but one day I woke up and I wondered why I live, since that day I seek an answer, I looked everywhere in my head in my arms, in my sex in my feet, I can not find anything, it's empty, I spend by this, I see that, I do not run, I like to walk in the streets, it allows me to spend time and especially to avoid thinking, because when you walk long one enters a trance that makes me spend the solid to the liquid state, my body forgets me, I become a link between heaven and earth, everything stops except the feet forward to a simple rhythm, I just need to streets, a once I'm sure of course, I always do the same, I do not like adventure, I need to reassure myself by always seeing the same thing, which is obviously not what I want, I expect nothing, because if I'm still in the same place that is to say, I was there yesterday already, so I'll be there tomorrow to see what happens in my head I have a technical, I go somewhere, I wait until I'm in the right place and there I take for someone, then
I continue to be sure to follow me, the problem of life is that we do not know where the key anchor as quickly passes to side, which is why people lose hope, so still to be always near the center of envy first, which has existed for millions of years, that does not change despite the technical, computers, and each time is always the same
le temps est long, ça fait longtemps que je vis, et depuis un certain temps je me demande pourquoi, c'est venu un jour, avant je vivais sans problème, je vivais simplement du matin au soir, mais un jour je me suis réveillé et je me suis demandé pourquoi je vis, depuis ce jour je cherche une réponse, je cherche partout, dans ma tête, dans mes bras, dans mon sexe, dans mes pieds, je ne trouve rien, c'est le vide, je passe par là, je vois ça, je ne cours pas, j'aime marcher dans les rues, ça me permet de passer du temps et surtout d'éviter de penser, car quand on marche longtemps on entre dans une transe qui me fait passer de l'état solide à l'état liquide, mon corps m'oublie, je deviens un lien entre  le ciel et la terre, tout s'arrête sauf les pieds qui avancent à un rythme simple, j'ai juste besoin de rues, une fois que je suis sûr du parcours, je fais toujours le même, je n'aime pas l'aventure, j'ai besoin de me rassurer en voyant toujours la même chose, qui n'est évidement pas ce que j'attends, je n'attends rien, car si je suis toujours au même endroit c'est pour me dire, j'y étais déjà hier, et donc j'y serai demain, pour savoir ce qui se passe dans ma tête j'ai une technique, je passe quelque part, j'attends que je sois au bon endroit et là je me prend pour quelqu'un, ensuite
je continue pour être sûr de me suivre, le problème de la vie c'est qu'on ne sait pas où se trouve l'ancrage essentiel, car rapidement on passe à côté, ce qui explique pourquoi les gens perdent l'espoir, donc pour être quand même toujours à peu près au centre de l'envie première, celle qui existe depuis des millions d'années, celle qui ne change pas malgré la technique, les ordinateurs et chaque passage est toujours le même
it was only a moment, it was brief, it was what happened and then we say that all is well, whenever it can go far, but it stops to figure out what it is j 'trying to get up early and start to believe that the former is always before the second because there is always a way of thinking that takes into account the history and geography, for example, it is somewhere but we do not know not where, if we start looking is that luck is not far, watch your step, this is not the time to fall, the road is long, we must prepare as if we had the used to take shortcuts but is now long it lasts, it lasts, how to always go to the same place, a place that likes a smooth transition, something tells facilemnt, this has got to be somewhere but before taking a hot chocolate I remember that I did five years, things change, your body changes and tomorrow we can store all it's good because then the store is clean, while c 'was dirty for weeks, if I wash my feet, then I can say that they are clean and then it will do something
ce ne fut qu'un instant, ce fut bref, ce fut ce qui se passa et puis on se dit que tout va bien, à chaque fois ça peut aller loin, mais ça s'arrête pour comprendre ce ce que c'est j'essaye de me lever tôt et de recommencer à croire que le premier est toujours avant le second car depuis toujours il existe une façon de penser qui prend en compte l'histoire et la géographie, par exemple il est quelque part, mais on ne sait pas où, si on commence  à chercher c'est que la chance n'est pas loin, attention à la marche, ce n'est pas le moment de tomber, la route est longue, il faut se préparer, comme si on avait l'habitude de prendre des raccourcis mais maintenant est long, ça dure, ça dure, comment faire pour aller toujours au même endroit, un lieu qui plait, un passage en douceur, quelque chose qui se raconte facilemnt, ça doit bien se trouver quelque part, mais avant de prendre un chocolat chaud je me rappelle que je n'ai plus cinq ans, ça change, le corps change et demain on pourra tout ranger, ça fait du bien de ranger car ensuite c'est propre, alors que c'était sale depuis des semaines, si je me lave les pieds, je pourrai ensuite me dire qu'ils sont propres et ensuite ça pourra faire quelque chose

vendredi 23 août 2013

if I had seen this before, but before that, I do not know what it is, then I see nothing, I am now, it starts, it stops, like a curious phenomenon quickly a grass flies, I'm looking, it goes away and comes back, I catch, I hold in my arms, she breathes, she lives, she is mine, I l 'like this shepherdess keep my sheep, as if here we can go and see what happens, what to do when you have the chance to see the woman you love is a feeling that goes beyond the way, there remains place, everything is white, great wisdom, a slight madness, we're both for long and long memories can not be canceled, every step counts, we started this is underway, c 'is beautiful, it's like a slow boat leaves the harbor, but soon the waves unleashed must bring the sails, you can expect the weather, it will come back, for sure, until I clench dens, I do not like when it is agitated, it moves my stomach, I prefer the land, it does not move, waiting for the storm that does not come here, he should go further in the plains of Arkansas, in France it is too small, it's small villages, curvy roads, fields of wheat, this is my country, I did not choose, I will go one day also I do not know, we need to find, choose, what you do not choose is obvious, I like to unload my luggage back home, vacation is far habits, I'm here
si j'avais vu ça avant, mais avant quoi, je ne sais pas,qu'est ce que c'est, après quoi,je ne vois rien, je suis maintenant, ça commence, ça s'arrête, tiens un phénomène curieux, rapidement une herbe s'envole, je la suis du regard, elle s'en va loin, puis elle revient, je l'attrape, je la tiens dans mes bras, elle respire, elle vit, elle est à moi, je l'aime cette bergère qui garde mes moutons, car si ici on peut aller voir ce qui se passe, que faire quand on a la chance de voir celle qu'on aime, c'est un sentiment qui déborde le chemin, il ne reste plus de place, tout est blanc, une grande sagesse, une folie légère, nous sommes tous les deux, pour longtemps et dans longtemps le souvenir ne pourra pas être annulé, chaque pas compte, on a commencé, c'est en cours, c'est beau, c'est lent comme un bateau quitte le port, mais bientôt les flots se déchaînent, il faut ramener les voiles, on attend le beau temps, il va revenir, c'est sûr, en attendant je serre les dens, je n'aime pas quand c'est agité, ça me remue l'estomac, je préfère la terre ferme, elle ne bouge pas, elle attend la tempête qui ne vient pas par ici, il faudrait aller plus loin, dans les plaines de l'Arkansas, en France c'est trop petit, tout est petit, les villages, les routes sineuses, les champs de blé, c'est mon pays, je ne l'ai pas choisi, irai-je un jour ailleurs, je ne sais pas, il faut trouver, il faut choisir, ce qu'on ne choisit pas est évident,  j'aime décharger mes bagages pour rentrer chez moi, les vacances c'est loin des habitudes, je suis là

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if I'm careful what remains there choices that are not closed, I step to the source, I am in possession of all my conscience, that I do I do it with strength, believing in the possibility of go somewhere, I always take the same path, I know all the turns, all the windows but not all people who are never the same, I live in Paris, and as in all big cities, there person knows, it is a freedom that I like, so I'll have more time to see in depth, it is true that in modern life it goes faster and faster, they make fun of the seasons, but when it rains it wet, so I dried in a dry place, then it stopped raining, so I can continue my journey, even if it can go, I feel I'm missing something, I do not know not exactly what I seek to rule that seems too obvious, the real choices are deeply located in the heart of man, so I have to go in search of the missing one day is white, one day again, will suspend the time for a cold beer, a small amount of imagination in the middle of the terrible anguish and despotic, slightly I continue to not have to face the beast, she roars in me, but suddenly everything goes well I do not think about what worries me, everything is beautiful, life is great, it changes everything quickly, once, a thousand times, and always with the same ease,
si je fais attention que reste-t-il des choix qui ne sont pas fermé, je fais un pas vers la source, je suis en possession des tous ma conscience, ce que je fais je le fais avec force, croyant dans la possibilité d'aller quelque part, je prends toujours le même chemin, j'en connais tous les virages, toutes les fenêtres mais pas tous les gens qui ne sont jamais les mêmes, je vis à Paris, et comme dans toutes les grandes villes, on ne connait personne, c'est une liberté que j'apprécie, j'aurai donc du passer plus de temps pour voir en profondeur, il est vrai que dans la vie moderne on va de plus en plus vite, on se moque des saisons, mais quand il pleut ça mouille,  alors je sèche dans un endroit sec, ensuite il ne pleut plus, alors je peux continuer ma route, même si ça peut aller, j'ai l'impression qu'il me manque quelque chose, je ne sais pas quoi exactement, je cherche pour écarter ce qui me paraît trop évident, les vrais choix sont profondément installés au coeur de l'humain, je dois donc partir à la recherche du manque, un jour  c'est blanc, un jour, encore, de quoi suspendre le temps d'une bière fraîche, une petite quantité de fantaisie au milieu de l'angoisse atroce et despotique, légèrement je continue pour ne pas avoir à affronter la bête, elle rugit en moi, mais tout à coup tout va bien, je ne pense plus à ce qui m'inquiète, tout est beau, la vie est formidable, elle change tout rapidement, une fois, mille fois, et toujours avec la même facilité, 
believe it is possible and the path lights, it's great to pursue a dream, it never reaches and yet it is there in front of me, waiting for me tends to seize arms, and immediately made meter, still further, higher and higher, life happens and I pray not get anything, it's a way of being, I can not be satisfied with what I am, I need to believe in a strength of a weakness in contrast to the human who always sees the harder to avoid falling into the loss of usernames, one day maybe, and yes, it can happen, but before you continue this madness I think it is reasonable to expect wisely days I have left to live, white years, dark nights, it is a long program that requires maintenance, you do not become what we are without worrying about the bulk calmly to address the first choice, one that allows us to take what it takes to go away until the next intersection, at least if this is possible with certainty that the good, because before arriving at the location, you must first go to, it can be long, but when you notice it, what a shock, I was very far from the goal and I not know, a lifetime digging in the wrong direction, I spent hours, but is it really for nothing, I do not believe, how to be safe because of the wrong way, who can say, today is modern, unlike the closed and unjust past, today shines a new light and free, everything is possible, thanks to the Internet that allows you to release the censors, who ruled the people before the good culture, today it's over, we do what we want, farewell censors allowed to say that an author is too long, too short, or that passage is boring, it must rework, today joined the prehistoric period where humans then created, painted in caves without having to locate in a particular post-modern movement, is now free and I'm glad to live in this time
croire que c'est possible et le chemin s'éclaire, c'est formidable de poursuivre un rêve, on ne l'atteint jamais et pourtant il est là devant moi, attendant que je tende les bras pour le saisir, et aussitôt il fait un mètre, toujours plus loin, toujours plus haut, la vie passe et je prie pour ne rien obtenir, c'est une façon d'être, je ne peux me contenter de ce que je suis, j'ai besoin de croire dans une force d'une grande faiblesse à l'opposé de l'humain qui se voit toujours le plus fort pour éviter de sombrer dans la perte des identifiants, un jour peut-être, et oui, ça peut toujours arriver, mais avant de continuer dans cette folie je pense qu'il est raisonnable de compter sagement les jours qui me restent à vivre,  des années blanches, des nuits noires, c'est un programme long qui demande de l'entretien, on ne devient pas ce qu'on est sans se préoccuper de l'essentiel pour aborder calmement le choix premier, celui qui nous permet de prendre ce qu'il faut pour aller loin, jusqu'au prochain carrefour, au moins si c'est possible avec la certitude que c'est le bon, car avant d'arriver à l'endroit, il faut d'abord aller à l'envers, ça peut être long, mais quand on s'en aperçoit, quel choc, j'étais donc très loin du but et je ne le savais pas, toute une vie à creuser dans le mauvais sens, j'en ai passé des heures, mais est-ce vraiment pour rien, je ne crois pas, car comment être sûr de se tromper de sens, qui peut le dire, aujourd'hui c'est la modernité, contrairement au passé fermé et injuste, aujourd'hui brille d'un feu nouveau et libre, tout est possible, notamment grâce à internet qui permet de se libérer des censeurs, ce gens avant qui gouvernaient la bonne culture, aujourd'hui c'est fini, on fait ce qu'on veut, adieu les censeurs qui se permettaient de dire à un auteur, c'est trop long, c'est trop court, ou tel passage est ennuyeux, il faut le retravailler, aujourd'hui rejoint la période préhistorique où les humains d'alors créaient, peignaient dans les grottes sans avoir à se positionner dans tel ou tel mouvement post moderne, aujourd'hui est libre et je suis bien content de vivre dans cette époque
the pressure increases, there is nothing before the youth is crushed under the weight of old age, the body forgets what he was, bodies are tired, we do not understand anything, everything goes wrong, and then day is the end of trouble, fortunately life ends in a hole, it is so bad in life, nothing happens, no one advances, the year end, beginning, but they are not repeated, every day destroys the previous experience warns us of the danger we have ever met, but innocence never gives up and it is with a certain ease that even the old sink in the apreciation error c is comic and tragic at the same time, it's not the passing of time away from that weakness, every day is a danger, it is necessary to pay attention to what we do, what others are doing in the life can not live simply because then the vultures arrive and remove the lamb for the lead in a terrible life, so be a little smart, look wisely, recognize fake, liars, otherwise it is they who we put on the ground without the possibility of back, damn it for years, life goes fast, it is important to live to ensure trouble
la pression augmente, il ne reste rien d'avant, la jeunesse est écrasée sous le poids de la vieillesse, le corps oublie ce qu'il était, les organes sont fatigués, on ne comprend plus rien, tout va mal, et puis un jour c'est la fin des ennuis, heureusement que la vie se termine dans un trou, on est tellement mal dans la vie, rien ne se passe, on avance pas, les années se terminent, commencent, mais elles ne se répètent pas, chaque jour détruit le précédent, l'expérience nous prévient du danger que nous avons déjà rencontré, mais l'innocence ne renonce jamais et c'est avec une certaine facilité que même des vieux s'enfoncent dans l'erreur d'apréciation, c'est comique et tragique en même temps, ce n'est pas le temps qui passe qui éloigne de la faiblesse, chaque jour est un danger, il faut faire attention à  ce qu'on fait, à ce que font les autres, dans la vie on ne peut pas vivre simplement, car alors des vautours arrivent et enlèvent l'agneau pour le conduire dans une vie atroce, il faut donc être un peu malin, regarder avec discernement, reconnaître les faux, les menteurs, autrement ce sont eux qui nous mettent par terre sans possibilité de remonter, c'est foutu pour des années, la vie passe vite, il est important de bien vivre pour se garantir des soucis 
can you see what is wrong but before crossing the limit I want to take some time back to understand that the time has come, we waited a long time to wonder if I could ever reach this place mythical, I walked for days and days to see me that the path is already legendary, there is no place for or against, it's just a transition from one place to another and then just start walking right, a desire after another, I chose a path that corresponds to the acceleration of my particles, once I jumped, I am sure of myself, one two three, I go and I come in trying to think deep down where bathes the first existence, this body of knowledge long lost waiting for the awakening of the human heart in one day, one and all switches in anything, everything we built is fragile, it rises to a certain point which is the highest possible, it goes smoothly without knowing until it is plummeting to the créatioin a new world this is how you can always ask for something, for those who do not ask will not see the clowns of life, every day I know what to do, then tomorrow what's going on, I do not know, life is mysterious, it is argued in the dark and suddenly a light appears, the signal of the end
peut-on voir ce qui ne va pas mais avant de franchir cette limite je voudrai prendre un temps de recul pour bien comprendre que le moment est venu, nous l'attendions depuis longtemps jusqu'à se demander si je pouvais un jour atteindre cet endroit mythique, j'ai marché des jours et des jours pour m'apercevoir que le chemin est déjà mythique, il n'y a pas d'endroit pour ou contre, il y a juste un passage d'un endroit à l'autre
et ensuite on commence simplement à marcher droit, un envie après l'autre, je choisis un chemin qui correspond à l'accélération de mes particules, aussitôt je bondis, je suis sûr de moi, un deux trois, je vais et je viens en essayant de penser au plus profond de moi, là où baigne l'existence première,  cette somme de connaissances perdues depuis longtemps qui attendent le réveil au coeur de l'humain, un jour, un seul et tout bascule dans le n'importe quoi, tout ce qu'on construit est fragile, il monte jusqu'à un certain point qui est le plus haut des possibilités, on passe sans problème sans savoir qu'après c'est la chute vertigineuse jusqu'à la créatioin d'un nouvel univers, c'est comme ça qu'on  peut toujours demander quelque chose, car ceux qui ne demandent pas ne pourront pas voir les clowns de la vie, tous les jours je sais quoi faire, alors demain que se passe-t-il, je n'en sais rien, la vie est mystérieuse, on avance dans le noir et tout à coup une lumière apparait, c'est le signal de la fin

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jeudi 22 août 2013

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this passage is open, it's good, I was ready for something one day is good, but two days ago the night between the two, it is more complicated, we need to organize a book hotel prende two days of holidays and especially the risk of not finding what we want, because the more you live the more you look for something specific, a situation that exactly meets the desire to spend time in the hope that it can go, because it is not sure, once installed, it is able to unfold her napkin well as given the current knowledge and enthusiasm for plastic cards, I'll think up every moment is important, it goes too fast, it's already Thursday, I look behind me, all these dead shall rise again, and that I continue to breathe as if nothing had happened and more attention must be paid to all there is so much misery that everyone can and lie and do not believe that luck can come into effect if you count the number of people who have tried to dig deeper only to find that the surface is flat and second before the three and even four, I account by one for the simple reason that I do not want to take my head from a mile, when it is too far we can not count, we expect it to end
 ce passage est ouvert, ça tombe bien, j'étais prêt de quelque chose, un jour c'est bien, mais deux jours, il y a la nuit entre les deux, c'est plus compliqué, il faut s'organiser, réserver un hôtel, prende deux jours de vacances et surtout risquer de ne pas trouver ce qu'on cherche, car plus on vit plus on cherche quelque chose de précis, une situation qui répond exactement à l'envie de passer un moment, en espérant que ça puisse aller, car il n'est pas sûr, une fois installé, qu'on soit capable de bien déplier sa serviette, car étant donné les connaissances actuelles et l'engouement pour les cartes en plastiques, j'irai jusqu'à penser que chaque moment est important, ça passe trop vite, on  est déjà jeudi,  je regarde derrière moi, tous ces morts qui ne se relèveront plus, et moi qui continue à respirer comme si de rien était et en plus il faut faire attention à tout, il y a tellement de misère que tout le monde peut mentir et et ne plus croire que la chance peut venir, en effet si on compte le nombre de personnes qui ont essayé de creuser plus profond pour s'apercevoir finalement que la surface est plate, et deuxièmement avant le trois et même le quatre, je compte de un en un pour la simple raison que je ne veux pas me prendre la tête à compter par mille, quand c'est trop loin on ne compte plus, on attend que ça finisse
long ago I think the first day it was a surprise, how I can understand with my thoughts, I can analyze situations to try to pass through the midst of uncertainty, while it was in the distance parents an opportunity to believe in his destiny, something simple, morning, afternoon, evening, morning, afternoon, evening, morning, afternoon aprpès the evening for a week and I start as if it was new, that's what's really amazing, the human is able to move by erasing his tracks except of course those who remain, the memories of yesterday when the sun is yellow and the earth is brown, days bathed inconsistency and yet it has nothing to do with before because then we can always try to catch up but how when one is unable to understand in which direction we are going, it takes time see what is seen as the habit of believing what we see, ie one puts everything but the truth, pieces of experience, the risky choice, passion for chicken tarragon and around noon the appetite returns, it comes and it goes, every day, no interruptions, a stream coming down from the mountain and arrived in the valley without having had time to change because what is known is always accompanied by a moment of satisfaction, as being what is possible, how to see the opening that is not larger than a good in a swimsuit, what chance to see it a stranger who takes the train, accompanied baggage and finally a love story for the chocolate dessert in the room when I start to sing, for this or that, it depends on the time when I'm glad I think only of myself, and when I am in a state approaching the precipice to calculate the distance, but before continuing I would like to pause
il y a très longtemps que je pense, le premier jour ce fut une surprise, comment, je peux comprendre avec mes pensées, je peux analyser les situations pour essayer de passer au milieu des incertitudes, tout ça fut dans la grande distance des parents une possibilité de croire à son destin, quelque chose de simple, le matin, l'après-midi, le soir, le matin, l'après-midi, le soir, le matin, l'aprpès-midi, le soir pendant une semaine et je recommence comme si c'était nouveau, c'est ça qui est vraiment incroyable, l'humain est capable d'avancer en effaçant ses traces sauf évidemment celles qui restent, les souvenirs d'hier quand le soleil est jaune et la terre est marron, des jours baignés d'inconsistance et pour le moment ça n'a rien à voir avec avant car après on peut toujours essayer de se rattraper mais comment faire quand on est incapable de comprendre dans quel sens on va, ça prend du temps de voir ce qui est vu, car l'habitude est de croire ce qu'on voit, c'est à dire qu'on y met tout sauf de la vérité, des morceaux de vécu, des choix hasardeux, de la passion pour le poulet à l'estragon et vers midi l'appétit qui revient, ça revient et ça part, tous les jours, pas d'interruption, un flot qui descend de la montagne et arrive dans la vallée sans avoir eu le temps de se changer, car ce qui est connu est toujours accompagné d'un moment de satisfaction, car étant ce qui est possible, comment s'apercevoir de l'ouverture qui n'est pas plus grande qu'une belle en maillot de bain, quelle chance de voir ça, une inconnue qui prend le train, des bagages accompagnés et pour finir une histoire d'amour en chocolat pour le dessert quand dans la chambre je me mets à chanter, pour ceci ou pour cela, ça dépend du moment, quand je suis heureux je ne pense qu'à moi, et quand je suis dans l'état qui s'approche du précipice sans pouvoir calculer la distance, mais avant de continuer j'aimerai faire une pause