when is it now
vendredi 23 août 2013
si je fais attention que reste-t-il des choix qui ne sont pas fermé, je fais un pas vers la source, je suis en possession des tous ma conscience, ce que je fais je le fais avec force, croyant dans la possibilité d'aller quelque part, je prends toujours le même chemin, j'en connais tous les virages, toutes les fenêtres mais pas tous les gens qui ne sont jamais les mêmes, je vis à Paris, et comme dans toutes les grandes villes, on ne connait personne, c'est une liberté que j'apprécie, j'aurai donc du passer plus de temps pour voir en profondeur, il est vrai que dans la vie moderne on va de plus en plus vite, on se moque des saisons, mais quand il pleut ça mouille, alors je sèche dans un endroit sec, ensuite il ne pleut plus, alors je peux continuer ma route, même si ça peut aller, j'ai l'impression qu'il me manque quelque chose, je ne sais pas quoi exactement, je cherche pour écarter ce qui me paraît trop évident, les vrais choix sont profondément installés au coeur de l'humain, je dois donc partir à la recherche du manque, un jour c'est blanc, un jour, encore, de quoi suspendre le temps d'une bière fraîche, une petite quantité de fantaisie au milieu de l'angoisse atroce et despotique, légèrement je continue pour ne pas avoir à affronter la bête, elle rugit en moi, mais tout à coup tout va bien, je ne pense plus à ce qui m'inquiète, tout est beau, la vie est formidable, elle change tout rapidement, une fois, mille fois, et toujours avec la même facilité,
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire