je dois être sûr pour savoir

je dois être sûr pour savoir ce que c'est, un environnement agréable dans une zone de perdition, mais je crois dans l'espérance, ça me fait du bien, pour être toujours en disposition, ne jamais fermer sur des inquiétudes, tout est libre, il faut simplement y croire, c'est une question de laisser aller, quand tout est dans la maison, il faut savoir se positionner, tout est là, pas question de faire autrement car une seule fois je pense, l'autre fois je fais, et quand je peux être aux commandes, j'essaye de ne pas faire autrement que ce qui est possible, c'est un élan, une gloire fanée, des instants de trouble, et puis comme toujours la chance qui s'en va, je n'ai pas eu le temps de lui parler, comment pourrais-je faire pour qu'elle reste plus longtemps, suis-je capable de prendre ce qu'il faut pour que tout soit bien ensemble, c'est un effort à faire quand j'étais un enfant je ne pensais pas à savoir ce que j'allais faire, je faisais les choses, aujourd'hui le temps a pris des rides, il est temps de mesurer ce qui me reste de forces, car après le calme vient la tempête, c'est de ma faute, je suis au plus haut des moyens, mais avant de voir ce qui se passe, je prends du temps à me prendre pour quelqu'un puisque je ne suis personne, c'est un entraînement quand le jour viendra où je pourrais m'assoir en me disant, ça y est, j'y suis, j'y reste, mais comment faire pour y arriver, je n'en sais rien, tout est bleu, il est encore trop tôt pour que soit le plus dans le changement vers une situation différente, pour la première fois c'et permis, mais depuis combien de temps suis-je capable de voir que tout est dans une pas lente, c'est trop vite, pas le moment, pas le temps, pas même ça, mais surtout, le même jour, une fois, c'est que ça peut faire du mais dans deux doigts dort dort d'or, voilà que ça coince, je fais le maximum pour que tout soit dans le parcours sans mettre tout pour le soir, car dans chaque océan le bleu profond est du sage pour la paix, quand donc faire le pic de la transe, quand il s'agit de parler rapidement sans penser et un jour je suis dans le passage, c'est un vent fort, il faut que je me tienne à la barrière, mais voilà que je suis en haut, comment redescendre, ça ne peut pas être facile, il faut savoir ce qui est possible, ensuite je croise mes jambes pour que tout soit pareil