un jour c'est fini

un jour c'est fini, l'espérance tombe à plat, le battement s'arrête on est seul comme celui qui fait attention en descendant l'escalier, il sait bien que la vitesse est bonne pour s'écraser et peut-être ne pas faire des crêpes, mais comme le saucisson manque je ne fais pas de remarques, je sais pourtant que ça brûle quelque part et que les pompiers font sauter le steak en attendant que ça pleuve, mais voilà que tout est libre, il y a des mois, des gens, de la fourrure, des asticots, de la mer qui attend le signal pour monter, au deuxième il y a une famille qui va bientôt mourir, le père va devenir fou et tuer tout le monde, ainsi la terre tourne au lieu de rester et prendre une glace, mais pour la première fois je sens monter le doute, et si tout ça était vrai, moi qui croyait que le faux était la règle, les relations reposent sur le vide, il n'y a rien d'autre, tout est contenu dans le haut, alors pour le faire mieux vaut mettre des grosses chaussures, car là-haut c'est pentu, il n'y a pas de plateau, c'est un couteau pointu, pour que soit piqué les gerçures, dans le moyen le plus adapté, quand ça fait mal mais que pour la tresse c'est compliqué, ça tourne jusqu'au moment où ça s'arrête, mais là je dois faire une pause, je sais que je pourrai le faire une autre fois, j'ai du temps, mais ça c'est ce que je pense, alors que la vie a un autre emploi du temps, qui n'est pas toujours aussi précis que l'album rouge des Beatles, mais ça on ne sait pas pourquoi c'est à Liverpool que ça doit commencer, qu'est ce qui se passe au niveau des espérances, c'est continu, c'est stable, ça parte régulièrement, pour que tout soit envoyé dans un univers accepté, que je pense pouvoir adapté à mon envie de partir au nom de dieu dans une mission sur la terre