dans un choix unique

dans un choix unique ce qui compte c'est le moment de faire un oubli quand la mer monte et que dans l'escalier qui mène à la plus haute station il y a un chat mort, alors pour être dans le même ensemble que ça compte un genre de maison alsacienne qui ne peut avoir la même apparence qu'un toit en pente, ce qui non seulement ce qui fait semblant pour être fait à l'image de dieu mais quand on prend par la droite on voit ce qui continue dans la chose supérieure mais tout est fait pour être dedans un cercle fermé, alors que ça change à chaque heure mais quand c'est une chose faite depuis longtemps je comprends que ça mette de l'ardeur à faire des trous, ce qui se passe alors c'est une façon bien faite de rendre la parole, quand c'est une petite maison, mais tout ce qui se passe dans le dehors c'est une lutte infernale pour que ça monte tout droit, et quand c'est mercredi on voit une lumière nouvelle, quand je passe au plus loin, c'est un passage précis au milieu de la peur, quand on est fait pour savoir, ce qui se passe en général, mais de la même attitude j'attends un passage, que ça fait un temple dans le même sens que le temps que ça fait longtemps après le premier mort, quand on est content est que dans l'ensemble qui rigole une joie présente aussi longtemps que la vie me présentera la pause, que ça monte ou que ça fonce tout droit, pour ça c'est croire, une limite dans la joie, que c'est près ou monte, dans un tas de croix, que ça chante le matin ou dans la baignoire et que ça fasse plaisir mais ce qui est contre alors que tout était prévu, c'est le genre de chose que je mets en premier car ce qui est passé c'est la nostalgie qui s'en occupe est quand je passe tout près c'est pour avoir l'occasion de perdre l'équilibre, mais pour que ça choisisse la salade, c'est un fait inoubliable dans la gare centrale, mais ce qui est transmis à l'heure présente que ce qui fait un toit, un mur droit pour avoir faim, que ça présente bien ou alors dans la prison de haute sécurité, un moment actuel, ce que ça fait un drôle de parti qui est plus enviable que le sable mouillé et pour cette raison je fais toujours attention à mon dos, ce qui est plus attirant que de mettre tout son espoir dans un manteau en laine, mais ce qui se passe le plus souvent c'est un mont aussi rond que celui auquel je pense et quand c'est le moment de faire un feu, je vois alors s'élever vers le ciel les nom oubliés, et quand ça choisit un marteau, je cherche dans ma chemise ce qui pourrait aller contre le fer