when is it now
mardi 10 mars 2015
toujours un peu mais aussi
toujours un peu mais aussi dans l'espoir de remporter le triomphe un mois de plus en attendant que ça se passe plus en plus sachant mettre le bon aussi bien que le moment actuel dans un couloir en bas sur la côte en face de l'hôtel qui ne peut plus ouvrir la porte au quotidien pour que ça fasse un parcours béant de béatitude en fonction des moyens mis en place ce que ça fait dans chaque pas qui sont poids mais ça c'est une habitude que je crains comme la peste en fois plus que ça mais tout est fait alors que dans chaque mise en plis, ce mât qui prend de l'allure fait semblant de faire planer le doute, en plus de comprendre ce que je dis il faut bien avoir la confiance des autres pour avoir le plaisir de perdre de la présence, ce qui fait du bien quand tout arrive en même temps je fais attention à ne pas avoir pris par hasard un néant plus grand que d'habitude et alors que tout est placé en tête je me met à voir ce qui est facile, c'est une évidence, tout est mis de côté, il faut une pelle pour appeler tout de suite la carotte, mais dans une maison vide, je vois l'intérêt de mettre autre chose ce qui correspond à ce que je fais chaque jour dans l'espoir qu'un jour je sois pris au courant de la chose qui ne peut pas toujours avoir ce qu'on veut tout de suite, ce qui est décalé pour que ça laisse passer le plus simple mais en même temps le plus abordable ce qui correspond à ce que j'attends dans les pieds qui ne peuvent plus se mettre à avoir tout ce qu'on met d'habitude à la prise en terre, quand c'est rond et que sur les bords on voit apparaître un nouveau mois de mai, mais toujours en l'air on ne peut toujours pas avoir une vision pleine, alors que dans un temps facile je fais une attention particulière à tout ce qui va suivre, ce qui est pris au détriment de l'avenue des acacias, une fleur des tropiques sans pique et sans plaque, mais aussi dans un sens qui est fort, ce qui veut annoncer à tout le monde que ça change mais en fait dans une flaque c'est toujours plus que dans un placard plein de soupirs, en présence d'un drôle d'oiseau ce qui me permet de faire un pont entre le nouveau sens de devant en absence de plaisir ce qui n'est pas anormal dans ce manque total de poire pour le dessert et une mise en pleine ce mètre avant tout le reste pour que sachant faire ça je me cantonne à dire toujours la même chose, ce qui me permet de faire attention au faux, ce qui est le plus méprisable, dans le sens de faire ça en dépensant tout ce qu'on sait être le plus intelligent pour que ça monte jusqu'au point le plus éloigné de la figure précise en étant tout de même éteint à tous les étages ce qui fait plus que mettre tout en forme que la prime pour les accidents domestiques, en faisant attention au problème avant que ça devienne un façon de faire ça en pensant à autre chose et quand c'est fini, un point c'est tout et c'est par ici que ça me met au point le plus faible, dans cette question qui place des bombes de papier gras en face d'un présent toujours plus bavard que celui qui faisait tout le temps la pluie et le beau temps ce qui n'est pas pour tout le monde mais avant de le faire je fais attention à ne pas déborder sur les bords, ce qui me permet de centrer le centre et de faire avancer l'ensemble pour ressembler à ce que qui se passe toujours quand on va trop vite, et pour que ça coïncide avec le geste, un moyen de comprendre les espaces vides, pour que tout de suite dans un mois ou alors dans deux mois, ou alors dans quelques temps une respiration essentielle, qui ne passe plus par là, mais tout est fait dans le silence enfin décidé
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