autrefois il y avait des lions

autrefois il y avait des lions qui affichaient complet mais depuis que tous les trottoirs son fait en dur il ne faut pas confondre le sang et du chocolat fondu, dans le propre qui fonce quand on l'allume et quand c'est l'heure de franchir l'espace qui me sépare de toi, je fais un gros effort et je passe par là, c'est une auberge où je m'arrête pour faire face à moi-même dans l'espoir d'y trouver un ressort qui me permette de choisir le bon trésor qui ne peut pas se faire sans avoir au préalable découvert le passage secret qui mène à demain et comme c'est utile de faire ça en dehors de la présence des autres passants, je fais ça rapidement au pied de la statue du commandeur et comme il est l'heure que ça sonne je suis prêt à croire que maintenant c'est faible, donc pour prendre le changement qui s'impose dans la suite qui tire l'oignon dans la pâte, il faut ensuite mélanger le reste avec l'huile qui est là depuis cinquante ans, comme ça au moment de verser la sauce sur la chaude, une petite goutte tombe à côté et tout de suite après l'impression domine tout pour avoir une chance de mettre le tapis dans la douche mais quand je passe dans le couloir il faut que je regarde le tableau qui représente un ange qui boit du vin ça aussi c'est pour que ça donne le temps, mais vite il faut que je me dépêche, l'heure passe et je dois être retourné à Paris avant que la tortue ne soit arrivé à prendre sa caisse de bordeaux ce qui ne m'étonne pas car avant de penser que tout ce qui fait une peinture bleue n'est pas aussi misérable que le pauvre minuteur qui ne change pas de couleur quand on lui dit de tourner dans le bon sens et pour savoir ce que ça fait je me renseigne auprès d'un vendeur, je lui demande comment on fait pour arroser les plantes, alors pour savoir que c'est maintenant que ça change, il est important de se placer au centre d'un monument en mémoire de la paix qui dure depuis soixante dix ans puis dans un carrefour ouvert sur la campagne, je dois avoir l'impression que c'est là que je tourne, dans l'espoir de croire que dans cinq minutes je verrai la maison que je cherche depuis des années car il faut bien dire des choses pour avoir le prix de vente, ce qui vient en premier pour avoir la certitude de faire ça en étant capable de croire que tout reste visible, même si on est plusieurs à vouloir le même ressort, ce qui cherche un trou peut être mis dans la côte, comme ça au moment d'avoir faim, ou pourra demander au cuisinier qui était avant dans un restaurant au bord de mer, pourquoi c'est plus qu'avant et alors pour ne pas être considéré comme un perdant, il faut dire d'abord que c'est ça qui est venu voir le malade, alors pour être sûr de bien l'allonger pour ne pas avoir à faire un exemple trop à la merci des attaques pour savoir que tout est tombé un jour de juin alors pour comprendre le commissaire je fais un dessin pour bien montrer que si moi je fais ça c'est pour avoir une mise en demeure de payer, et là pour ça mais aussi pour le reste qui prend feu, je fais une trouée dans le sapin et j'attends de l'autre côté que ça soit la liberté qui l'emporte, car comment faire quand la dictature impose de penser jaune ce qui me gène car pour mois la réalité commence au vert et peut finir dans le bleu, mais ça dépend des autres plaisirs qui n'ont pas de place pour être considérés comme permanent alors pour devoir faire un geste d'apaisement il faut se mettre en étant de dire que si on considère tout pour la première décision il n'en faut pas tout de même tout rendre au niveau inférieur mais avoir la chance de croiser un autre spectateur qui cherche un moyen de sortir sans se faire remarquer