when is it now
mercredi 30 janvier 2013
il y a toujours une issue à condition de ne pas être allé tropr loin dans la connerie, car dans la vie il y en a des conneries à faire, manger trop, boire trop, voir trop de filles nues, voir trop de rêves, être trop grand, avoir trop d'argent, il y a toujours un trop quelque part, alors comment faire pour rester au juste milieu, il faut se mettre en retrait quelque part et passer du temps à réfléchir au temps qui passe, le cerveau se vide, on ne retient que l'essentiel pour savourer le moment sans angoisse, il fait beau, il pleut, il neige, il verglasse, il tombe des chiens, ils reviennent, ils prennent leur temps, ça ne fait rien, je suis prêt à m'engager dans une voie nouvelle d'espérance et de légèreté, ça me fait du bien, et plus j'y pense plus je le fais, c'est un entraînement pour que le cerveau se dégage des impressions mauvaises, tout au fond il y a toujours une place pour le bonheur, il suffit d'aller la chercher et on recommence un tour, c'est plaisant, des moments comme ça, ça permet de se dire que ça vaut le coup de vivre, des années, des jours, des croyances, des doutes, des joies et pour finir un trou, joyeux, c'est fou, c'est merveilleux, c'est incompréhensible, c'est noir, c'est blanc, le soir, le matin, le sens, le monde de la nuit, les gens heureux, les couettes chaudes, le sommeil lourd, et les jours qui passent sans s'arrêter pour dire bonjour, pas le temps, il y a tant de choses à faire et sans perdre une minuter, j'avance dans une direction, il faut choisir, ce n'est pas simple même si ça correspond à une direction globale, un projet qui prend tout son temps, c'est la vie qui avance à un rythme d'escargot, des heures et des heures pour ne rien faire, c'est fatiguant, je vais aller me coucher
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