when is it now
jeudi 1 août 2013
un de plus rien comme avant
un de plus, rien comme avant, toujours vers l'avant et dans tous les coins connus, le passage dans la forêt, le chemin qui descend jusqu'au tournant vers la ville, c'est une connaissance qui passe de l'un à l'autre, sans jamais avouer la plus petite faute, car ici c'est une joie simple pour voir ce qui se passe dans la possibilité d'étendre le moment dans une certaine croyance, si j'avais toujours eu la tentation de voir ce qui se passe dans tous mes compartiments, mais comment être sûr d'avancer dans la bonne direction, ce que je sais c'est qu'en faisant attention on peut compléter l'ensemble des choix qui mènent plus loin, une réalité simple, debout, assis, prendre, laisser, croire à la paix et attendre patiemment que le moment soit choisi, chaque seconde est lourde de sagesse, je dois toujours partir et revenir, un rond, un triangle, ça coince quelque part, comment faire pour s'en sortir, tout jeter à la poubelle, et recommencer à zéro, ensuite je ne comprends pas pourquoi il faut toujours expliquer ce qui se passe, si je dis oui, ce n'est pas pour aller à l'encontre d'une possible acceptation, c'est juste une façon d'être, plutôt que de dire non, je dis oui, ça me permet de me positionner en faveur des choix non choisis, une certaine justification des actes qui prend en compte un champ d'investigation, de l'ensemble durable en quelque sorte acceptable, sans jamais s'apercevoir qu'il est inutile de tout prendre en une fois, le temps est là pour avancer lentement
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