when is it now
lundi 28 octobre 2013
une sorte de clou qui perce le saut en largeur, pour avoir de la tenue, des curieux et de la forêt verte avec des dents pour hacher, et je suis encore en-dessous, ça ne peut pas être encore près, c'est dans un endroit qu'il faut atteindre, c'est une obligation que je me suis imposé, des anciens morts, des nouveaux parcours, un être qui pense, des gens inutiles, mais je dois faire quelque chose, ce qui compte c'est la passion pour le vin, mais, quand je ne bois pas, je n'y pense pas, je sais bien que je dois faire un bond, trois fois il a menti, une pierre qui annonce la construction d'un rêve, ça ne peut pas crier, j'attends que ça devienne dur, c'est un troisième sang, depuis cette coopération je sais qui est responsable, je ne l'ai pas vu, on m'a dit qu'il était possible qu'il vienne un jour, ça peut aller jusque là, car si c'était vrai je serai embêté, je suis seul, je ne fais pas de mal, je veux simplement essayer de comprendre le sens qui mène le troupeau, il y a bien une évidence quelque part, j'en suis sûr, même si la même est possible, est-ce souhaitable, je ne veux pas faire autre chose, je suis dans un coin, ça ne peut pas aller loin, ça pourrait changer, un jour, une heure, un choix nouveau, des possibles, du pour, si je dis oui, c'est pour toujours, ça veut dire oui, malgré le sens qui s'écrase, le poisson est dans le filet, bientôt on ajoutera du beurre, et quand il sera cuit, on le mangera pour continuer à vivre, ça peut faire sensation, dans la mesure où tout est gris, changement d'époque, perte d’innocence, un trou qui avance quoiqu'on fasse, des impressions de partir pour un pas de plus, quoi, comment, faire ce qui est fait, et on est dans un choix, c'est la vie, quoi, comment, un peu plus, un pas, tiens qui voilà, c'est une marque, un élan, sur un banc, une femme attend, est-ce moi qui fait, je ne savais pas, car il faut toujours être en avance, c'est comme ça qu'on est le plus capable de faire une chose et puis une autre, le temps passe, c'est bien, ça vient toujours un peu, alors j'ai confiance, en moi, en soi, en face d'une face, mais le non, encore une fois, cette fois c'est la bonne, pourquoi, parce que, ça ne compte pas, c'est bloqué depuis toujours, on peut toujours s'amuser à dire qu'il est l'heure,
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire