when is it now
samedi 26 octobre 2013
soif, pas soif, faim, faim, fable, fais, tu fais quoi, ça dépend, c'est samedi, c'est l'heure de faire, oui, je fais quelque chose, ça ne prend pas tout de suite, il faut lutter pour que le cercle de maison pleine soit atteint, ensuite on peut toujours aller plus loin et se consacrer à l'étude des armoires normandes en Allemagne, mais moi je suis d'accord avec eux, ça me passionne de faire ça, c'est bien depuis le début, j'étais assis sur un banc, je faisais attention à une troupe de gens qui restaient immobiles, et puis sans prévenir ils sont partis par la droite, j'ai eu à peine le temps de rire, car il s'est mis à pleurer sans raison, j'ai essayé de la calmer, ce n'était pas si grave, juste une minute ou deux et on pourrait parler d'autre chose, mais de toute façon je fais attention à la perte de mes choix, j'en garde toujours un à côté de moi pour être sûr de ne pas pouvoir le laisser dans une laiterie, car ce qu'on sait de l'aventure c'est qu'elle a commencé aussi loin que le Pérou, mais en descendant du bus je me suis rendu compte qu'il fallait vite rentrer à la maison, je m'attendais à ce que je faisais, un point précis au milieu d'un joie incomprise, car ce qui est émouvant c'est le moyen d'y arriver un pas après l'autre, des gens qu'on croise, de pardon, des actions, des foire de petits clients, mais dans la pleine lutte il faut ne pas avoir peur, c'est comme ça qu'on a de la chance qu'on attrape au sens premier avant de connaître le choix identique, une version nouvelle qui tire sa légitimité d'un obscur parcours inutilisé depuis plusieurs siècles, là je me reconnais, un style particulier qui évolue avec le temps de temps en temps pourtant partant mais retenu au dernier moment car il faut bien admettre que tout est vrai dans la baignoire, pour bien se savonner au sens de la mouvance secrète
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