when is it now
vendredi 29 novembre 2013
c'était comme la dernière fois, j'étais en train de regarder la route, quand sans que je sois inquiet d'une possible interprétation impossible à traduire, je fus rapidement certain de prendre le bon sens, celui que je choisis maintenant que mon père est mort depuis 23 ans, ainsi dans une réalité confortable, je me souviens de ces moments de l'enfance où nous jouions à des jeux d'enfant, tout le monde était content, mais cela fait des années et je ne suis plus sûr de moi, ce n'est pas que je l'étais avant, mais maintenant je me dis que c'est nouveau, donc que ça n'existait pas avant, et après vais-je connaître les tourments de l'âge vers une profondeur insatiable, mais que vais-je devenir, toujours aux aguets, ne arrêt, dans une boîte que j'aurais mis tout en haut des choix involontaire, aurais-je dû faire attention, mais à quoi, je ne sais toujours pas pourquoi je suis arrivé là, ne voulant plus faire comme avant, cherchant je ne sais quelle clé qui ouvrirait une porte de je ne sais quelle fantaisie, bref, c'est la foire des sentiments, hier tout était normal, bien géré, en phase avec la simplicité, mais depuis une heure je passe de l'un à l'autre, de moi à eux, de loi à poids sans pouvoir m'arrêter de perdre du poids, vers une satisfaction de changer de rythme, mais avant de faire ça je suis obligé de prendre du train pour aller faire un tour en Allemagne, le pays qui sort d'une période sombre est un pays qui veut s'en sortir alors qu'en France, victime des nazis et de leur barbarie, nous nous contentons d'être ce que nous sommes, voilà pourquoi je me sens allemand, j'ai envie de sortir, de rencontrer, de forcer mon destin
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