when is it now
samedi 30 novembre 2013
on était deux on était mieux pour affronter ce que le monde nous délivrait le matin blême, c'est une chose merveilleuse que de savoir vivre avec elle, je n'aurais pas su en faire autant sans son lilas, mais quand je, vais là-bas, c'est pour elle, sans savoir, car ce qu'on fait c'est en silence, de peur d'avoir mal au tibia, la même chose, qui revient au même temps, dans la pente, à midi, dans le moment qu'on voudrait voir, le menton bien en haut pour le saisir, mais voilà qu'un bateau revient de l'ancre si tôt, mais je ne suis pas sûr, de ce que je veux dire, c'est comme si un lent paysage de Bretagne me faisait voir le vrai côté, quand j'aurai le temps de prendre le moment et de lui dire que je suis d'accord pour faire un peu de tricot, mais la venue est importante, ça compte comme si on avait le choix, alors que le pays paye, un doute survient, il faut fuir, ou alors rester, ça ne peut pas tout le temps changer, car dans le temps il y a un moment que je connais pour que ça ne recommence pas, c'est un passage particulier, des gens parlent, il y a du bruit et tout à coup le loup avance, il choisit le plus faible et c'est fini, le menteur, il avait dit, on est tranquille, mais dans le peuple il y a urgence toutes ces colères n'ont qu'un seul but, elle sont la cause, de tant d'erreur, quand c'est la chance de perdre un peu de son placard, mais la sauce blanche est encore là alors faut la sortir, la sagesse, de partir quand c'est encore le temps de passer outre, mais du moment que ça peut lire, on est tranquille pour un peu de temps, faudrait pas tant me faire mourir, car le croissant est encore chaud, mais il ne peut pas se garantir, car tout est pris dans la volaille, la salope, elle m'a dit que je puais
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