n'y aurait-il qu'un espoir que je pourrai le vivre dans l'ensemble car je ne suis qu'un numéro, pour le savoir, appeler le silence, c'est comme ça, le moment est dans la table, c'est comme ça, on ne peut pas vivre sans parler, et de toutes parts il nous vient le passage, on est quand même là pour le voir, mais c'est non, il faut recommencer ça commence à bien faire, un peu de tout et on en fait des tonnes pour le montant, dans l'histoire, c'est une chance, un merveilleux au pied de la madone, pour essayer de vaincre un pas de plus pour la sortir un doigt, car dans ce cas on est parti un dans la soir pour ne pas être, ce qu'on ne peut grandir, on le laisse pour ne plus y penser, de temps en temps on y revient pour ne pas se pendre au premier bois, mais la mère a, de drôles de lois, quand j'étais jeune et que le vent poussait la porte, je me disais que c'était lourd, pour ne pas plaire, mais la venue est dans le monde un sas qui ne peut pas aller pour ne pas se faire de l'eau, dans la gène y a pas de plaisir, mais moi je sais que c'est tout ça, une sorte de merveille, enrobée de gâteaux, pour ne pas vendre ce qui qui tient dans la chambre, un joyeux dans la seine, ça fait tout de suite la lune, dans les champs de misère on était bien ensemble mais il a fallu faire le sentier, au delà duquel on avait soif, mais on n'avait pas pris de gourde, c'est la façon qu'on était lent, le passage, dans la neige, on était jeune, mais la venue était féconde, il a fait ce qu'il a pu
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