c'est une influence générale pour le bal, dans un sens principal pour la dalle, mais la venue est imminente pour la menthe, sauf que je sais que je tais, et pour la meilleur c'est l'heure, dans un passage si sage je fais un mot encore plus haut, pour savoir si ça poire de là de ci et pour la première fois une heure douce qui rebondit légèrement de là à autre part, dans l'inconnue partie de mon corps vivant encore pour quelques années, mais depuis ma jeunesse tout me change pour rester au même endroit, et je tourne, je vire, je me retourne, tout est pareil, tout est calme, même si de temps en temps je passe trop près, je me sens attiré par la foudre, qu'un jour soit le plus haut, et que je sois pris par la terreur de mourir, mais je me souhaite une vie douce jusqu'au dernier jour, ne voulant pas heurter un rocher qui m'entraîne au fond, là d'où je viens il y a des millions d'années, là ou je vais un jour que j'aurai de la chance de pouvoir faire ce que je veux, mais pour le moment je suis bloqué, c'est coincé quelque part, je cherche où ça peut s'arrêter, je ne vois rien c'est dans le noir, il me faudrait une lampe assez forte pour éclaire mon âme, que veut-elle, où est-elle, quel est le passage, faut-il que je sois comme ça ou bien comme ci, ce qu'il faut c'est faire, il n'y a pas d'autre issue car en faisant on tire sur le faisan, une bête qui vole jusqu'en Afrique pendant que moi je veux simplement avoir de quoi mettre dans mon assiette, j'en ai plus qu'assez des boîtes en fer qu'on trouve dans les supermarchés, moi j'aimerai faire comme avant, manger ce que je tue ou ce que je fais pousser, vivre en autonomie, sans électricité et sans eau, uniquement avec une rivière qui coule au milieu de la maison et des bougies nucléaires qui ne s'éteignent jamais mais peuvent occasionner des maladies osseuses ou bien des leucémies, c'est un problème de réglage, on ne fait pas assez attention aux risques, quand on est capable de faire ce qui est préférable on ne voit pas qu'on à côté d'une mort prochaine