when is it now

lundi 3 mars 2014

l'autre j'étais en train de faire

l'autre jour j'étais en train de faire ce que j'aime le plus au monde quand je suis au courant d'eau dans le tumulte des passions enterrées car depuis des années je ne vis plus, je rêve qu'un jour on me dise que c'est là alors pour le moment je suis toujours à côté, sans pouvoir faire exactement ce que je pourrais un jour ne plus faire, car ce qui m'ennuie c'est la pluie, je n'aime pas ce contact sur ma peau, je préfère les nuages gris qui se contentent de passer sans rien faire d'autre, car je suis concentré, ça va dans une direction, il faut que je trouve l'entrée, autrement comment faire ce qui est possible, je suis bien entendu prêt à parler, car il peut être certain que dans deux jours, il y ait une ouverture, mais comment faire ce qui est pas à pas, dans un chant de petit toit, dans une chose qu'on peut appeler par son nom, mais vers ce pour toujours je suis dans la même cerne que ce matin-là quand je suis tombé du lit, mais vers midi, il faut dire merci, tout s'est bien passé, il ne reste rien, tout est parti, est dans une chance de foncer tout droit sans avoir de pouvoir particulier, mais de quoi faire du bruit en plein désarroi, ce que je pense est petit, un évènement ridicule, une suite de pourquoi et de comment, mais quoi faire, ça montre le plus, je ne suis pas sûr de comprendre, c'est pour moi, mais comment faire, je suis dans une mesure pleine, je n'ai plus de place, il faut que je fasse le tri, ça va me prendre du temps, hier, aujourd'hui, des moments différents, des instants précieux, des gens qui sont morts, et pour ce qui est de la suite, c'est une question qui se trouve quelque part, mais avec ce qui compte je vais aller voir ce qui passe, c'est bien, ça monte comme il faut, et vers l'après-midi, ça ne change pas, c'est une situation précise qui ne peut pas tout régler, il faudra en faire d'autre pour que tout soit réuni, ceci n'est pas suffisant, il y a encore des jours qui ne sont pas définis, cette fois n'est pas la bonne, il y a des moments uniques, ça rigole gentiment, en avant pour aller la voir, une seule fois, c'est assez bien comme ça, pas besoin de prendre plus, je ne peux plus rien porter, on a fait ce qu'on a pu, maintenant c'est un espace, je vais voir ce que je peux en faire, c'est merveilleux, un jour de soleil pour que soit plaisant si possible, une gentille ouverture, vers demain qui ne peut pas encore dire pourquoi c'est comme ça

Aucun commentaire: