when is it now
lundi 30 juin 2014
ça ne change pas
ça ne change pas, ça s'enfonce mais ça reste au même stade, car dans un temps aussi ouvert il n'y a rien qui tienne pour que tout soit libre, mais quand c'est parti ça retombe, ça ne peut pas aller plus haut car ici c'est petit car dans un temps aussi proche il y a de quoi espérer qu'un jour ça déclenche l'échelle qui vient d'un autre pays, je ne sais pas encore lequel, ça dépendra du destin, sait-il pourquoi ça va, je ne peux rien empêcher, mais je cherche un passage dans le tumulte, c'est utile mais il faudrait en plus de la sensation quelque chose qui bouge, qui double la ligne, qui entretient le suspense, et pour quoi faire quand tout est possible il y a bien un bruit bizarre qui vient du coffre, alors pour ne pas paraître indifférent, je vais ouvrir la porte et là ô stupeur, c'est lui qui apparait, celui qu'on croyait disparu depuis des millénaires, mais alors que je veux l'embrasser il disparait dans un nuage de poussière, aurais-je été encore une fois victime de mes hallucinations, ah! la vie qui est vide comment la remplir, je vis tous les jours en me demandant comment faire pour avoir une montée en puissance des mes pouvoirs, car il s'agit bien de cela, dans une démarche résolument active je poursuis le rêve de devenir puissant et pas seulement pour le temps qui passe mais aussi pour l'importance de prendre possession d'une nouvelle maison qui correspond plus à mon envie de vivre dans le silence, car pour créer il faut chercher la fascination du présent au milieu des autre tentations qui courent dans les couloirs, vont-elles atteindre le cœur, c'est une course poursuite haletante dans laquelle je retrouve l'ardeur de ma jeunesse, même si avec le temps je ne suis plus aussi captivant, alors pour essayer de passer quand même je me dissimule sous les traits d'un empereur romain, ce qui inspire la crainte et quand c'est fait j'éteins les lumières, il ne reste plus que le sommeil qui pourra me donner la force demain de recommencer la lutte, ah la vie est belle, je m'en réjouis tous les jours, quelle beauté éternelle, sans avoir comme les humains une usure des organes, c'est très simple, il faut juste avoir le sens de l'acceptation, car en ce qui concerne le manque il est toujours là à attendre que je sombre
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