oui d'accord je veux bien

oui d'accord je veux bien essayer de ne rien faire mais comment je commence je ne sais pas où je vais aller, c'est un jour qui est depuis grand, mais quand ça coince, un sens particulier pour que gentil mais une fois c'est parti sur la route pour savoir ce que ça fait du temps qui file, mais au bout d'un moment c'est unique plouf, tac, et quand je suis au plus loin, je crois que c'est fait mais faut que ça passe alors je prends un soir, je me mets dans une situation qui me prend au dépourvu et donc dans une heure je suis sûr de faire ça dans un moment sympathique mais voilà que tout ce que je touche c'est un pardon actuel, merci à eux, et vers un moyen espoir, je cherche la sortie, et pour que ça commence dans la bonne case je peux me mettre par terre et compter jusqu'au moment où ça peut changer, car ce qui est fort n'est pas là, c'est une erreur, alors que tout est plat, une bosse qui ne peut changer car elle faite en matière impossible à plier, ce qui fait une surprise car moi je m'attendais à faire ça plus vite mais moins sensible, alors pour aller une fois de plus dans un chantier ouvert sur la nature je cherche un marteau à rêve, ce qui permet de changer de vitesse, un peu à droite de la gauche, dans un passage étroit qui fait que dans le moment il y a de l'ardeur, de la paresse et quoi que c'est un petit singe qui pourrait faire sauter le mépris pour qu'il soit fait dans un tour qui penche et quand c'est fait je cherche mes mots que j'ai pêché quelque part au moment de changer de trottoir et vers de vert c'est quoi ça, je me penche, c'est fait, je suis content mais toujours un peut là, car ce qui m'attache c'est un sentiment qui me dépasse, alors pour faire bien, je passe au plus près du mur et je suis dans l'attente, pour que dans un espace je mise toutes mes graines dans l'espoir de revenir l'année prochaine, ce qui fait de bruit car en mettant le moteur en marche tout est tombé au-dessus du prénom ce qui peut à la limite se faire mais c'est quand ce pas qui va être une source de permission ce qui peut aller au minimum, mais faut ce qu'il faut et pour savoir ça j'ai du faire tout le tour et quand je suis arrivé c'est  elle qui a ouvert la porte, elle m'attendait et d'abord j'ai mangé un sucre, ensuite je lui ai dit ce qui se passe en général dans un port qui accueille des gros bateaux, et comme le soir arrivait j'ai enlevé mon pantalon et elle a mis sa main gauche sur mon épaule droite et de sa main droite elle me caressait le sexe