when is it now
mercredi 30 juillet 2014
une fois c'est assez
une fois c'est assez même pendant la tempête ce qui correspond à la douleur dans le dos, car au temps des compagnons du devoir au Moyen-Age il y avait une habitude de perdre un marteau dans la boue, comme ça on pouvait savoir si tout ce qui était lourd ne pouvait pas remonter à la surface, c'est comme ça que bien plus tard on a pu faire voler des avions, car en étant étendu sur la plage je regarde le ciel qui va bientôt s'obscurcir pour laisser passer la folie, ce qui retourne complètement le passage, on croyait que c'était petit mais là on est face à un géant moyen qui ne prend pas toute la place car au milieu il y a un lapin, ce qui me donne une idée, et si je faisais un rêve qui me place au centre de l'activité et pour que ça soit réel je pince un nez pour qu'il ne puisse pas éternuer comme ça je suis sûr de pouvoir déjouer le mauvais tour que me prépare mon ennemi, depuis toujours je cours la lande pour voir ce qui se passe de l'autre côté, du désespoir entraîne la mer à monter et à descendre, pourquoi faire je me le demande, car ici c'est possible mais si on se place au dernier cran, il y a risque de perdition, donc je pense qu'il est utile de mettre un tas de fumier au fond du jardin, comme ça on est sûr de tomber d'accord, une fois que c'est fait on passe à autre chose, une chance est de faire ce qu'il faut, et dernièrement il y a eu un orage qui a complètement détruit nos récoltes, ce temps est perdu il n'y a plus rien à faire, mais je compte comme il faut, on va pouvoir être en ce moment dans la gare, car ce train qu'on attend est peut-être notre dernière chance, ce qui fait que dans un sens il y a de quoi faire le tour, mais en avant de la position il fait jour, ce qui indique que le temps passé est derrière moi et que je sens que je vais pouvoir faire ce que je veux quand j'aurai régler quelques problèmes comme celui qui passe sans arrêt quand je suis fatigué, il faut vraiment que je trouve une solution avant que la rivière ne déborde et entre dans ma maison car ici c'est une zone inondable, je l'ai su l''année dernières quand je me suis renseigné pour savoir à combien de mètres je pouvais prétendre pour être sûr d'être en possession de ma tournée quand je suis en forme pour passer facilement d'un endroit à un autre, mais comme il est précisé dans le terrain d'en face je suis sûr de pouvoir faire le tour sans avoir l'impression de me fatiguer, car j'en ai fait d'autres bien plus grandes, quand j'étais plus jeune je marchais des kilomètres, et sans avoir d'attaches qui auraient pu me retenir, ce qui fait que maintenant je ne regrette rien il faut savoir assumer sa vie, à quoi ça sert de se plaindre, moi je choisis ensuite je vois bien le résultat, si c'est ce que je cherchais, je passe à autre chose, mais ça ne va pas dans la bon sens alors je remets une action en route, et on avance comme ça tant que ça ne va pas dans une suite logique, ce qui correspond à une attente, quand c'est parti c'est que ça tombe bien, alors je m'amuse, ça prend du temps mais ce n'est pas ça qui va m'entraîner dans la perte de ce que je suis, car ce que je sais je le sais et indépendamment du reste je suis conscient de la difficulté d'être, car au point de départ tout va bien, on tourne, on s'arrête, on repart, mais plus le temps passe et plus on fléchit sur ses jambes, et un jour on est bloqué chez soi sans pouvoir sortir, alors que dans l'essentiel ça commence à parler, mais là tout de suite je suis bien content parce que ce qui est fait n'est plus à faire, et comme il convient en pareilles circonstances je suis dans le premier pas
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