une autre fois j'étais parti

une autre fois j'étais parti pour être plus ouvert mais je me suis rendu compte que tout était plus adroit j'ai donc renoncé pour le moment à me dire que tout est possible car ce qui est car c'est un car à moitié une façon de voir les choses qui sont en cours et pour être complet un paquet de lessive qu'on laisse dans le couloir pour oublier que le salon est peint en jaune et pour cette raison je suis inquiet par nature, ce qui veut dire aussi que quand bien même ça m'arrange je trouve toujours quelque chose qui ne va pas, car ici le ici c'est mais tant que ça dure ce n'est pas sur cette table mais dans un autre endroit en face du mur nord, et quand on s'est rendu compte que le monde avance sans qu'on soit responsable de rien, ce fut un choc, nous avons donc décidé de prendre un mesure qui entraine une satisfaction à moins de considérer la actions comme pouvant un jour devenir des pensées profondes, à moins que ça ne commence plus tard, dans la soirée une sorte de bien à vous en toutes circonstances, ce qui n'arrive pas tous les jours et comme ça on peut toujours avoir la confiance nécessaire pour être dans la bonne direction ce qui peut dans la mesure où tout s'use un peu sur les bords et ensuite on passe par la tête, c'est le plus misérable, dans d'autres temps on aurait dit autre chose, mais maintenant tandis que le train passe je me mets instinctivement à entendre des voix qui me disent, toi aussi tu en es et pour la petite histoire que j'ai glissé sous le lit, un bon point en forme de contemplation aquatique, pour que tout le monde soit averti des lampions avant que le feu ne passe dire bonjour, ensuite on peut toujours faire une partie de carte, c'est un jeu simple avec des règles en or, ce qui pèse un peu plus que si c'est en carton, ça me fait penser que je dois emballer des objets pour qu'ils partent loin de moi, mais avant de le faire me vient une idée incroyable, ça me vient de temps en temps quand le temps est beau, et que dans l'ensemble tout est bien qui veut bien regarder dans la bonne direction, une fois que je suis bien en forme je continue la visite en rappelant que tout ici a été imaginé par quelqu'un de bien, ce qui se passe dans l'altitude pour mettre tout en haut des poissons morts, ce qui ensuite est déclaré une stupidité, je suis bien d'accord, pourquoi mettre tout ce qu'on a dans des coins alors que pour faire de la place il suffit de casser un mur, ensuite on invite les voisins qui nous regardent avec étonnement, que faisons-nous dans leur salon, nous leur expliquons que nous avions besoin de place et depuis ce moment on se fait la guerre en se lançant des poissons morts, à moins que ça ne soit le fruit défendu, je ne comprends pas pourquoi on se fâche, tout est prêt pour la réception et quand je siffle tous les chiens du quartier se mettent à aboyer, ça me surprend et puis je pense à autre chose, car je dois avancer même si j'ai les mains dans la colle et quand je pense à tout ce qui me reste à faire, je ne sais pas comment je vais pouvoir arriver à étendre la solution, avoir une paire de toiles en bout de mur, et quand je froisse le bout de mon expérience, ça me vient tout seul, comme si je n'avais pas l'habitude de voir que tout va mal jusqu'au moment où tout va bien, donc ce qui m'inquiète c'est de pouvoir dire à tout le monde de faire attention à l'éventualité qui risque de faire son apparition dans l'après-midi quand tout le monde va aller dans le même sens et que de l'autre côté on continue à prendre ce qui est sur la table, une fois qu'on réunit les deux clans je m'aperçois qu'il manque quelqu'un