dans un vent violent qui gène le passage

dans un vent violent qui gène le passage je cherche un moyen de faire ça sans déranger le premier astronaute et comme il est convenu qu'à chaque passage il faut saluer la princesse je n'attends pas de faire ça en solitude mais avec la ferme attention de prendre tout ce qui vient comme étant une chance de faire plus que ça, mais avec la tension qui frôle la vie, il n'y a pas que ça qui prend le temps, mais avec ce qui se passe on peut s'arranger, c'est une croyance qui illumine le sang, pour savoir que faire dans cette circonstance horrible, avec des morts inutiles, mais c'est valable car l'autorisation a été donnée depuis des années quand les vaches étaient maigres, puis dans la nuit profonde une drôle de voix qui monte depuis toujours au même endroit, chose qui passe sans rien dire, soyons fait dans le mur comme si la fenêtre est ouverte et comme il faut faire ça en silence, je cherche un espace libre je croyais en avoir vu un tout à l'heure mais j'ai du me tromper car au milieu de l'étang je ne suis pas aussi sûr que si c'est la nuit, comme ici c'est plus fort je ne vois pas ce qui me retient de faire du bruit puis la tendance s'accentue, il faut faire quelque chose avant que le mur ne s'écroule et comme par hasard la sirène retenti ça veut dire que quelqu'un a prévenu les pompiers, tant mieux je veux que ça s'arrête maintenant, il y a parier que tout ce que je fais n'est pas susceptible d'accord, je dois donc le faire seul et attendre que le jour où tout se verra sans goût prononcé mais avec de tendres regards qui voudront bien faire un passage clair sans une petit perle qui tremble dès que tout ce qui se trouve dans la chaîne soit faite dans un effort de concertation évident, puis dans la maison jaune, une autre chance s'allume, tout ici respire la paix, et comme je suis spécialiste des endroits qui ne veulent pas la guerre, je cherche la raison qui n'est pas dite en premier, voilà, messieurs je suis d'accord et parce que ça ressort rapidement je ne puis que constater que tout ce qu'on fait en dehors des endroits pluvieux, ça ne prend pas, c'est isolé dans un coin, ça ne peut pas s'agrandir pour faire plaisir ce qui n'est pas une croix mais un fer qui tombe en faisant du bruit, et comme c'est en particulier pour cette raison qui semble convenir à tout le monde que tout ce qui est fait à l'ombre des arbres en fleurs ne peut en aucun cas faire partie d'un chose aussi profonde, ce qui vient ensuite pour comprendre le message c'est une gentillesse qui fond en pleurs dès que quelque chose l'agresse mais voilà que tout s'arrange finalement, on est satisfait de la façon dont s'est déroulé le processus puis le soir arrive il faut se séparer mais comme on est trop content de partager ce moment unique, je crois que je vais m'enfermer dans ma chambre pour essayer de ne pas partir trop vite dans une pente dangereuse qui me mènera tout droit dans le parjure, mais ça je n'en veux pas, je suis donc obligé de partir sans goût mais avec une gourde pleine de rhum, pour que dans les hauteurs on ne soit pas privé d'une ivresse qui rend l'aventure plus agréable pour tous ceux qui veulent bien prendre la vie légèrement c'est comme ça que je crois que tout ce qu'on fait dans la vie c'est un peu par hasard mais que parfois on voit très bien le problème et comme c'est trop tard je passe tout simplement de l'eau sur mon visage et je rentre sans me dire que tout ce qu'on aurait pu faire n'a pas été validé par le comité organisateur plus pour le résultat d'une lutte interne que pour l'agrandissement de la cour en vue d'un congrès annuel de l'organisation