when is it now
lundi 27 avril 2015
que voir dans la vie,
que voir dans la vie, l'attente le moment suivant la recherche d'identité le mérite de fermer la porte quand tout arrive par hasard pour être placé dans une sorte de plat rond pour éviter de faire tomber la sauce sur le parquet ciré depuis que tous les autres sont partis voir une mise en situation dans un arbre centenaire et pour que cette raison soit suffisante je ne fais pas attention à tout le reste qui aurait pu devenir une chose brillante mais avec des intentions plus stables ce qui prend plus de place car comme on dirait de l'autre côté de la terre, un fois que c'est fait il n'y a plus rien à espérer comme ce qu'on faisait avant dans l'idée de bien réparer le citron qui aurait de part sa jeunesse dans le camp qui passe par là pour avoir la certification des preneurs de grains ce qui entraîne automatiquement une descente dans la cave pour y mettre le trésor, ce que ça entre ensuite c'est une discussion à entendre plusieurs fois car au plus haut des attentes un choix s'impose tout seul comme ça se pourrait plus tard mais avec plus d'ardeurs mais pour tout dire il ne faut pas se mettre à courir dans la tentation de faire ça rapidement, le temps impose une justification orageuse, pour savoir ce qui se passe dans la mémoire précédente et comme c'est artistique il faut faire attention au rythme qui pourrait s'accélérer malgré la section forte qui frôle la mort à chaque fois car au centre de la piste on a mis un renfort pour permettre aux lions de ne pas se mettre en danger car pour cette fois on a eu peur que tout se passe juste derrière, mais avec toute notre envie et notre allégresse nous avons réussi à faire tout le tour sans tomber et donc pour avoir ça c'est une chose qui ne s'improvise pas ce temps présent est bien là, il ne faut pas l'abandonner, ce qui est fait devrait être mis au centre pour le voir tous les jours et se rendre compte de l'avancée des travaux, et comme c'est l’œil qui voit, il ne faut pas faire attention aux crevettes roses, il n'y a dans la vie que deux conditions à réunir de temps en temps, pour être vrai il faut planter un arbre qui sort ses griffes quand on veut le transformer en planches et puis dans la tendresse d'un puits en séance plénière, il y a depuis toujours dans la suite princière une recherche de perfection qui semble se perpétuer dans le discours du roi pour que tous les jouets qu'on veut transmettre de générations en générations soient mis dans une boite qu'on va range au milieu des peluches, comme ça on est sûr de pouvoir la prendre si un jour on veut vérifier que tout ce qui entre dans la composition des rêves et bien située près du cran, celui qui affronte l'isolement doit pourtant avoir le temps de prendre de la poudre de guérison fatale et comme ça au centre de réfection des normes, on est plus enthousiastes quand c'est le moment d'ouvrir le paquet, c'est une joie simple sans boules multicolores mais avec des accents provinciaux, des moules qui arrivent de Bretagne des envies de menacer le colonel avec son héron plumé, puis dans l'après-midi je passe par là pour m'étonner que tout est changé depuis la dernière fois il y a cinquante ans, mais comment est-ce possible, faut-il que tout se transforme pour répondre présent à l'injonction de faire ça sans perdre un instant, c'est tragique mais ça se met en silence, alors que pour moi le temps est une bénédiction, ça se comprend d'un coup, sans préparation à travers un rideau transparent pour ne rien rater des passages sans air qui entre facilement dans le tube, il n'y a pas à chercher tout est pris dans le temps parfait
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