when is it now
mardi 8 septembre 2009
dans l'éventualité d'un recours gracieux, je suis d'accord pour accepter de renoncer à ce que j'aurais pu être, néanmoins il y a plus à craindre qu'espérer dans la suite des évènements, en effet j'ai entendu dire que la solution préconisée n'était pas exempte de défaut, le premier et le dernier ne sont pas de nature à compromettre la venue de la chance dans notre projet, mais le deuxième bureau, celui qui pourrait atteindre la partie la plus éloignée de la salle de bain, celui-là a toutes les chances de partir avant l'heure, c'est de la précision suisse, à la seconde près, on peut s'attendre à de formidables découvertes, à condition de se préparer au pire, j'ai entendu dire que la suite était meilleure que le début, mais je ne m'attends pas à des révélations, tout cela n'est pas sérieux, il faut admettre que le sérieux de monsieur Aubert n'est pas à remettre en question, mais j'aurais des critiques à émettre concernant monsieur Opéra, quelle mouche l'a piqué, voilà qu'il dit à tout le monde que le président n'est pas à la hauteur, je ne comprends pas, il était pourtant stipulé que tout acte de piraterie serait la cause nécessaire est suffisante du renvoi pur et simple, sans adjonction de sel ou de poivre, nous voilà dans la merde, comme disent les français, assumons jusqu'au bout notre devoir
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