when is it now
jeudi 27 janvier 2011
dans le passage, pas de place, rarement éclairé, gardons le sens près de soi, il est quand pour, même si ça change, pardon de prendre du temps, je le rendrai demain quand je n'en aurai plus besoin, la cantine patine dans la purée, écrivez lisiblement, je relis toujours ce que j'écris pour savoir si je suis passé au deuxième niveau, je suis longtemps resté au premier pas, des années à consacrer le maximum, aujourd'hui il apparait en pleine lumière que le monde existe, si ça commence comme ça il faut s'attendre à une montée vers le haut, mais quand c'est fini, cherchons ensemble si on peut se comprendre, vous dîtes que je suis capable, disons que j'essaye de passer, vers où, vers moi, de l'hiver au printemps, les fleurs poussent et meurent, on dit saison, c'est dans et nulle part ailleurs, par ici on a la possibilité d'écrire, alors ça vient du dehors pour mélanger les sens, c'est bien net, avec quelques bavures pour faire joli, voilà quand j'étais, si j'avais su, mais le temps se déroule pour manger, c'est l'heure, en avant dans, dans, dans, ma situation, il est difficile de trouver une place confortable où on peut se permettre d'être bien à sa place, sans se justifier, normalement, évidemment, je dis, jeudi, vendredi
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