when is it now
jeudi 24 octobre 2013
ô joie merveilleuse de la vie, raconte moi ce qui se passe au milieu des fleurs, de la couleur, de la chaleur pour tous les participants dès qu'ils peuvent ne plus se prendre au milieu de la chance, des temps en temps je suis ce qu'on appelle par son nom, car ce qui se passe dans le lointain ne peut pas se rapprocher, c'est moi qui prend du temps, uniquement pour ne plus être toujours ce que je suis dans l'incertain du poids de l'allumette qui prend feu dans le gaz de la satisfaction, mais tendrement je lui prends la main juste pour savoir ce que ça fait de prendre possession de l'autre dans son intimité, mais je m'enflamme, je brûle de tous les côté, comment vais-je pouvoir me rafraîchir, je pense à dieu, à Jésus, comment faire pour ne pas croc dans la chair, un instant de pure plaisir, mais ce qui compte c'est le passage où je fais attention, des poires, du chocolat, de la viande et dans l'armoire un pistolet que je ne sais pas faire marcher tout seul, c'est une inquiétude qui me demande toujours la même chose, un sens, mais lequel, je cherche une raison de prendre un tournant, c'était tout droit depuis des années mais je sais que l'explosion est prévue, ça prend des allures de coup d'état, des doigts qui passe dans les cheveux, ça peut aller jusqu'au moment où je lui demande de se déshabiller, elle me regarde sans bien comprendre ce que le vent peut apporter, car l'humain est toujours dans la même impression, lui et les autres, ce sens qui manque
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