when is it now
jeudi 10 octobre 2013
il fut un temps heureux, celui des pommes de terres quand le soleil brille, vraiment intéressant quand il se rencontre une vrai relation dans un univers totalement neutre, car pour beaucoup ce qui compte c'est d'avoir tout de suite raison, alors qu'il faut savoir patienter des années, ce qui va va, alors pourquoi se demander ce qui ne va pas, je sautille si j'ai envie de sautiller, la joie me prend tout le corps, j'exulte, je suis, je fais, je prends du temps pour savourer en paix le moment qui passe, ça se décide tout de suite quand pourquoi comment, il faut du courage, de la peine, de l'enthousiasme, pour aller là, la voir, l'entendre, la comprendre, c'est essentiel, c'est vivant, il n'y a pas d'autre choix, c'est l'unique passage, l'unique vérité qu'on n'apprend pas à l'école, ça se découvre peu à peu quand on approche de 50 ans, la vie est lente à se faire approcher, il faut attendre sans hésiter à faire des choses, car même si ça ne vient pas tout de suite, il faut savoir s'occuper, l'esprit aime la contradiction des envies simples par rapport au sens des informations complexes, des gens qui marchent, de la hauteur qui ne vient pas du sud, mais le charme est dans une bonne forme, alors je franchis la limite, je viens tout de suite pour changer mes lunettes, j'aimerai en avoir des rondes, mais je ne sais pas si ça n'ira, ça n'ira peut-être, ça n'ira, n'ira comme disent les espagnol quand ils voient une saucisse voler dans les airs, mais ici c'est la France, éternelle et riche en dégustations grasses de cochons cuits sans avoir à espérer autre chose que du cholestérol, mais comment manger que de la salade, je ne suis pas un lapin, j'opte donc pour un mépris glacé, ça me convient
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